Obus

Il fait beaucoup de profit grâce aux commandes militaires. L’association des deux s’appelle le complexe militaro-industriel. PARTIE 5 : Les trois personnages debout sont les ouvriers qui fabriquent manifestement du matériel militaire, notamment des obus. On voit donc bien ici le lien entre industrie et armée. PARTIE 6 : on voit des canons représentant la machine de guerre qu’est devenue le IIIème Reich. PARTIE 7 : dans cette zone les barbelées et la hache du bourreau nous font penser aux camps,

vie dans les tranchées - les grandes batailles (Verdun, la Marne) Les dates que je vais retenir : - 1914-1918 - l’armistice : 11 novembre 1918 Le vocabulaire que je saurai orthographier - niveau 1 : guerre mondiale, Poilu, allié, adversaire, front, obus, français, allemands, troupe, artillerie, infanterie, carnage, monument aux morts, férié, soldats des colonies, ennemi, gaz asphyxiant - niveau 2 : conflit mondial, Verdun, extrême violence, Alsace, Lorraine, Georges Clémenceau - niveau 3 : armistice

Première Guerre mondiale. Dans le premier quatrain l’auteur montre la réalité dure de la guerre. . On trouve des personnifications telles que « un obus se lamente » ou « le cri sinistre de l’agace monte » qui sont employées pour souligner cette solitude qui déprime l’auteur, puisque autour de lui il n’y a que la guerre avec ses attributs (un obus, le galop d’un cavalier, le cri de l’agace). Apollinaire emploie les adverbes de temps en temps, quelquefois, parfois pour montrer l’insécurité dans

vingtaine, est mobilisé pour le front comme tous ceux de son âge.La guerre n’a pas encore vraiment commencé, mais il s’agit de se préparer pour empêcher l’ennemi de passer la Meuse. Adrien effectue des reconnaissances sur le bord du fleuve lorsqu’un obus s’écrase à ses côtés. Quand il reprend conscience, il n’a plus de visage. Sa mâchoire supérieure est partie en morceau dans l’explosion. Il n’a plus de palais, à la place c'est un grand vide.À tel point défiguré qu'il arrive à passer la langue par

la violence d’un combat sans fin. Les poilus se battent quinze jours en première ligne avant de laisser place à la relève et repartir vers l’arrière. Durant ces deux semaines beaucoup d’hommes laissent leur vie dans les nombreux bombardements ou les obus se succèdent sans interruptions, les attaques au gaz, le froid et le manque de nourriture se font invivables. Le reste du temps, dans les zones de cantonnement, le combat est remplacé par les corvées et les entrainements militaires. Les temps de repos

psychologiques…) B/La sauvagerie des combats -armes utilisées : tirs d’artilleries, obus, fusils, gaz, tirs de mitrailleuses, corps-à-corps, baïonnettes… -La bataille de Verdun (fév.-juin 1916) symbolise la guerre des tranchées. -mutinerie (Révolte de soldats qui refusent d’obéir aux ordres et de combattre). => soldats fusillés III/Une guerre totale A/Mobiliser l’économie -gvt. Intervient ds. économie ->produire obus, canons, avions, chars… -usines Renault -> Armes/2M d’obus en 1915 -1ère guerre

tranchées tranchées III : Description et analyse de l’œuvre Dans la page 100 on voit sur la première vignette un soldat blessé qui se rappelle de BOUVREIL . Puis dès la deuxième vignette on retrouve Pierre BOUVREIL dans les tranchées qui sculpte des obus pour tuer le temps mais surtout pour gagner de l'argent. Dans cette page Tardi à peut être voulu décrire l'ennui qui règne dans les tranchées et comment certains soldat le combattait. A la page suivante le lieutenant demande un soldat pour le petit

très récent à Ypres nous rappelle-t-il l'importance des séquelles de la 1ère Guerre Mondiale de nos jours ? 4) Le 19 mars 2014 - exactement un siècle après le début de la Grande Guerre - a éclaté un obus à Ypres en Belgique, ce qui a causé la mort de deux personnes et fait deux blessés. Cet obus datait de la première guerre mondiale, quand les allemands avaient assiégé la Belgique, territoire stratégique pour les allemands car tout proche de la France, et surtout de Paris. La Belgique était d'ailleurs

de la Somme Le début du bombardement de la Somme vu depuis une batterie de tir en bord de route, le 24 juin 1916. Le bombardement dura une semaine. Il visait à éliminer les défenses et les défenseurs allemands. L'artiste, William Topham, montre des obus hautement explosifs et des éclats de shrapnel blancs au-dessus des lignes ennemies, et offre une description détaillée de l'emplacement. À ce stade du bombardement, le terrain, constitué surtout de champs cultivés, demeure relativement intact. bataille

épargnés et ont eux aussi souffert à la fois physiquement et moralement. Les soldats français ont tout d'abord souffert physiquement: la guerre fut un véritable massacre. Ils étaient exposés à de nouvelles armes telles que les mitrailleuses, les obus, les gaz... Beaucoup de soldats blessés dans le no man's land mourraient faute de soins. Les gueules cassées, c'est ainsi que l'on surnomait les victimes de blessures terribles pendant cette guerre, étaient représentatifs des dégâts que pouvaient causer