Obus

de combat :- la guerre des tranchées est pensée par les généraux pour fatiguer l’ennemi, elle sert à franchir le plus vite possible le front pour faire reculer l’espace de contact entre les deux armées. On utilise pour cela de nouvelles armes : les obus + les armes chimiques (gaz moutarde ou ypérite = gaz asphyxiant). Les offensives sont extrêment meurtrières, en 4 ans dans l’armée allemande -> 1300 morts et dans l’armée française 900 morts. Les femmes participent à l’effort de guerre. B) Les

gazeux, et congèle toutes les personnes présentent à moins de 30 mètres sont congelées (car le gaz est à -100°C) et asphyxiées. Le gaz reste longtemps dans l’atmosphère. Marcel reste silencieux. De plus, Schultze explique qu’il souhaite lancer tous ces obus, et mettre en marche le canon sur France-Ville, pour la détruire, le 13 Septembre à 23h45. Marcel n’en revient pas, et dit à Schultze qu’il aurait du garder le plan secret. Schultze lui dit : « Vous avez voulu connaître mon secret, maintenant vous

j’ai eu l’opportunité de m’engager comme infirmière dans les hôpitaux du front, je n’ai pas hésité, j’ai tout de suite accepté.             Ça s’est passé en 1915.             J’ai été blessée au cours d’une opération sur la jambe d’un blessé. Un obus a explosé sur la tente où nous nous trouvions. Je suis la seule survivante. J’ai été aussitôt transportée en ambulance à l’hôpital du Val de Grâce. J’ai bien vite remarqué que je n’entendais plus les bruits et les paroles touts autour de moi…Cela m’a

Les assauts et les combats " Nous étions presque brûlés par la flamme des obus tellement ils éclataient près de nous, et désagréablement impressionnés par cette odeur d'acide carbonique et de soufre qu'exhale l'éclatement des 105. [...] Des baths canons, mon vieux, qui ressemblent à des lévriers gris. C'est mince et fin du bec, ces comme le 220 qui n'est qu'une gueule, un seau à charbon, qui crache son obus de bas en haut. Ça fait du boulot, mais ça ressemble, dans les convois d'artillerie

Grand-Mère. Soudain, un obus tombe dans le jardin… « Nous regardons notre Mère. Ses boyaux lui sortent du ventre. Elle est rouge partout. Le bébé aussi. La tête de notre Mère pend dans le trou qu’a creusé l’obus. Ses yeux sont ouverts et encore mouillés de larmes. [… ] Nous la recouvrons d’une autre couverture puis nous comblons le trou. Quand notre cousine rentre de la ville, elle demande : - Il s’est passé quelque chose ? Nous disons : - Oui, un obus a fait un trou dans le jardin

le territoire ennemi. La liste d’armes est nombreuse : les gaz (utilisés en premier par les allemands en 1915), le lance-flamme, la mitrailleuse, les mines, les tanks, les obus (nouveauté de ce conflit), couteaux, bombes, grenades, liquides enflammés, char d’assaut… Les coups directs des obus pulvérisaient le corps, les plus gros éclats tranchaient les hommes en deux. Tous ces armements vont brutaliser la guerre, et vont créer beaucoup plus de conflits qu’avant le XXème siècle

l’empreinte éminemment nostalgique de ce texte. C/ L’empreinte nostalgique les mots au retour : la nostalgie se traduit tout d’abord par un certain épuisement de l’écriture. On constatera le retour des mêmes termes (comme « souvenir », « oubli », « obus », « fleurs », « sang »…). En un certain sens, l’on peut dire que le poète tourne en rond dans son poème. Le terme « amour », qui constitue lui-même le propos central du texte apparaît à deux reprises, toutes deux situées dans la dernière strophe et

étoilé par les obus des Boches     La forêt merveilleuse où je vis donne un bal     La mitrailleuse joue un air à triples-croches     Mais avez-vous le mot         Eh ! oui le mot fatal     Aux créneaux Aux créneaux Laissez là les pioches     Comme un astre éperdu qui cherche ses saisons     Cœur obus éclaté tu sifflais ta romance     Et tes mille soleils ont vidé les caissons     Que les dieux de mes yeux remplissent en silence     Nous vous aimons ô vie et nous vous agaçons     Les obus miaulaient

chaque régiment, et les deux batteries rattachées aux brigades territoriales (Landwehr brigade). L'armement de Forteresse Le Hotkiss crée en 1879 de 40mm était équipé de cinq canons, il est remanié en 1914 pour la guerre, ces canons tirent des obus chargé de poudre noir et de bille de plomb. Mais il avait une faible puissance. Le canon 12 culasses était Français, il est à la base une arme de campagne, mais il fut réutilisé comme arme de forteresse une journée avant la Première Guerre Mondiale

Quelles sont les armes employées par les combattants ? Précisez, pour chacune d’elles, l’effet produit. De nouvelles armes apparaissent pendant la Première Guerre mondiale : l’artillerie comprend : « les mines, les obus, les lacrymogènes » (l. 19-20), et parmi les obus les shrapnels (obus chargés de balles projetés en l’air durant l’explosion). Les gaz de combat se signalent par leur toxicité et les souffrances qu’ils provoquent. * Contre le chlore un tissu humide suffisait pour réduire les effets