Occitan

est une plante herbacée de la famille des Brassicacées, cultivée comme plante potagère pour sa racine charnue allongée ou arrondie, consommée comme légume. Le terme désigne aussi ce légume. Noms communs : navet, naveau, rave (en espagnol : nabo, occitan: nap, roumain : nap, italien : navone ou rapa, albanais : repë, serbo-croate : repa, russe : репа, bulgare : ряпа, allemand : Rübe, grec ancien : βουνιάς, grec moderne : γογγύλι, persan : شَـلْغَم [chalgham], turc : șalgam, arabe : لـِفـْتٌ [left]

éviter la formation d'un digramme vocalique, et parfois sur le y de certains noms propres comme l'Haÿ-les-Roses, prononcé [lajleʁoz] et non [lɛleʁoz]. sous le c : la cédille ¸ : ç ; assez courante, mais uniquement en français, en portugais, en occitan et en catalan sous le c pour en garder la prononciation avant les voyelles a, u ou o, par exemple le mot ça et les mots et conjugaisons dérivés des verbes en -cer). On trouve également des cédilles sous les S (en roumain et en turc) et sous les t

croisade à l’intérieur même de la chrétienté. Combats, sièges et massacres s’enchaînent jusqu’en 1229, avant que l’Inquisition ne prenne le relais. Cette lutte contre l’hérésie, qui a donné naissance à l’Inquisition et a permis l’unification des terres occitanes à la Couronne de France, aura raison du mouvement cathare mais ne l’éteindra jamais vraiment, tant les vestiges architecturaux et culturels sont nombreux dans le Midi français. En 1233, l’Eglise adopte une nouvelle stratégie : les hérétiques seront

de la République. Il s’agit de la première occurrence du prénom Marianne en tant que symbole de la République. Marianne y représentait la devise française. Quoi qu'il en soit, le village de Puylaurens revendique désormais le titre de « berceau occitan de la Marianne républicaine ». Les aristocrates contre-révolutionnaires utilisaient le double prénom Marie Anne, la forme « Marianne » leur paraissant trop populaire, à la limite vulgaire. Les révolutionnaires ont adopté cette dernière pour symboliser

mann- signifie hommes. Le dialecte alsacien et l'Allemand standard (Hochdeutsch) appartiennent au même groupe linguistique germanique: Le haut-allemand. C'est la deuxième ou troisième langue autochtone de France après le français selon l'hypothèse occitane retenue[11]. Aujourd'hui, l’Alsace est divisée en deux départements, le Bas-Rhin au nord et le Haut-Rhin au sud. Le conseil régional siège à Strasbourg, qui est aussi la plus importante (440 702 habitants) des trois grandes agglomérations de la

et passionné, qu’elle s’enracine. Leurs prédicateurs, qu’on nomme les parfaits les parfaites mènent une vie exemplaire qui impose le respect aux Occitans. Ils enseignent que l’Eglise catholique, corrompue par la richesse s’est mise au service du Malin. Le pape voulant rétablir son autorité et les barons français convoitant les riches terres occitanes entreprendront une sanglante croisade contre le Midi hérétique, dont la résistance durera 50 ans. Pourquoi LA CROISADE CONTRE LE LANGUEDOC plus

vieille « œuvre de chair ». Eh bien, crions sans vergogne tous en chœur : Vive l'œuvre de chair ! Joseph Delteil, « Pour le musée des vieux outils du docteur Michel », in Le Sacré Corps, 1976. 1. caroubes, en occitan. 2. peuple Aborigène. 3. dans la Montagne noire. 4. en occitan, "être au moment de la véraison", en parlant du raisin. TEXTE 3 L'homme a besoin aussi de confort spirituel. Il m'a fallu, il y a quelques années, discuter pendant des mois avec un maire, pas plus bête qu'un

d'unification centralisatrice comparable à celui qui a présidé à la formation de la France, la péninsule aurait pu former une seule nation ; et qu'inversement, si les particularismes régionaux alsacien, breton, basque, corse, flamand, romand, normand, occitan ou provençal avaient été plus marqués (et avaient été, comme dans les Balkans, encouragés de l'extérieur), une dizaine de nations existeraient à la place de la France actuelle. Toutefois, cette unité culturelle n'est guère reconnue par les historiographies

la plupart des langues romanes, le mot « lundi » est issu du latin lunae dies signifiant « jour de la Lune »1. Ainsi dit-on lunedi en italien, lunes en espagnol (castillan), luni en roumain, avec inversion des mots : dilluns en catalan, dilun en occitan, mais segunda-feira en portugais. Les langues celtiques ont parfois emprunté cette appellation au latin : gallois Dydd Llun, vieux breton et locutions Dez Lun, breton Lun (un lundi & durée) ou Lunvezh (contenu), irlandais Dé Luain, etc. Dans

poèmes ne vont jamais sans quelque balourdise voulue qui exorcise l’absolu de la forme. C’est la fascination de l’art pur qui l’emporte: là où forme et spiritualité ne font plus qu’un! Joseph Llapasset ° A la découverte des langues régionales: Occitan Gascon Catalan ° Pourquoi ce site? ° Philagora tous droits réservés Pour un commentaire de ce texte: page 1 et page 2 ° info@philagora.net ° Publicité sur Philagora ° Rubrique lettres > Baudelaire (Les fleurs du mal) 2 sur 3 03/07/1431