Octave Mouret Et Denise

org/wiki/Au_bonheur_des_damesPour le 28/11/2022 : Biographie d’Emile Zola (25/30L) + Parcours de lecture 1Une provinciale à Paris : Chapitre 1 (p33-58)1/Quelle aide Denise attend- elle de la part de son oncle ?2/ Quel regard porte-t-elle sur le Bonheur des Dames ? Justifiez3/ Relisez la description de l’étalage du Bonheur des Dames, de « Mais Denise demeurait absorbée » à « commerce de nouveautés : quelles impressions se dégagent ?4/ Relisez la description du vieil Elbeuf, de « Ils levèrent la tête » à « d’une

Desforges (salon, petit salon, boudoir) ; les Tuileries ; chambre mansardée de Denise au Bonheur ; chambre chez Bourras ; magasin de Bourras ; Joinville, bords de Seine ; chez Robineau (magasin et arrière-boutique) L’espace dans le film Film : Le Vieil Elbeuf (magasin, arrière-boutique, chambres de Geneviève et ses parents) ; Au Bonheur des Dames (rayon confection, bureau de Mouret, hall, réfectoire, sous-sol) ; chambre de Denise au Bonheur des Dames ; antichambre de Desforges ; salon de Desforges ; Tuileries

Plassans, ville du sud de la France acquise aux légitimistes, afin qu'il reconquière la ville pour le compte des partisans de Napoléon III. Elève 1 : Elève 2 : Personnage 1 : Personnage 2 : 5-La Faute de l'abbé Mouret (1875). Soigné par le docteur Pascal son oncle, Serge Mouret, un prêtre, tombe amoureux d'une jeune fille, Albine. Elève 1 :Martin Elève 2 : Tanguy Personnage 1 : La Teuse Personnage 2 : Albine 6-Son Excellence Eugène Rougon (1876). L'ascension politique et l'influence du

des femmes mais qui attira la colère des petits commerçants. Au Bonheur des Dames d’Emile Zola 4. Personnages Denise Baudu : maigrichonne, timide, pas très belle, pauvre, elle est le personnage principal de ce roman. Peu à peu, elle s’affirme, prend de l’assurance, devient gaie, courageuse, douce, s’affine. Elle commence même à plaire auprès de Mouret et Deloche. Intimidée par Mouret, mais ne voulant pas devenir l’une de ses maîtresses et malgré sa montée en grade et même de l’argent proposé par

début 1883, et en volume chez Charpentier en 1883. Il s’agit du onzième volume de la suite les Rougon-Macquart. Denise Baudu – venue de sa province - découvre l’univers des grands magasins parisiens, qui bouleversent et révolutionnent le commerce au XIXe siècle. Vendeuse, en ascension sociale fulgurante, elle connaît aussi la passion et fait du cynique chef d’entreprise Octave Mouret, un homme avec les valeurs de l’amour et de l’humanité. À travers une histoire sentimentale à l’issue heureuse

s'annonce-t-elle fructueuse ? (1,5pt) 5) Qui est Octave Mouret ? Quelles idées novatrices ce personnage a-t-il ? Citer un magasin qui a servi de modèle à Zola pour décrire Au bonheur des dames ? (1,5 pt) 6) Que craignent Denise et ses camarades à l'approche des vacances ? Quelle vision idéologique Zola exprime-t-il à travers les discours de Denise à Mouret ? A quel type d'organisation sociale se montre-t-il favorable ? (1 pt) 7) Pour quelle raison Denise est-elle renvoyée du magasin ? Quelle rumeur

précisément « sur la place Gaillon ». Denise et ses deux frères arrivent alors qu'il « n'y avait sur les trottoirs que le Paris matinal », à « huit heures », après avoir passer une nuit dans le train, et de rencontrer leur Oncle, qui habite « la rue de la Michodière ». Dans cette première séquence narrative, le contenu est clair : Denise est ses frères sont stupéfait et plein d'admiration devant le magasin, voir même sous l'emprise de la séduction. En effet « Denise demeurait absorbée, devant l'étalage

Au Bonheur des Dames Journal de lecture Le 8 avril 2011 Chapitre 1 Denise, une jeune fille de la campagne, débarque à Paris en compagnie de ses deux frères plus jeunes. Tout de suite, le livre prend une tonalité sociale puisque c’est la nécessité de trouver un travail qui explique cette arrivée. Ils sont accueillis et hébergés par leur oncle, qui tient un petit commerce. Le premier chapitre se passe en grande partie chez l’oncle, et c’est tout un mode de vie qui nous apparait : le vieux

énorme machine, dont tous les rouages parfaitement huilés sont contrôlés et maîtrisés par le directeur, Octave Mouret. Parallèlement à ce « côté financier », le « côté passion» : une histoire d’amour entre un patron et sa petite vendeuse, qui se termine après maintes péripéties, comme dans un roman rose, par un mariage. Zola appuie son récit sur ce «double mouvement» prévu dans l’ébauche : «Octave faisant sa fortune par les femmes, exploitant la femme […], et à la fin […], se trouvant lui-même conquis

conquièrent le pouvoir politique dans la ville, et la fortune. Les paysans et les bûcherons républicains des environs ont tenté de résister par les armes au coup d’Etat, mais ils sont durement réprimés après une bataille perdue contre l’armée. Silvère Mouret, jeune parent des Rougon, meurt, avec la jeune fille qu’il aime, Miette, pour la défense de la République, laissant place nette aux appétits et aux ambitions du clan Rougon. Antoine Macquart, demi-frère de Pierre Rougon, dupé par celui-ci, trahit