Ode à Cassandre

Dans « Mignonne allons voir si la rose » Ronsard s’est inspiré d’une ode, qui est un poème lyrique généralement en 7  strophes  de 5 vers en décasyllabes, accompagné de musique.  Ce poème est composé de 3 sizains en octosyllabes. Le poète y fait alors la comparaison entre une rose et une femme. Ce poème

mais également aux auteurs italiens de la renaissance. C’est à cette époque que l’on va créer les règles de la versification Principaux poètes : Pierre de ronsard surnommé le prince des poètes Joachim de Bellay, recueil lyrique : les regrets Forme du poème : C’est une ode(=forme fixe qui obéit à des règles fixes et précises) 3 strophes de même longueur (ici des sizains) Le plus souvent écrite en octosyllabes, rythme assez vif Il a pour fonction de célébrer un personnage important ou un événement

en qualité de maître d'hôtel) et de Jeanne Chaudrier. Il a étudié au Collège de Navarre à Paris en 1533. Il semblerait qu'il n'ait pas apprécié la vie rude de l'école médiévale. Il est page auprès du dauphin du roi, François, puis de son frère le duc d'Orléans. Quand Madeleine de France épousa Jacques V d'Écosse, en 1537, Ronsard fut attaché au service du roi et passa trois années en Grande-Bretagne. En 1539, il retourna en France et entra à l'Ecurie royale.Il est dans la compagnie du duc d'Orléans

Ronsard, Les Amours, 1552, « Elégie à Cassandre » (extrait) Mon œil, mon cœur, ma Cassandre, ma vie, Hé ! Qu’à bon droit tu dois porter d’envie A ce grand Roi qui ne veut plus souffrir Qu’à mes chansons ton nom vienne s’offrir. C’est lui qui veut qu’en trompette j’échange Mon luth, afin d’entonner sa louange, Non de lui seul mais de tous ses aïeux, Qui sont là-haut assis au rang des Dieux. Je le ferai puisqu’il me le commande, Car d’un tel Roi la puissance est si grande, Que tant s’en

recueil L’instant fatal de Raymond Queneau, poète français de la première moitié du XXe siècle ; il est publié en 1948. C’est un poème de trois strophes dont le nombre de vers est répartis de façon inégale. Queneau s’inspire des poèmes de Ronsard « Ode à Cassandre » et « Quand vous serez bien vieille... », cependant il en fait une réécriture pour définir l’action de « cueillir le jour ». La reprise d’un thème ronsardien est-elle seulement parodique ? Dans un premier temps, nous étudierons la mise en évidence

de Jeannez Chaudrier. Son père a combattu sous Louis XII et François 1er, notamment aux côtés de Bayard. A 20 ans, en avril 1545, Ronsard rencontre, dans une fête à la cour de Blois, Cassandre Salviati, âgée de 13 ans, fille d'un banquier italien. Deux jours après, la cour quitte Blois : Il "n'eut moyen que de la voir, de l'aimer et de la laisser au même instant". Ronsard ne cessera dans ses oeuvres de proclamer son amour platonique. En 1547 Ronsard s'inscrit à l'Université et fait la connaissance

recueil L’instant fatal de Raymond Queneau, poète français de la première moitié du XXe siècle ; il est publié en 1948. C’est un poème de trois strophes dont le nombre de vers est répartis de façon inégale. Queneau s’inspire des poèmes de Ronsard « Ode à Cassandre » et « Quand vous serez bien vieille... », cependant il en fait une réécriture pour définir l’action de « cueillir le jour ». La reprise d’un thème ronsardien est-elle seulement parodique ? Dans un premier temps, nous étudierons la mise en évidence

Cette ode, inspirée d'Ausone, est composée en 1545 après la rencontre de Pierre de Ronsard, âgé de 20 ans, avec Cassandre Salviati, fille d'un banquier italien. Ce poème fait partie du premier livre des Odes, 17, et évoque la jeunesse qui passe comme le temps d'une fleur. Mignonne, alons voir si la rose À CASSANDRE Mignonne, allons voir si la rose Qui ce matin avait déclose Sa robe de pourpre au soleil, A point perdu cette vesprée, Les plis de sa robe pourprée, Et son teint au vôtre

pages 4 à 6 Deuxième couple de poèmes .................................. pages 7 à 10 Troisième couple de poèmes ................................ pages 11 à 13 Conclusion et bibliographie ............................................ page 14 Préface Le titre que j’ai choisi pour mon anthologie de poèmes : « l’imitation poétique » reflète parfaitement l’idée générale qui se dégage du corpus des six poèmes étudiés. En effet, j’ai analysé six poèmes, trois considérés comme « classiques » c’est-à-dire

Odes, publié en 1550. Il a été composé par Pierre de Ronsard, poète français qui fait partie d’un groupe de sept poètes nommé La Pléiade. Avec Joachim du Bellay et cinq autres poètes, il souhaite enrichir la langue française et créer une littérature nationale aussi illustre que la littérature latine. Dans le 17e poème du livre 1, Ronsard s’adresse à une jeune fille qui serait Cassandre Salviati, fille d’un riche banquier italien, rencontrée en 1545 à l’occasion d’une fête à la Cour de Blois. Il lui