Odette

L’histoire Un Amour de Swann est centrée autour d’un homme Charles Swann, qui est connu pour sa ruse. Swann tombe amoureux d’une courtisane, Odette, mais celle-ci ne réciproque pas son amour. Il est constamment « dans un état de mélancholique indifférence à toutes les choses qui ne touchaient pas Odette » (Proust 388), mais sa melancholie pour Odette se transforme en obsession. Swann devient fou de jalousie, il veut connaitre à chaque moment où elle est et avec qui elle est. Sa jalousie imprègne

la trouve aussi chez les femmes, quel que soit leur rang social. La vue « d’un visage ou d’un corps trouvées charment » le pousse à séduire. Il s’apparente, avant sa rencontre avec Odette, à un véritable don Juan. Il sait se montrer séduisant, prend soin de son apparence et sait dispenser des paroles flatteuses. Odette rompt avec les habitudes amoureuses de Swann pace qu’elle ne lui plait pas. Alors que Swann ne se fie qu’à son amour de la beauté, il est déçu par l’apparence d’Odette. Il ne parvient

entre Swann et Odette. Charles n’est pas immédiatement attiré par Odette mais, un beau jour, il se rend compte qu’elle ressemble à un portrait de Botticelli, ce qui le conduit à idéaliser la jeune femme et à penser à elle en permanence, jusqu’à l’obsession. C’est après une soirée donnée chez les Verdurin que tous deux deviennent amants. A la même période, une sonate pour violons devient, dans l’esprit de Swann, une association musicale symbolique de son amour pour Odette. Odette commence à se

lui donne rendez-vous pour le lendemain au même endroit. Felicie est seule. Par un heureux hasard, elle sort la moitié de carte de sa poche et lève les yeux ; elle est face à l’Opéra ! Là où elle a toujours rêvé d’être ! En entrant, elle rencontre Odette, une femme d’environ 35 ans, marchant avec l’aide d’une canne, qui s’occupe de l’entretient. Elle embauche Felicie, qui lui partage son amour pour la danse. Regine Le Haut, la propriétaire de l’Opéra les menace à répétition, et sa fille, Camille,

 femmes  qu’il  avait  d’abord  trouvées  jolies.     Résumé  :  Rencontre  entre  deux  personnes  qui  rien  ne  prédestine.   C.  Swann  n’est  pas  du  tout  attiré  par  Odette  de  Crécy  car  sa  beauté  ne  le  séduit  pas,  mais   elle  souhaite  le  revoir.  Il  apprend  à  mieux  la  connaître  et  sa  beauté  se  transforme  dès   lors

transposés aux types du récit. ➥ Ex: « Elle avait bien entendue frapper aux carreaux » variété dans discourt rapproché. (Polyphonie Énonciative.) II. Odette, une femme dissimulatrice A) Une parade rapidement trouvée. →Proposition courtes. (l.1 à 4) →Elle se justifie rapidement. →Elle improvise vite. B) Le principe adopté par Odette. → « Ça du moins, c’est vrai, se disait-elle, c’est toujours autant de gagné, il peut s’informer, il reconnaîtra que c’est vrai, ce n’est toujours pas

Déçu mais compréhensif, Swann rentre chez lui, après qu’Odette a éteint la lumière après lui pour aller s’endormir. Mais de retour chez lui, Swann est pris d’un soupçon… Mais quand il fut rentré chez lui, l’idée lui vint brusquement que peut-être Odette attendait quelqu’un ce soir, qu’elle avait seulement simulé la fatigue et qu’elle ne lui avait demandé d’éteindre que pour qu’il crût qu’elle allait s’endormir, qu’aussitôt qu’il avait été parti, elle avait rallumé, et fait entrer celui qui devait

l’origine du roman en France depuis le XIIème siècle contient nécessairement une histoire d’amour Dans ce texte, où le narrateur a le souvenir du personnage comme s’il s’agissait d’un récit réaliste, il décrit le début de l’amour de Swann pour Odette en le comparant à la musique « petite phrase de la sonate de Vinteuil » (compositeur fictif). En effet, au début cette musique est plus faible que l’amour mais à la fin elle domine cet amour de Swann, il y a un effet croissant dans la description

de Swann. Sa rencontre avec celle qui sera sa femme, Odette, et surtout sa jalousie maladive sont les thèmes de cette partie. Comme le reste de l'œuvre, la narration se fait à la première personne, mais puisque les évènements décrits se déroulent avant la naissance du narrateur, celui-ci raconte forcément le récit à la troisième personne. Et bien qu'à deux reprises, le narrateur utilise "je" en se rappelant des faits de ses relations avec Odette et Swann, cette partie du roman tient tout de même une

signale à plusieurs reprises : les Cottard sont habitués à une « école de peinture à travers laquelle ils voient dans la rue même les êtres vivants », de même que Swann voit le monde comme l’ont vu les peintres qu’il aime. Ainsi, ce dernier assimile Odette à la figure de Zéphora de Botticelli engendrant la naissance d’un amour aussi passionné que déraisonné. Le regard de Swann n’est pas celui d’un artiste, car il s’applique, avec la rigidité d’une mécanique, à ce qui est déjà connu. Cela, il ne débouche