Oedipe Parodie

desséchant de Pl. Ou encore « vénérable jarretières » : association incongrue entre terme noble et détail trivial ; ou encore « les deux yeux à demi fermés , il marmotte un Paster Noster ds son triple menton » : devrait prier mais sans doute endormi parodie : pges grotesques décrits co des héros, qu’ils pensent ss doute être. Héroïser ce qui est vil et bas, imiter ce qui est élevé alors qu’on est misérablt ridicule crée décalage parodique que l’on appelle héroï-comique. Le Chœur semble les prendre au

prévenir de la suite.  « juliette, femme de ménage et infirmière de Leurs Majestés » Vient ensuite le docteur. « monsieur le médecin du roi ». Certes, cette scène remplit bien son rôle informatif nonobstant elle contient des éléments qui tendent vers la parodie. Une scène parodique : 1/ Décor de la salle du trône À travers les didascalies initiales, on peut sentir la présence du dramaturge sur la description du château quand il décrit la salle du trône comme « délabrée, ... gothique ». Il y a donc une

crie « furieusement », il parle d'humeur « satanique ». II- Un jeu parodique : L'interpellation du vitrier par le poète parodie le topos du balcon. Les mots doux de l'amant font place ici à une interprétation agressive et bestiale, le « hé!hé » du poète. Comme une scène de balcon, l’ascension est difficile et le vitrier est mal récompensé de ses efforts. Baudelaire parodie aussi le calvaire de Jésus avec l'ascension du vitrier dont les vitres sont la croix, mais il s'agit d'un pauvre Christ dont

Cette incapacité à rester éveillé est comme contagieuse, mène les deux esclaves à faire des rêves, qu'ils cherchent aussitôt à interpréter, comme le voulait la coutume antique. Le premier à raconter son rêve est Xanthias, et il est présenté comme une parodie de présage, avec un jeu de mot sur les mots bouclier (ασπις) et serpent(ασπις) identiques en grec. Il faut donc à la fois comprendre que l'aigle tient un serpent et le lâche, ce qui est une image courante qui est donc ici détournée pour critiquer

machine infernale » on peut considérer que la machine est celle du destin, que l'on ne peut changer, qui est donc rusée. Seuls les dieux peuvent la changer, or, Œdipe, par orgueil veut changer son destin. Il est donc entrainé dans cette « machine infernale » par les dieux dont il ne peut plus sortir, comme une sorte de labyrinthe dans lequel œdipe est piégé, jusqu'au dernier moment il pense avoir changé son destin mais après dix-sept ans de bonheur, soudain, révélation de l’identité du roi, de son inceste

tragédie Œdipe-roi de sophocle. Il faut savoir que la tragédie oedipe, repose sur le fait qu’oedipe tue son père biologique, sans le savoir, et épouse par la suite sa mère. Petit synopsis : Œdipe naît à Thèbes, un oracle prédit qu’il tuera son père, le roi laîos et épousera sa mère, la reine Jocaste. Aussitôt ce dernier est abandonné et condamné à périr de triste manière. Mais le serviteur qui devait l’abandonner est pris de pitié et confie l’enfant à un inconnu venu de Corinthe. Ainsi, Œdipe grandit

SOMMAIRE Introduction p.2 I) Oedipe Roi, un mythe grec antique p.3 à 10 1) Sophocle, sa vie, son œuvre : p.3 à 6 A) Sophocle, dramaturge grec p. 3 à 4 B) Résumé et inspirations p.4 à 6 2) Figures essentielles du mythe :

leur fils sans lui révéler ces origines. Oedipe apprend qu'il est victime de cette malédiction et décide alors de partir de Corinthe pour protéger ses parents. Sur le chemin, il rencontre un homme qui n'avait pas especter une priorité à une intersection et qu'il tua. Oedipe arriva à Thebes et fut confronté au Sphinx qui assiègait la ville. Elle lui posa alors une enigme « Qu’est-ce qui marche à quatre pattes le matin, à deux le midi et à trois le soir ? » Œdipe réponda : « c’est l’Homme qui au matin

RÉSUMÉ # 1 Antigone de Jean Anouilh [ Résumé ] SOURCE: http://molakhass.blogspot.com/2009/05/antigone-de-jean-anouilh.html [pic] Oedipe, dans la mythologie grecque,c'est le roi de Thèbes, fils de Laïos et de Jocaste, roi et reine de Thèbes.La reine Jocaste attend un enfant. Son mari, Laïos, roi de Thèbes, s'enquiert auprès des dieux, comme il est naturel, de ce qui va venir. La réponse de l'oracle est terrible : " Il tuera son père ; il épousera sa mère". Il décide d'échapper à son destin

qui ne peut rien non plus pour lui.". Sa femme Eurydice ne lui parlera pas, "elle tricotera pendant toute la tragédie jusqu'à ce que son tour vienne de se lever et de mourir." (p. 11). Pour accomplir son devoir, il ne compte que sur lui : "Mais OEdipe et ses fils sont morts. Il a laissé ses livres, ses objets, il a retroussé ses manches et il a pris leur place.", "Et puis, au matin, des problèmes précis se posent, qu'il faut résoudre, et il se lève, tranquille, comme un ouvrier au seuil de sa journée