Oiseau blanc

vocabulaire théâtral : « planches », avec l’oiseau mis sous les feux des projecteurs, faisant une sorte de représentation devant les marins jouant le r^^ole de spectateurs. Il y a un passage du pluriel au singulier, le passage de « homme d’équipage », « oiseau » puis « compagnon » rendant l’oiseau plus familier au lecteur. Il en est de même pour le lieu avec un rétrécissement, passant de la mer, aux gouffres amers puis aux planches. II. Le poète s’assimile à l’albatros 1. En fait, ce poème n’est

milan est un oiseau rapace pouvant atteindre une grande envergure, dont le régime alimentaire se compose de petits gibiers. Il s’oppose ici au Rossignol qui est un oiseau frêle et menu dont le régime alimentaire se compose essentiellement de vers et autres insectes. L’expression « manifeste voleur » ressortit au cliché du milan qui vient voler tout ce qu’il peut trouver à manger dans les quartiers résidentiels. Cette expression stéréotypée permet d’emblée de dresser le portrait de ce oiseau. « répandre

Proposition d’étude de marché : Le marché de la viande d’autruche et d’émeu en France [pic] Lecerf Jonathan PMO1 Creton Yoann PMO1 Pannard Marc-Antoine PMO1 Année 2005/2006 Historique des élevages d’autruches Les autruches ont d’abord été chassées pour leurs plumes. Utilisées depuis le temps des Pharaons, c'est véritablement au 19ème siècle qu'elles furent recherchées en grandes quantités. La mode et la grande couture, les danseuses de cabaret, devenaient de grandes consommatrices

Le Chat noir L’auteur a écrit ce récit en imaginant qu’il allait mourir le lendemain et il voulait laisser à la postérité ses pensées les plus lourdes. De tous les animaux domestiques qu’il avait, lapins, oiseaux, poissons et autres, le personnage en possédait un quelque peu spécial : c’était un chat noir appelé Pluton et il l’aimait beaucoup. Celui ci appréciait beaucoup son maître et il le suivait partout ce qui fut un peu son malheur car lors d’une colère, le personnage l’attrapa brutalement

. Ce poème, extrait du recueil Les Fleurs du Mal écrit par Charles Baudelaire (1821-1867), personnifie la Lune pleine de chagrin. Tristesses de la lune Ce soir, la lune rêve avec plus de paresse ;Ainsi qu'une beauté, sur de nombreux coussins,Qui d'une main distraite et légère caresseAvant de s'endormir le contour de ses seins,Sur le dos satiné des molles avalanches,Mourante, elle se livre aux longues pâmoisons,Et promène ses yeux sur les visions blanchesQui montent dans l'azur comme des

mais jamais en soupe. » |et il n’y aurait pas de rossignols, je le |dos. Non ! […] Sainte bénite que vous aurez donc| | |garantis. » P.72 |rien vu de votre vivant! Si un oiseau un peu | | | |dépareillé vient à passer, vous rester en extase| | |

Dossier Sur Les Dinosaures Anaëlle BUSSON I) Généralités a) Caractéristiques ➢ Peau Les dinosaures avaient des écailles, comme les reptiles actuels. Comme les crocodiles, les écailles des dinosaures étaient incrustées dans le cuir de leur peau épaisse, au lieu de la recouvrir simplement, comme chez les serpents. Leur peau écailleuse protégeait les dinosaures contre les dents et les griffes des ennemis, et les piqûres de petits insectes comme les moustiques et les puces.

Je ne sais pourquoi est écrit en 1873 par Verlaine. Dans ce poème, Verlaine exprime sa souffrance et ses interrogations face à ce mal d'amour qui l'habite, à travers le symbole de la mouette. Nous verrons comment le poète s'identifie à cet oiseau pour exprimer son paysage intérieur et ses sentiments et étudiant tout d'abord la correspondance avec l'oiseau et les différents aspects des images, puis évoquerons la musicalité dans le poème, et dirons en quoi elle permet à l'auteur de laisser transparaître

Compte-rendu de lecture : Il était une fois un vieux couple heureux, de Mohammed Khaïr Eddine (Seuil, 2002, 186 Mohammed Khair-Eddine, mort en 1995 à l’âge de 54 ans, a laissé un journal, On ne met pas en cage un oiseau pareil et des œuvres publiées à titre posthume : une pièce de théâtre, Les Cerbères, et ce récit, Il était une fois un vieux couple heureux. Le Journal fournit au sujet de cette dernière œuvre un témoignage exceptionnel, puisqu’il en commente à plusieurs reprises la gestation

Foi les pousse et les exalte. Pourtant, à de certains moments, lorsqu’on fait halte, Que la fatigue vient, qu’on voit le jour blêmir, Et qu’on a tant marché qu’il faut enfin dormir, C’est l’instant où le Mal, prenant toutes les formes, Morne oiseau, vil reptile ou monstre aux bonds énormes, Chimère, préjugé, mensonge ténébreux, C’est l’heure où le Passé, qu’ils laissent derrière eux, Voyant dans chacun d’eux une proie échappée, Surprend la caravane assoupie et campée, Et, sortant hors de