Oiseau de feu

IV - Extrait commenté « MINCHETT : Comment! Mais puisque l'homme est le seul à faire le feu, qui fait le feu est donc un homme! SYBIL : Il n'y a pas cent ans maître, vous auriez dit encore : l'oiseau est le seul à pourvoir voler, qui s'envole est donc un oiseau... Dix ans plus tard ce n'était plus vrai. Non, voyez vous, déjà le sinanthrope a fait douter qu'il fallait être un homme pour faire le feu, et le tropi, loin d'affaiblir le doute, l'accroît, tout au contraire. JAMESON : Car il est

lui dans la tempête brève ? Qu'est devenu mon cœur, navire déserté ? Hélas! Il a sombré dans l'abîme du Rêve ! Devant le feu Par les hivers anciens, quand nous portions la robe, Tout petits, frais, rosés, tapageurs et joufflus, Avec nos grands albums, hélas ! Que l'on n'a plus, Comme on croyait déjà posséder tout le globe ! Assis en rond, le soir, au coin de feu, par groupes, Image sur image, ainsi combien joyeux Nous feuilletions, voyant, la gloire dans les yeux, Passer de beaux dragons

est un signe qui perdrait ce caractère qui en fait un signe s’il n’avait pas d’interprétant ». Avec le symbole nous sommes dans la catégorie de la tiercéité. Exemples : Tout mot ordinaire comme « donne », « oiseau », « mariage » est un exemple de symbole. Il ne nous montre pas un oiseau, ni n’accomplit devant nos yeux une donation ou un mariage, mais suppose que nous sommes capables d’imaginer ces choses et que nous leur avons associé le mot ». Un signe renvoie à son objet de façon iconique lorsqu'il

Théodore logeait dans une chambre à coucher inquiétante, décorée comme au 18ème siècle. Au mur se trouvaient de nombreuses tapisseries représentant la famille de son hôte. Il s’endormit. A onze heures, il se réveilla et vit les meubles bouger, le feu s’enflammer et la cafetière s’y installer pour faire bouillir le café. Tous les personnages des tapisseries en sortirent et se mirent à parler entre eux, en buvant du café et en fixant une pendule devant la cheminée. Théodore aperçut, assise sur une

dimanche. Elle disait de moi : C'est un enfant !  Je l'appelais mademoiselle Lise.  Pour lui traduire un psaume, bien souvent,  Je me penchais sur son livre à l'église ;  Si bien qu'un jour, vous le vîtes, mon Dieu !  Sa joue en fleur toucha ma lèvre en feu. Jeunes amours, si vite épanouies,  Vous êtes l'aube et le matin du coeur.  Charmez l'enfant, extases inouïes !  Et quand le soir vient avec la douleur,  Charmez encor nos âmes éblouies,  Jeunes amours, si vite épanouies ! Mai 1843.   Victor Hugo

sexuel ("fermé en pointe", "Ma langue savoure", "mes lèvres moites", "s'enfoncent", "sable chaud", ...). Il apparait qu'il convient d'un souvenir, mais la chute laisse penser que l'auteur à de l'espoir que ce souvenir se reproduise "Je crois encore au feu d'artifice.". J'ai été touché par la profondeur des sentiments que l'on ressent en lisant ce poème. La force et la richesse des mots employés accroissent d'autant plus les émotions éprouvées. Paul VALERY, La Fileuse Assise, la fileuse au bleu de

Pour commencer l’année. Lisez le texte suivant : L’Oiseau. Un homme attrapa un jour un oiseau au plumage multicolore. Heureux de sa prise il décida de le mettre en cage afin que, par son chant, l’oiseau égaye sa maison. * Que me veux-tu ? lui demanda le malheureux animal. Regarde donc mon maigre corps, mes fines pattes et ma pauvre tête. Je ne suis qu’un vieil oiseau dont les cordes vocales sont usées. Tu ne pourras rien tirer de moi. Rends-moi ma liberté et en échange je te révélerais

poème, Toi la toute-pure, toit la toute-sainte. Le peuple de Saba, Balkis, cherche sa reine des yeux, Rends donc au peuple son salut ! Toi la plus noble des reines, Femme qui symbolise toutes les gloires des époques sumériennes ! Balkis, toi mon oiseau le plus doux, Toi mon icône la plus précieuse, Toi larme répandue sur la joue de la Madeleine ! Ai-je été injuste à ton égard En t'éloignant des rives d'Al A'damya ? Beyrouth tue chaque jour l'un de nous, Beyrouth chaque jour court après sa

expliquer à sa sœur le crime de Térée. Elle confectionne alors une tapisserie ; Prognée découvre avec fureur ce qu'a fait son mari et elle se venge en tuant leur fils et en le lui donnant en guise de repas. C'est alors que les sœurs se transforment en oiseau et fuient suivies par Térée. Le récit est narré à partir d'un point de vue omniscient. Alors que dans la réécriture de Catulle Mendès, Philoméla, c'est un homme qui raconte l'histoire. Éperdument amoureux d'une fille qui n'a que faire de lui, il se

fille lève le bras gauche et la jambe droite. A droite de l’image, on aperçoit un escabeau dans l’ombre sous une fenêtre à barreaux, et derrière cette fenêtre, on distingue des plantes. Au-dessus d’elle il y a une cage et tout en haut de l’image, un oiseau rouge qui vole. A gauche de l’image, il y a deux portes ouvertes. Un petit garçon, lui aussi vêtu de rouge s’appuie sur la porte de gauche. Derrière lui, au troisième plan, on voit une autre pièce avec une gazinière sur laquelle sont posées des casseroles