Oiseau de feu

exprimée au vers final (« aux yeux de niveau d’eau de niveau d’air de terre et de feu »). La femme condense en elle-même les différents éléments, les différentes formes de vie : le minéral : « ambre, pierre, ardoise, écume de mer, rubis, vif-argent, craie, grès, amiante... » le végétal : « bois, foin, fênes, troènes, blé, moelle de sureau, orge, rose... » l’animal : « loutre, souris, hirondelle, dauphins, martre, oiseau, paon... » le mécanique : « sablier, poupée qui ouvre et ferme les yeux, écluse

dérangeait mes papiers », « riait ». Elle faisait des petites blagues à son père : « quelques arabesques folles », « maintes pages blanches entre ses mains froissées ». Elle est espiègle et gaie, mais aussi libre (« Et soudain s’en allait comme un oiseau qui passe ») : sa visite est brève, fugace mais apporte un « rayon » de lumière à Hugo. C’est une jeune fille intelligente et spirituelle : « c’était un esprit avant d’être une femme ». Hugo souligne cette spiritualité en soulignant qu’elle « aimait

Élévation – Les fleurs du malCharles Baudelaire est un poète Français du 19e siècle, héritier du romantisme et précurseur du symbolisme ; occupe une place qui lui est propre dans l'histoire littéraire. En 1857, paru le premier exemplaire des Fleurs du mal, un recueil de poèmes qui fut partiellement censurer car la volonté de Baudelaire de mêler le beau avec le sordide, la sensualité et le mal choqua la bourgeoisie bien pensante. Ce n'est qu'en 1861 que le recueil est remanié et enrichie d'une 20aine

3 femmes affolées : 1 : elle apporte de la lumière 2 : elle sort en courant et en criant de sa maison en feu 3 : elle a les bras écartés vers le sol comme si elle allait tombée - Entre le taureau et le cheval on distingue un oiseau bec et cou tendus vers le ciel - Seule note d’espoir, une petite fleur entre les pattes du cheval De nombreuses connotations  religieuses

Il apprend que ses parents sont à Tomble une prison. Avec Elisha ils font une plan et réussissent à faire entrer Tobie qui sans faire exprès met le feu à la prison. Il à la clé et va délivrer ses parents. Ce ne sont pas ses parents mais les Olmech qui on été mit en prison. Il en à raz le bol de la vie et saute dans une baie en attendant qu’un oiseau la mange. Il s’endort et à son réveil il est encore vivant car l’oiseau n’a pas mangé le pépin auquel il était accroché. Il découvre une tribu au pied

l’immolation de la femme âgée, Montag fait face à un dilemme spirituel d’amour et de haine pour son travail. En tant que sapeur-pompier, il est marqué par le symbole du phénix, mais ironiquement il est inhibé contre une ascension comme celle de cet oiseau car il ne sait pas comment utiliser ses capacités intellectuelles pour effectuer de bonnes actions. Après avoir contacté le professeur Farber, Montag commence à se transformer (au sens figuré du terme) et cette métamorphose représente sa renaissance

portes-fenêtres; un oiseau-mouche, des oiseaux-mouches; un sourd-muet, des sourds-muets. Nom + adjectif ou adjectif + nom Les deux mots prennent la marque du pluriel. Un coffre-fort, des coffres-forts; un rouge-gorge, des rouges-gorges. Attention : des pur-sang (c’est-à-dire «qui a le sang pur»). Nom + préposition + Nom Seul le premier nom s’accorde. Un arc-en-ciel, des arcs-en-ciel; un chef-d’œuvre, des chefs-d’œuvre; un timbreposte, des timbres- poste (des timbres de la poste). Attention : pot-au-feu ou rez-de-chaussée

les cartouches qui en étaient tombées, et, avançant vers la fusillade, alla dépouiller une autre giberne. Là une quatrième balle le manqua encore. Gavroche chanta :      Je ne suis pas notaire,      C'est la faute à Voltaire,      Je suis petit oiseau,      C'est la faute à Rousseau.      Une cinquième balle ne réussit qu'à tirer de lui un troisième couplet :      Joie est mon caractère,      C'est la faute à Voltaire,      Misère est mon trousseau,      C'est la faute à Rousseau.      Cela

bousculent Ton souvenir gît enchaîné Loin de nos ombres qui reculent *** Tes mains qu’enchaîne la mémoire Et brûlantes comme un bûcher( amas de bois sur lequel on brûlait les pers.condamnées au supplice fe) Où le dernier des phénix noire(oiseau fabuleux ki s brûlait lui-même pr renaître de c cendr) Perfection vient se jucher ( se mettre sur une branche pr dormir) *** La chaîne s’use maille à maille Ton souvenir riant de nous S’enfuir l’entends-tu qui nous raille Et je retombe

ressemblance avec voire plumage et, par conséquent est aussi beau que lui, vous êtes le phénix, c’est-à-dire le plus rare et le premier des oiseaux qui habitent ces bois. Le Phénix passait, chez les Anciens, pour un oiseau unique, sans pareil, qui vivait cent ans et se jetait ensuite dans le feu pour en sortir plein de jeunesse. — On appelle hôte celui qui reçoit chez lui un étranger et lui donne la nourriture et un lit : le même mot désigne aussi celui qui reçoit l’hospitalité. Les oiseaux sont les habitants