Oiseau

Le titre donne déjà une information sur le personnage principal, il s’agit d’un oiseau, un martinet. Ce poème se compose de vers libre, 4 tercets et 1 distique et d’1 quatrain. Dans le premier tercet, ce compose d’une description de l’oiseau (Vers 1 : « Martinet aux ailes trop larges ») et d’une personnification « crie sa joie autour de la maison » l’oiseau peut crier certes mais on ne sait pas s’il exprime sa joie ou un autre sentiment. Le vers 3 : « tel est le cœur » contribue à faire comprendre

personnage qui va l’aider Un centaure Un musicien Un elfe Un archer Un moine Une femme oiseau A  Résoudre une énigme ou des devinettes  Franchir des falaises, des océans …  Combattre des voleurs, des brigands….  Combattre un monstre  ………………………………………………………………. Il rencontre Un vieillard Une fée Un magicien Un esprit des fleurs Une magicienne Un oiseau qui va lui donner Un livre Un bouclier Une ceinture Un miroir Une épée Une coupe

bottines. Entre les mains de cette mignonne créature, — moitié oiseau, moitié poupée, — les piécettes d’or fondaient que c’était un plaisir. Elle avait tous les caprices ; et lui ne savait jamais dire non ; même, de peur de la peiner, il lui cacha jusqu’au bout le triste secret de sa fortune. — Nous sommes donc bien riches ? disait-elle. Le pauvre homme répondait : — Oh ! oui… bien riches ! Et il souriait avec amour au petit oiseau bleu qui lui mangeait le crâne innocemment. Quelquefois cependant

entre les deux situations. Comparaison filée ou SYMBOLE. A l’idée abstraite, il substitue une image. =>c’est à cause de leur supériorité que l’albatros et le poète sont en proie aux sarcasmes et à l’incompréhension. Oppositions très fortes : Oiseau dans les airs/ au sol Poète dans les régions élevées de la création/poète face à un quotidien sordide |Dans les airs |Au sol |

 L'Aigle Les rapaces font partie de la famille des oiseaux. Comme tout les oiseaux, ils volent et possèdent des plumes mais, ce qui les caractérise plus spécifiquement, c’est leur bec crochu. L'aigle qu'il soit royale ou imperiale , cette oiseau est ce que l'on peut dire l'empreur des animaux 1-Histoire de l'animal Les rapaces ont, depuis longtemps, exercé une fascination sur les hommes. Rapidement, ils ont été considérés comme des dieux dans les mythologies égyptiennes, grecques et romaines

d'avoir ce lys, bleu comme tes yeux bleus, Qui d'Iran borde le puits sombre ? Ou le fruit du tuba, de cet arbre si grand, Qu'un cheval au galop met, toujours en courant, Cent ans à sortir de son ombre ? Veux-tu, pour me sourire, un bel oiseau des bois, Qui chante avec un chant plus doux que le hautbois, Plus éclatant que les cymbales ? Que veux-tu ? fleur, beau fruit, ou l'oiseau merveilleux ? - Ami, dit l'enfant grec, dit l'enfant aux yeux bleus, Je veux de la poudre et des

l’extérieur. Champ lexical : « en cercle » (v.5) et « tournant » (v.11) Sous-arguments 2.2 : De plus, dans Cage d’os d’Hector de de Saint-Denys Garneau, la mort provient de l’intérieur. « Je suis une cage d’oiseau Une cage d’os Avec un oiseau L’oiseau dans ma cage d’os C’est la mort qui fait son nid » (v.1-5) Synthèse : Argument 3 : Malgré que la menace des oiseaux provienne de l’intérieur et de l’extérieur des victimes, la fatalité reste tout de même abordée de la même manière

sortir du labyrinthe. La colère de Minos se retourna contre Dédale qu'il fit enfermer dans une tour surplombant la mer. Mais Dédale était un homme inventif et plein de ressources. Il décida tout simplment de s'évader de la tour en volant comme un oiseau. Il appela son jeune fils, Icare, et lui demanda de ramasser toutes les plumes qu'il pouvait trouver. Puis il fabriqua quatre armatures en forme d'ailes sur lesquelles il fixa les plumes avec de la cire. Enfin, il attacha, à l'aide de courroires,

couples d’adjec- tifs « maladroits et honteux » (v. 6), « gauche et veule » (v. 9), « comique et laid » (v. 10) carac- térisant l’oiseau/poète « exilé au sol ». Les trois autres textes ménagent une gradation : il n’est plus question de bel oiseau mais d’ani- maux peu aimés. La chute du poème de Corbière est explicite : « ce crapaud-là, c’est moi ». Comme lui, il est laid, nu (« tondu »), enterré vivant dans le froid, la boue et le manque d’air (v. 1 : « dans une nuit sans air

appelle tout Maud pour énorme de qu’elle colis. suite Pierre son vienne amie l’ouvrir avec lui. À l’intérieur, il y a une cage, et dans la cage, un oiseau qui s’appelle Robert. Il y a aussi une lettre du grand-père de Pierre. Il dit qu’il part en voyage et qu’il lui confie son oiseau. Ni Maud ni Pierre ne se sont jamais occupés d’un oiseau. La première chose qu’ils font… c’est d’ouvrir la porte de la cage ! parents lui annoncent qu’ils se séparent. Il y aura un avant et il y aura un après