Oiseau

OISEAU DE NUIT Oiseau de nuit est une huile sur toile du célèbre peintre Edward Hopper. Elle fut peinte en 1942 et mesure 84 x 152 cm, elle est exposée à l'Institut des Arts de Chicago. Oiseau de nuit (Nighthawks) huile sur toile 1942 Biographie Edward Hopper est né à Nyack (état de New York) le 22 juillet 1882 dans une famille de commerçants prospères.  Attiré très tôt par le dessin, il suit des études à la New York School of Art où l'un de ses professeurs, Robert Henri, exercera

OISEAU ETRANGE Encore une dernière ligne et je me sens d’avoir fini mon travail. Je tiens le dessin plus loin de moi avec les doigts tout noirs, couverts en graphite, je cligne un peu mais le résultat me rends déçue. Pas bon. Quelque chose me manque tellement que je ne suis pas capable de dire. Dans ma mémoire, il était si vif mais comme ça... juste quelques rayures sur un morceau de papier. Il ne peut pas battre le réalité. J’essaie d’approfondir la ride entre ses sourcils stricts mais c’est encore

Parler anglais au Québec, est-ce une trahison ? Selon plusieurs spécialistes, le Québec francophone est en guerre avec l’anglicisation qui occupe de plus en plus de place dans la population. Mais pourquoi donc ya t-il autant d’anglais ? C’est simple a comprendre .Si nous ne parlons pas anglais notre province sera isoler au reste du canada car le reste est anglophone. Devenir bilingue ne veut absolument pas dire que nous trahisons nos amis ou nos familles d’ici. C’est tout simplement qu’il faut

II – La représentation d’une cité idéale mais angoissante L’architecture de la cité est très riche, elle offre des paysages urbains denses et variés. En effet, il y a de nombreux styles différents : Le style antique avec les colonnades, portiques et arcades Le style classique avec les lignes droites et les arches Le style médiévale, tourelles et crénaux Le style gothique, flèches sur les toîts et contreforts Le style moderne avec les immeubles, ponts et verrières typiques du 19ème siècle. Le château

NFONÇANT  dans  les  poches  de  sa  culotte  ses  mains  glacées,       Jean-­Marie,  qu’on  avait  envoyé  en  commission  à  Saint-­Geniès,   s’en  revenait  à  la  ferme  d’Estacobiau. Devant   lui,   sur   le   chemin  tout  craquant  de  givre,  trottinaient   deux   petits   garçons   de   son   âge,   bien   vêtus,   bien   chaussés,   avec   un   bon  béret  enfoncé  sur  les  yeux,  et  tout  autour  du  cou,  un  cache-­nez  de   tricot  :  car  on  était  au  cœur  de  l’hiver.   Ceux-­là

POUR FAIRE LE PORTRAIT D’UN OISEAU Introduction : Prévert est un auteur du XXème siècle, il appartient au mouvement surréaliste mais finit par le quitter. Prévert est un poète libre qui privilégie la parole aux écrits car pour lui ce ne sont pas les mots mais la parole qui reste. On peut le constater dans son recueil de poèmes « Paroles » publié en 1945 et plus précisément dans « Pour faire le portrait d’un oiseau » (page 155-156). Dans ce texte, Prévert renouvelle le genre poétique, il donne à

propose l’apologue « le Phénix » dans son livre II. Il présente cet oiseau fabuleux et en profite pour délivrer une leçon sur la solitude des puissants. Comment Florian utilise-t-il l’apologue pour délivrer son message sur la solitude ? Nous analyserons d’abord le protrait élogieux de l’oiseau. Puis nous nous intéresserons à la morale. I : un portrait élogieux 1. Un oiseau fabuleux Oiseau fabuleux lié à la mythologie : oiseau légendaire qui a la particularité de renaître de ses cendres : « qui

de la compétence de l’individu mais aussi de sa lecture de la phrase (scientifique, métaphorique) Ex : 1Le moineau est un oiseau (V) 2L’autruche est un oiseau (V)* 3Le pingouin est un oiseau (V)* 4La chauve-souris est un oiseau (F)* 5La gazelle est un oiseau (F)* 6L’éléphant est un oiseau (F) 1 et 6 sont unanimement considérées respectivement comme vraie et fausse. A oiseau est associé le sème : /vole/ et /petit/(2et 3 :F et 4 :V) Phrase 5 : lecture métaphorique possible. 3 c-1) Prototype

pas une minute ; mais avec la mine d’un lord ou d’une lady, il se percha au-dessus de la porte de ma chambre ; il se percha sur un buste de Pallas juste au-dessus de la porte de ma chambre ; – il se percha, s’installa, et rien de plus. Alors, cet oiseau d’ébène, par la gravité de son maintien et la sévérité de sa physionomie, induisant ma triste imagination à sourire : « Bien que ta tête, – lui dis-je, – soit sans huppe et sans cimier, tu n’es certes pas un poltron, lugubre et ancien corbeau, voyageur

n’hésita un instant : mais, avec une mine de lord ou de lady, se percha au-dessus de la porte de ma chambre ; se percha sur un buste de Pallas, juste au-dessus de la porte de ma chambre ; se percha, siégea et rien de plus Alors cet oiseau d’ébène induisant ma triste imagination au sourire, par le grave et sévère décorum de la contenance qu’il eut : "Quoique ta crête soit chenue et rase, non! Dis-je, tu n’es pas, pour sûr, un poltron, spectral, lugubre et ancien Corbeau, errant