Olivier Duhamel

elle est en effet l’expression de la volonté générale. Or en 1958 on crée un organe qui est chargé de contrôler la conformité des lois à la constitution. On admet donc que la loi peut être remise en cause par le juge constitutionnel. A cet égard Olivier Duhamel soulignait qu’il est assez étonnant de concevoir que neuf juges puissent remettre en cause le texte voté par la représentation nationale, qui est la voix du peuple souverain. Dans ces conditions on comprend que le Conseil Constitutionnel n’ait

par exemple les partis nationalistes modérés basques, ou la Gauche unie (de tendance communiste). Schéma extrait du Figaro Bibliographie : - www.lefigaro.fr - Jean Testas, Les institutions espagnoles, Que sais-je ?, PUF - Olivier Duhamel, Les démocraties, Seuil - Jean Meyriat, Changement politique en Espagne ?, Editions FNSP - Hernández Yáñez Jaime, L'Espagne au XXIe siècle : société, politique, économie, Editions du Temps - Marie-Anne Cohendet, Droit constitutionnel

repose sur le bipartisme. Affrontements des Whigs et des Tories au XIXe siècle, conservateurs contre libéraux par la suite, puis depuis l'après-guerre, conservateurs contre travaillistes. Une autre conséquence de ce mode d'élection est selon Olivier Duhamel, l'instauration implicite d'une élection primo-ministérielle, le chef du parti majoritaire devenant premier ministre.

modification. Etant les partenaires essentiels des grands partis, ces derniers n’osent aller contre leurs désirs. La réforme du système électoral paraît ainsi empêchée par un cercle vicieux encré dans la tradition politique d’Israël. Bibliographie : Olivier Duhamel, Droit constitutionnel et institutions politiques, Seuil Stéphane Pierré-Caps, Droits constitutionnels étrangers, PUF Julien Bauer, Que sais-je ? Le système politique israélien, PUF Ilan Greilsammer, Réflexion sur le système électoral israélien

Les élections législatives et le fait majoritaire « Comme tout scrutin majoritaire, le nôtre favorise le vainqueur et exclut les petits ou moyens partis indépendants, c'est à dire sans alliés, de la représentation. » Olivier DUHAMEL. Les élections législatives permettent l'élection des députés qui siègent à l'Assemblée National. Le mode de scrutin constitue les modalité de l'élection et influe directement sur son résultat. On distingue scrutin majoritaire et scrutin

circonscription (577) tandis que le président seul est élu par la majorité absolue de tous les français et dans une seul circonscription : la France, surcroît de légitimité. "Monarrque démocratique par excellence, nul doute qu'il gouvernera" Olivier Duhamel, droit constitutionnel et politique. La somme entre élections populaires et prérogatives présidentielles importantes tend vers un régime semi-présidentiel à président fort car ce dernier ne pourra être politiquement immobilisé longuement. Toutefois

outre ceux des origines devenus classiques aujourd'hui, ceux de Michel Debré, Pierre Avril et Jean Gicquel : Francis de Baecque, Qui gouverne la France ?, Paris, PUF, 1976 ; Maurice Duverger, Le système politique français, Paris, PUF, 1985 ; Olivier Duhamel, Le pouvoir politique en France, Paris, PUF, 1991 ; Léo Hamon, La République présidentielle, Paris, Bordas, 1975 ; René de Lacharrière, La Cinquième, quelle République ?, Paris, PUF, 1983 ; Didier Maus, Textes et documents sur la pratique de

jacobin, garde pour autant les rênes du pouvoir. Bibliographie : . Guy Carcassonne, La Constitution, Point Seuil, Paris, 2005. . Simon Louis Formery, La Constitution commentée article par article, Les Fondamentaux Hachette Supérieur, Paris, 2005. . Olivier Duhamel, Le pouvoir politique en France, Point Seuil, Paris, 2003. . Bernard Chantebout, Droit Constitutionnel, Armand Colin, Paris, 2005. [...]

des transports et de la protection de l’environnement. Cela induit une surcharge de travail pour les membres du gouvernement. Des projets de réforme ont été proposé mais aucun n’a obtenu jusqu’à aujourd’hui. ! ! ! ! ! ! Sources: Ouvrage: Olivier Duhamel, Guillaume Tusseau, Droit Constitutionnel et Institutions Politiques, 3ème édition , Seuil, 2013. ! Revue: La Suisse, Pouvoirs, n° 43, PUF, 1987 ! ! ! ! ! 

cause de l’égalité des autonomies et bilatéralisme des relations Généralité/Etat. On s’oriente dès lors vers la négation du fédéralisme et un modèle de confédération, comme l’étaient les empires romain germanique et austro-hongrois. Sources : Olivier Duhamel, Droit constitutionnel et institutions politiques, 2011 Pierre Subra De Bieusses, Un Etat unitaire ultra-fédéral, in revue Pouvoirs, n°124 (janvier2008)