Olympie

monde sans cesse en mouvement, il s’inscrit désormais comme une composante essentielle au cœur d’enjeux économiques et géopolitiques. Quelques dates de l’histoire du sport 776 avant J.-C. : un athlète nommé Korœbos remporte la course du stade à Olympie. C’est cette date que retiennent les historiens pour marquer la naissance du sport dans la Grèce antique. 1872 : création, sur le modèle anglais, du « Le Havre football club », premier club français de football. 1873 : création de l’Union des sociétés

comme dans les galeries extérieures. Vitruve donne comme modèle de ce genre le temple à huit colonnes de Minerve, à Athènes, Georg Wilhelm Friedrich Hegel, Esthétique, tome premier (1835, posth.) 277 et celui, à dix colonnes, de Jupiter, à Olympie (Hirt, Histoire de l’archit., III, p. 14-18 ; et p. 151). Nous omettons les différences qui s’offrent ensuite, sous le rapport du nombre des colonnes, aussi bien que de leur distance respective et des murailles, pour nous borner à faire remarquer

doctement au Comité d’instruction publique de la Convention. Il ne s’agit en rien d’une égalité économique ou sociale, notamment les rois sont d’une richesse proverbiale et certains Spartiates sont assez riches pour faire concourir des chars à Olympie et remporter souvent la victoire. A l’inverse, certains s’appauvrissent tellement qu’ils ne peuvent plus participer aux syssities et donc continuer à jouir des droits civiques. D’ailleurs Aristote explique les inégalités sociales par la cupidité des

circuler comme dans les galeries extérieures. Vitruve donne comme modèle de ce genre le temple à huit colonnes de Minerve, à Athènes, Georg Wilhelm Friedrich Hegel, Esthétique, tome premier (1835, posth.) 277 et celui, à dix colonnes, de Jupiter, à Olympie (Hirt, Histoire de l’archit., III, p. 14-18 ; et p. 151). Nous omettons les différences qui s’offrent ensuite, sous le rapport du nombre des colonnes, aussi bien que de leur distance respective et des murailles, pour nous borner à faire remarquer

Mysie Pergame LESBOS Phocée CHIOS Magnésie Smyrne Lydie Crotone Mer Ionienne Delphes Eu bé e SICILE Athènes ANDROS SAMOS Ionie NAXOS COS Éphèse Milet Phrygie Carie Cnide CYTHÈRE Agrigente Syracuse Gela Olympie Corinthe Pé lop on nè s Sparte e RHODES Mer Intérieure CRÈTE 17 18 3. La science grecque Cette importance de la dialectique impr`gne toute la litt´rature philosophique grecque, en e e particulier celle ´crite sous forme de dialogue

genre de celle sur laquelle nous etions montes composent aujourd'hui toute la marine des Syracusains. Notre premiere visite fut pour le fleuve Alphee. A tout seigneur tout honneur. Ce fleuve Alphee, comme nous l'avons dit, apres avoir disparu a Olympie, reparait dans le grand port a deux cents pas de la fontaine Arethuse; le bouillonnement de ses flots est visible a la surface de la mer, et on pretend qu'en plongeant une bouteille a une certaine profondeur, on la retire pleine d'eau douce et parfaitement

on sent de bonnes odeurs, la sève des bois s’infiltre dans vos muscles, le bleu du ciel descend en votre esprit, on vit tranquillement, heureusement ». Nuit dans un khan, « froide et pleine de puces ». Départ à 8 h, rive droite de l’Alphée jusqu’à Olympie : « Traces de murs énormes, grosses pierres très bousculées, une base de colonne cannelée […] voilà tout ce qui reste ». Déjeuner au bord d’un ruisseau. Le cheval de Flaubert « entrant dans la boue jusque par derrière les jarrets, manque d’y rester

dans les eaux de Cumes et en sauvant ainsi les Grecs de Campanie(5). En Occident comme en Orient, l’hellénisme triomphait des plus terribles assauts qu’il ait eu à subir. Sur le butin pris aux Carthaginois, Gélon fit des offrandes à Delphes(6) et à Olympie(7) ; Simonide(8), Eschyle(9), 438 COLONISATION PHÉNICIENNE, EMPIRE DE CARTHAGE. Pindare(1) célébrèrent la gloire de leurs frères de Sicile. Carthage, découragée par ce désastre(2) et craignant peutêtre une expédition de Gélon en Afrique(3)

qu'étaient parachevés les rites voulus, les honneurs rendus au dieu ou au héros topique, la foi avait rempli sa mission. Puis ces rites, ces honneurs, ces dieux et ces héros changeaient à chaque demi-lieue. Au cas où, dans quelques sanctuaires, comme à Olympie par exemple, ou à Dodone, on voudrait reconnaître, non plus l'adoration d'une des forces ou d'un des éléments de la nature, mais celle du principe cosmique lui-même, cette sorte d'unité ne ferait que rendre le fractionnement plus remarquable, comme