Ombre

organisé en larges bandes colorées rouges, vertes et jaunes, structures auxquelles se rajoute un cercle composé des tables et des chaises centré sur le billard central. Ce billard, éclairé verticalement, projette une ombre imposante au milieu de la salle. Cet hombre et la seule ombre présente dans le tableau. Dans ce tableau les couleur les plus utilisé sont: le rouge et le vert et le jaune. Le jaune, associé d’habitude chez le peintre à la vigueur solaire, à la pureté céleste de la lumière, apparaît

oiseaux. Que nul soin ne te tourmente.  Aimons-nous! Aimons toujours!   La chanson la plus charmante  Est la chanson des amours. Choix du poème : XII- Aux anges qui nous voient -- Passant, qu'es-tu? je te connais.  Mais, étant spectre, ombre et nuage,  Tu n'as plus de sexe ni d'âge.  -- Je suis ta mère, et je venais! -- Et toi dont l'aile hésite et brille,  Dont l'oeil est noyé de douceur,  Qu'es-tu, passant? -- Je suis ta soeur  -- Et toi, qu'es-tu? -- Je suis ta fille. -- Et toi

.......................................... 277 Ombre à paupières Violette lumineuse ...................................................................................................... 278 Fard à paupières compact Rose tendre Hibiscus & Bambou 10 g ......................................................... 279 Palette d'Ombres à paupières "Nuances de Rose" ................................................................................... 280 Ombre à paupières scintillante "Flocon de neige" ...

entendre une certaine intimité avec cette personne, de même que le constant rapprochement entre je et tu : « tes pas »/ « ma vigilance » ; « tes lèvres »/ « mes pensées » ; « mon cœur »/ « vos pas » · Le corps se précise comme un dévoilement : de l’ « ombre »v.5 aux « pieds »v.8 et aux « lèvres »v.9. De plus, la caractérisation du corps marque une attitude amoureuse : « pieds nus » et « lèvres avancées » · Le désir est présent dans les mots « doux »v.6, « acte tendre »v.13, « un baiser »v. 12 et dans

remarque que ce vers est équilibré, en effet la césure (ici une virgule «,») sépare les deux hémistiches. On a l’impression que ce premier vers nous propose un thème (celui de l’eau + ombre/lumière) et qu’il le développe ensuite : en effet, on retrouve le champ lexical, de l’eau : « rivières ; écumeux ; glaçons… » Et le C.L ombre/lumière : « occident ; ardent… » Le vers initial annonce donc le contenu des quatrains et les deux quatrains se présentent comme le développement du thème initial. *chiasme=figure

connaître le contenu du billet, mais ne trouve que le mouchoir et l'épingle de cravate de Balduin dont il s'était servi pour fermer la lettre. La nuit suivante la comtesse se hâte au rendez-vous. Lyduschka, qui la rencontre par hasard, la suit comme son ombre. Balduin et la comtesse se promènent par un magnifique clair de lune dans le cimetière désert. Ils s'arrêtent sur un monticule et Balduin s'apprête à donner à la comtesse un premier baiser, quand brusquement il s'arrête et regarde fixement son double

distingue des autres poèmes habituels principalement en raison du fait qu'il contient des procédés issus de la façon usuelle de parle. Le poème en prose contient des vers inégaux mais ne contient pas de rimes (exemple la bougie de francis Ponge : ombre ne rimes pas avec noir, ni avec stupeur et aliment) ni de strophes (exemple Ondine de Bertrand : ce n'est pas des strophes mais des longues phrases). Cette forme de poésie est plutôt assimilée à un texte, à une nouvelle ou à un récit plutôt qu'à un

Terre vaut[pic]. On peut déterminer le rayon de la Terre même si la ville considérée n’est plus Alexandrie et n’est plus sur le même méridien : il suffit de connaître la distance entre ces deux villes, la hauteur du bâton et la longueur de son ombre. Ensuite, il n’y a plus qu’à calculer, de la manière précédente, l’angle[pic]et : [pic] 2. Expérience : mesure du rayon d’une sphère par la méthode d’Eratosthène 2.1 Dispositif expérimental Une demi-sphère de polystyrène fermée par une

jettent leurs feuilles. La campagne, brûlée par les rayons ardents de l’été, sent la mort venir avec les premiers vents froids. Et il y a, dans les cieux, des souffles plaintifs de désespérance. La nuit descend de haut, apportant des linceuls dans son ombre. Les promeneurs se taisaient. Assis au fond de la barque qui coulait avec l’eau, ils regardaient les dernières lueurs quitter les hautes branches. Ils approchaient des îles. Les grandes masses rougeâtres devenaient sombres ; tout le paysage se simplifiait

mots ne lui ont pas fait perdre une amie non ! Pas du tout ! Non… Elle a perdu sa sœur. Comme quoi des mots peuvent par-être anodin mais peuvent vous faire perdre un être cher… Tournez 10000 fois votre langue dans votre bouche. Tu étais comme mon ombre mais tu m’apportais de la lumière. Tu étais ma lumière qui me faisait briller dans l’ombre… Je pleure pas (impossible venant de ma pars tu le sais), mais j’ai mal. Je te cherche pas, mais tu me manques. Je te parle pas, mais je pense à toi. Je le