Ombre

À droite l'aube d'été éveille les feuilles et les vapeurs et les bruits de ce coin du parc, et les talus de gauche tiennent dans leur ombre violette les mille rapides ornières de la route humide. Défilé de féeries. En effet : des chars chargés d'animaux de bois doré, de mâts et de toiles bariolées, au grand galop de vingt chevaux de cirque tachetés, et les enfants et les hommes sur leurs bêtes les plus étonnantes ; — vingt véhicules, bossés, pavoisés et fleuris comme des carrosses anciens ou de contes

Illustration des synesthésies (= correspondances dites horizontales entre les sens). Passage au malaise, ce vertige, agréable, tourne au malaise mais le tournoiement combine plaisir et malaise. III Le spleen baudelairien Antithèse ombre/lumière Ombre: vers 10 " néant vaste et noir " Lumière est associée au passé " passé lumineux " et au souvenir " ton souvenir [...] luit " Dimension religieuse, " ostensoir " " reposoir " " encensoir " permettent de donner une dimension religieuse au

une ombre de nous même “et un moi conventionnel”. Ces expressions indiquent que les mots ne nous donnent que des informations superficielles et incomplètes et que leur caractère artificiel ne reflète pas la nature de nos sentiments. Néanmoins, ils ont une utilité sociale et sont indispensables dans nos interactions avec les autres. 4. Ainsi dans la mesure où le romancier utilise lui aussi des mots il ne fait que projeter une ombre lui aussi. Néanmoins son art lui permet de donner à cette ombre une

supérieure, 1/2 puis fondre au niveau de la paupière inférieure. 2. Appliquez sur toute votre paupière une ombre claire ( blanc. ) 3. Appliquez l’ombre foncé ( Anis ), au creux de l’arcade avec la pointe de l’applicateur. 4. Estompez la couleur en l’étirant vers l’extérieur. 5. Soulignez le regard en utilisant une 3eme nuance plus foncée ( noir ou vert foncé ) au ras des cils, et une ombre blanche ou blanc irisé juste sous l’arcade sourcilière. 6. Pour tracer une ligne nette : L’eyeliner. Appliquez

religion. Victor Hugo utilise de nombreuses antithèses et oxymores. Il oppose d’un côté le noir qui symbolise le néant ; on ne sait pas où l’on va et de l’autre le blanc signe de pureté; donne l’envie d’y aller comme dans SPES « énorme obscurité, brume, ombre » « reflet d’une lampe, lueur imperceptible, coin blanc, clarté, blancheur ». On peut constater qu’il est attiré par l’infini et ce qu’il y a après la vie, attiré aussi vers Dieu. Il ne sait pas si la vie s’arrête après la mort ou si elle continue

ton crayons 4 couleurs -de remplir un gant avec de l'eau -de faire le Moonwalk de Michael Jackson -de descendre tout en bas du ton tableau Excel . -de marcher sur l' eau -de casser une règle incassable - d'aller plus vite que ton ombre . -de coller avec du blanco -d'insérer l'antivol du caddie de super marché sur lui même -de fixer le soleil sans fermer les yeux ! -de toucher ton coude avec ta langue -de conter tes grains de beauté - d'essayer de comprendre , de

/ une inquiétude 1. Un objet du passé. Saturé du champ lexical de la vieillesse : « vielle vieillerie » : pléonasme. 2. La mort. « Ombre / sombre » : rimes « Portes noires » Les objets qui sont dans le buffet sont aussi des objets qui réfèrent à la mort. « Flétries / vieilleries » 3. Un objet énigmatique. Objet peu ou pas visible : « ombre » V.3 et « fouillis » V.5 L’énumération dans le 2ème quatrain est indéfini, cela ne renvoie pas à une personne particulière. On pense à des

vivant et de baiser sur cette bouche la naissance de la voix qui m’est chère ? J’ai tant rêvé de toi que mes bras habitués en étreignant de ton ombre à se croiser sur ma poitrine ne se plieraient pas au contour de ton corps, peut-être. Et que, devant l’apparence réelle de ce qui me hante et me gouverne depuis des jours et des années je deviendrais une ombre sans doute, O balances sentimentales. J’ai tant rêvé de toi qu’il n’est plus temps sans doute que je m’éveille. Je dors debout, le corps

L'amoureuse Elle est debout sur mes paupières  Et ses cheveux sont dans les miens,  Elle a la forme de mes mains,  Elle a la couleur de mes yeux,  Elle s'engloutit dans mon ombre  Comme une pierre sur le ciel.  Elle a toujours les yeux ouverts  Et ne me laisse pas dormir.  Ses rêves en pleine lumière  Font s'évaporer les soleils,  Me font rire, pleurer et rire,  Parler sans avoir rien à dire Étude l’œuvre L'amoureuse par Paul éluard : Dans cette œuvre l'auteur exprimes les sentiments et pourquoi

entre rêve et réalité ? Il semble pourtant qu’il se décide… Le réel apparaît comme l’espace de l’impossibilité et de l’entrave, non de la rencontre. « Devant l’apparence réelle de ce qui me hante et me gouverne depuis des années, je deviendrais une ombre, sans doute » : paradoxalement, le face-à-face avec le possible dévitalise le poète. On retrouve ce paradoxe au §6 « et toi, la seule qui compte aujourd’hui pour moi, je pourrais moins toucher ton front et tes lèvres que les premières lèvres et le