On s'attache

une Bonne, certains diront le diable, pour manier la raison et son contraire la déraison. Il faut que les trois, jeune fille, homme et diable, aient accepté d’accomplir un devoir : celui d’enseigner au public, dans toute sa rigueur, la leçon qui s’attache au pouvoir du savoir et du sexe. Enseigner, témoigner, se souvenir. « La leçon » est écrite tous les jours, de manière terrifiante, aux quatre coins de notre planète. Je prends le pari que si l’homme est présent ailleurs, quelque part dans l’univers

valorisable traditionnellement. C'est un premier moyen pour le poète d'exprimer sa nouvelle vision de la littérature, visant à exprimer la beauté d'un élément peu propice à cet effet : c'est l'Art pour l'Art. Par ailleurs, étonnamment, Gautier s'attache dans ces vers à nous présenter un image positive et élogieuse du cadavre de la jeune fille. En effet, dans un premier temps, le poète compare son corps mort à deux reprises. Il le personnifie d'abord, faisant de lui un guide, son guide. A deux

production de ce nouveau centre sont portées à 30 millions de bouteilles par an, et les chais de vieillissement peuvent contenir l'équivalent de 35 millions de bouteilles. Le groupe La Martiniquaise, tout en modernisant ses centres de production, s'attache à conserver les méthodes traditionnelles de fabrication et le savoir-faire ancestrale chers au consommateurs de whisky. Cette priorité, combinée au contrôle absolu qu'exerce le groupe sur l'ensemble de sa production, lui a permis d'obtenir, pour

exige la discrétion absolue du personnel ; L'indépendance des professionnels, la qualité de leurs travaux ne seront une réalité que dans la mesure où le personnel aura pris conscience de la dimension de la profession et de la responsabilité qui s'attache à tous les travaux issus du cabinet ; La dignité et la moralité exigées des membres de l'ordre, les sanctions disciplinaires auxquelles ils sont soumis constituent également des aspects auxquels les collaborateurs doivent être sensibles ; L'obligation

Dans son ouvrage, Sociologie de la jeunesse, Olivier Galland aborde les différentes définitions qu’a pu revêtir la jeunesse (passant d’une catégorie complètement ignorée à une catégorie sociale et culturelle), et il s’attache à examiner les conditions sociales du passage de l’adolescence à l’âge adulte. En s’appuyant tour à tour sur des approches psychologiques, historiques, anthropologiques et surtout sociologiques, l’auteur démontre que la jeunesse est avant tout un passage dont les frontières

passé par des hommes et des femmes (les historiens et historiennes) qui tentent de décrire, d'expliquer ou de faire revivre des temps révolus. Ce récit historique n'est pas construit par intuition intellectuelle, mais à partir de sources. L'histoire s'attache avec ces sources à reconstruire plusieurs pans du passé. Au cours des siècles, les historiens ont fortement fait évoluer leurs champs d'intervention et ont aussi réévalué leurs sources, ainsi que la manière de les traiter. L'histoire, qui n'est

deux parties. La première est un exposé sur les institutions et les lois aux Etats-Unis: elle a beaucoup vieilli en raison du renforcement du pouvoir fédéral après la guerre de Sécession et, surtout, après la crise des années 30. La deuxième partie s'attache à montrer comment "le peuple gouverne" et le rôle des moeurs ("l'état moral et intellectuel d'un peuple") dans le maintien de la démocratie en Amérique. Le deuxième tome, publié en 1840, expose les conséquences de l'égalité des conditions dans les

animaux, mais le narrateur s’attache plutôt à son chat nommé Pluton. Ce lien est aussitôt rompu dès que l’individu commence à le maltraiter dû à ses problèmes d’alcoolisme. Il finit cependant par le pendre à un arbre et découvre, suite à l’incendie de sa maison, l’image du chat pendu sculpté dans un mur. Il cherche un félin qui pourrait enlever son sentiment de culpabilité. Il trouve la copie conforme de Pluton à l’exception d’une large tache blanche. L’animal s’attache très rapidement à son maître

classique- on parle à propos de Baudelaire de « sonnet libertin »- s’attarde d’abord dans les deux premiers quatrains sur le personnage principal du tableau- Le Tasse, célèbre poète italien de la Renaissance auteur de La Jérusalem Délivrée- puis s’attache davantage à une interprétation de l’intériorité du personnage afin de l’élever dans les deux derniers vers à la dimension d’un symbole (2). C’est dire s’il s’agit moins pour Baudelaire ici de décrire l’œuvre d’art que d’en donner sa lecture personnelle

poème, l'auteur s'attache plus à décrire la réalité en évoquant une ville, et montre ainsi que le poète n'est pas forcément détaché du quotidien. "Le Poète" de René Char La tristesse des illétrés dans les ténèbres des bouteilles L"inquiétude imperseptible des charrons Les pièces de monnais dans la vase profonde Dans les nacelles de l'enclume Vit le poète solitaire Grande brouette des marécages. René Char dévoile dasn se poème sa vision du poète lui-même. Il s'attache à montrer combien