Onomatopée

vert clair et vert foncé.). Le canon est en bleu. Technique : C'est une peinture avec pleins de mots donc une peinture-poème. Signification : Je comprends que le mouvement et la vitesse sont ici représentés par les lignes courbes, la roue, les onomatopées. Tout les mots ne sont pas de la même couleurs et de la même taille, on peut donc en voir certains plus accentués que d'autres (comme « France » « Boum » ). Usage :

s’il existe une structure fondamentale du lexique ; puis si la langue en acquisition, ou l’enfant qui apprend à la parler, peuvent influer sur cette structure. Les variations interlinguistiques et stylistiques sont donc mises en avant. Outre les onomatopées, interjections, et autres « routines sociales », le lexique précoce désigne ce qu’on appelle « les précurseurs des classes sociales de l’adulte ». On peut les diviser en trois catégories, trois grandes productions de l’enfant : les termes à fonction

de théâtre déjà présent en Italie : la commedia all’improvisa (apparue avant le 15° siècle). Mais c’est Beolco qui lui inventa un langage original, mélange de plusieurs langues, dont le latin, l’espagnol et même l’allemand, auquel il ajouta des onomatopées qu’il inventa lui-même. Statue de Angelo Beolco, père de la commedia dell’arte, à Padoue. 1. Quelles en

Scène 6 : incompréhension réelle de Marotte (« je n'entends point le latin » l. 5, « je ne sais point quelle bête c'est là » l. 16 = deux verbes de connaissance employés à la forme négative). Scène 7 incompréhension feinte de Mascarille (onomatopée comique « hem » l. 29) b. Le comique de mots Mais c'est surtout le comique de mots qui est ici à l'honneur. Preuves : Scène 6 : emploi comique d'un registre extrêmement soutenu (ex : périphrases des Précieuses = « un nécessaire » l. 4,

donc, or, ni, car = elles relient des mots de même classe et de même fonction. De subordination : elles, introduisent des subordonné complétives de fonction variées : que, quand, parce que, pour que, de sorte que, si …) Les interjections et onomatopées : elles expriment une émotion ou un sentiment fort, ou reproduisent un bruit. Oh ! Aïe ! Ouf ! Plouf ! …


car
la
localisation
des
sons
dépend
des
différences
dans
le
temps
d'arrivée
de
l'onde
sonore,
à
chacune
des
oreilles.

 
 10) Définissez
les
termes
«
néologisme
»
et
«
onomatopée
».
Quel
rapport
voyez‐vous
entre
ces
deux
concepts
(2
points).

 • • Néologisme:
Ce
sont
des
mots
nouveaux,
n'existant
pas
dans
le
langage.
 Onomatopée:
Un
mot
dont
le
signifiant
et
le
signifié
ont
un
rapport
motivé.
Donc
mot
dont
la
sonorité
rappelle
ce
que
l’on
désigne.
(ex
bruit
 d'animaux)
 
 
 
 5
 II.



| | |Les groupes ont la mine réjouit, les bouches grande ouverte et ont | | |des onomatopées. Il est pointé du doigt par ses camarades et il y a | | |un texte moqueur « c’est des semelles en peu d’accordéon » | |Zep illustre un comique de situation

découvert leur plan? M : Il lance des regards inquiets à Jack, toujours dans sa cachette. Le mouton fait la baboune, puis s’approche de Serge. Soudain, un petit bruit discret se fait entendre. (Bruit de porte qui grince, pas fort, pour deuxième onomatopée). Ils voient alors la bibitte qui essaie de s’enfuir avec son stock pis toutes ses cennes. Jack se met à lui courir après. Tony s’enfarge finalement sur une racine qui sort de terre. Le mouton lui passe les menottes et s’exclame : G et M : Vous

Comique de situation : autour d’1 tableau blanc + dimensions Comique de gestes : cf didascalies du 1er monologue, répétition du vb « regarde » Comique de mots : - Stichomythies entre S et M - Quiproquo : galerie Handigton - Onomatopée « houhou » - langage fam : « merde » Comique de caractère : 2 tempéraments entiers face à face - Serge : extravagant, snobe, supérieur car <3 art moderne - Marc : rétif à l’art, despote CONCLUSION : Scène d’expo non

même pièce, ce qui montre le refus de communiquer de Jean. Ces déplacements et le hors scène (salle de bain) participe à la montée d’angoisse sur scène. Les paroles de Jean sont ponctuées de barrissement et des bruits signalés à la fois par les onomatopées «  Brrr », mais aussi par les didascalies : c’est le début de la métamorphose de Jean, il change de voix « sa voix est méconnaissable ». 3) Les arguments de Jean : des affirmations courtes, non développées, non expliquées. Il se contredit. On a