Onomatopée

fois car l’immeuble lui appartient et là il dit que le neuvième étage est à Guignol (=comique). C. Succession de répliques courtes/vives mettant en avant un comique de mots avec des phrases affirmative/exclamative mais aussi qui se borne a des onomatopées qui entraîne des jeux de scènes. Cette alternance de répliques permet de mettre en valeur certains mots particulièrement lié à l’argent. Un personnage reprend le mot de la réplique précédente ce qui met le mot en valeur (Jeu de reprise = très comique)

/ des flashs un sandwich / des sandwichs un imprésario un artéfact 7. Le trait d’union est supprimé : a) dans les mots composés de contr(e)- et entr(e)-; b) dans les mots composés avec des éléments savants, comme hydro-, cardio-; c) dans les onomatopées. SOUDURE Orthographe traditionnelle Orthographe rectifiée a) contre-courant, contre-exemple, entre-temps ou entre temps, s’entre-tuer b) agro-alimentaire, hydro-électricité micro-ondes c) ding-dong, glou-glou, tic-tac ou tic tac a) contrecourant

dangereux. Ecoute 3 : « l’affiche rouge » ARAGON 1959 par Léo FERRE L’arrangement musical vise à mettre en valeur le texte d’Aragon et à le dramatiser. Léo Ferré n’est quasiment accompagné que d’un chœur mixte qui chante a cappella sur des onomatopées. Le texte est mis à nu. Il déclame le texte plus qu’il ne le chante et sa voix est chargée d’émotion. Un roulement de tambour va rompre brutalement la continuité de ce chant pour évoquer la condamnation à mort des 23 membres du groupe Manouchian

culturel prime sur le politique. » La violence et le rythme : La poésie de Césaire est d'abord une voix, une parole proférée comme un cri. L'oralité de la langue - typique de la littérature africaine - renforce le rythme de la phrase, tout comme les onomatopées: "voum rooh oh", "Eïa" et les nombreuses exclamations "ASSEZ DE CE SCANDALE ! » Les répétitions et la construction des phrases en parallèle rappelle la palabre. Le thème de la mort culturelle : c'est un leitmotiv de l'oeuvre, ce contre quoi Césaire

ans, qui présente le niveau de performance d’environ 15 a 18 mois. Il était « presque totalement dépourvu d’affects, indifférent la présence ou l’absence de sa mère, incapable de jouer ou de s’intéresser a quoi que ce soit, et n’émettant que des onomatopées répétitives et sans signification ». Le travail fait avec cet enfant permit a Mélanie Klein de découvrir que c’est la nature même de la formation du symbole qui est affectée : « Le symbolisme n’est donc pas seulement la base de tout fantasme et

gêne que provoque le toucher. L’homme-orchestre • Le meneur forme un orchestre : les participants sont face à lui, en demi-cercle. Il attribue à chacun un instrument de musique. Chacun chante son instrument à sa manière, en introduisant des onomatopées. • Le chef d’orchestre donne des indications avec ses deux mains : ❙ Pointer avec les deux index signifie le départ de l’ensemble, pointer avec un seul index signifie le départ d’un seul instrument. ❙ La paume de la main face au public signifie

sont exactement construites de la même manière. Chiasme : construction qui inverse les tournures. Exemple : « Il faut manger pour vivre et non vivre pour manger. » Antonomase : c’est le fait de remplacer un objet par la marque. Exemple : Kleenex. Onomatopée : le mot est formé par un mot qui essaie de restituer un son. Exemple : « Ouaf ! Ouaf ! », « Crackers de Belin. » Calembour : c’est un jeu de mot qui repose sur les proximités de sonorités, mais de sens différent. Exemple : « BHV, l’âge du faire

spécifique au contexte de la scène, mais cela ajoute une touche différente à la situation. Le langage employé lors des différentes conversations entre les personnages témoigne également d’un type de ridicule puisqu’ils utilisent de nombreuses onomatopées. Il est également possible de penser à de nombreuses répétitions du même mot ou de phrases semblables. Un des passages où se retrouvent des types de paroles particulières est lors de la transformation de Jean en créature. Certaines de ses paroles

littérature, de morale sociale ou individuelle. Et cette subversion passe avant tout par une réinvention du langage. Par exemple en 1916, dans La première aventure céleste de Mr. Antypirine, qui mêle théâtre et poésie, par Tzara, néologismes et onomatopées se succèdent pour exprimer l'abolition de toute valeur religieuse ou humaniste : « Mr. ANTIPYRINE : il n'y pas d'humanité il y a les réverbères et les chiens dzïn Ada dzïn Ada bobobo Tyao oahiii hi hi

pour exprimer sa thèse par le rire. D’abord, le dialogue est très présent dans ce poème. Il constitue environ du quart à la moitié de l’œuvre. Cette forte présence de dialogue, exprimée par des phrases exclamatives, interrogatives, des onomatopées comme « Ah ! » ou bien « O dieux » donne au poème un effet plus vivant et plus riche en termes d’expressions hilarantes. Le poète joue avec ses personnages en défilant le « bouche à oreilles » le long de son poème. Il exagère de plus en plus l’idée