Opiacé

chez les plus de 35 ans). La polyconsommation est une pratique dominante : trois quarts des personnes déclarent avoir consommé entre deux et six produits différents au cours du mois écoulé. La plupart (79 %) disent avoir consommé au moins un autre opiacé au cours du mois. Parmi eux, la moitié (52 %) déclare avoir consommé de la BHD. Presque les deux tiers (63 %) des personnes déclarent avoir consommé de la cocaïne 63 Phénomènes émergents liés aux drogues en 2001 - rapport TREND Synthèse

selon un dispositif de couleurs correspondant aux listes citées précédemment. · Les dépresseurs qui ralentissent le fonctionnement du système nerveux : Alcool, Médicaments tranquillisants et somnifères (Barbituriques, Benzodiazépines...), Opiacés (Héroïne, Méthadone, Codéine, Morphine... ). Ces produits entrainent une sensation de détente et de rêve ainsi qu'une perte d'inhibition. Ils conduisent fréquemment à la dépendance physique et peuvent induire, à forte dose, des conséquences graves

douleur) dérivée de l’opium ou chimiquement apparentée, capable de provoquer un état de somnolence. Ces substances extrêmement addictives peuvent rapidement engendrer une toxicomanie. Drogues narcotiques : Morphine, opium, héroïne (groupe des opiacés). ▪ Les alcools : En passant facilement dans le sang, l’alcool produit sur les structures nerveuses des effets sédatifs et anxiolytiques proches de ceux des tranquillisants. La prise massive et fréquente d’alcool peut entraîner une rigidification

sont pas toujours contrôlés Ils dépendent du produit utilisé, les effets varient selon la drogue. Il y a différentes catégories de drogues : Les Dépresseurs : Alcool, Médicaments, tranquillisants et somnifères (Barbituriques, Benzodiazépines…), Opiacés (Héroïne, Méthadone, Codéine, Morphine, etc…) Ces Produits entraînent une sensation de détente, de bien-être, et de rêve ainsi parfois une perte d’inhibition. Les Stimulants : Tabac, Cocaïne, Crack, Amphétamines, Médicaments stimulants et dopants

menées sur le rat montrent ainsi que ces derniers, soumis à des injections d'un dérivé de THC, puis brutalement privés de ces injections (sevrage) présentent des signes comportementaux typiques, semblables à ceux observés en cas de sevrage à des opiacés (salivation, diahrrée, toilettage compulsif, secousses, etc.). Toutefois, ces rats ne cherchent pas à réaliser des auto-administrations, comme dans le cas de drogues "dures" (héroïne, cocaïne...).  Les manifestations physiques à l'arrêt de la prise

Déduction 1 (D) Les sensations douloureuses sont inhibés et même supprimées par des opiacés. Lorsque des opiacés sont injectés par voie intraveineuse, la dose utilisée et forte et comme il se met en place une tolérance, on doit augmenter les doses, ce qui a une action néfaste sur les fonctions motrices et sensorielles. SI doc1 Les pompes antidouleur libèrent de façon continue et régulière des opiacés dans le liquide baignant le système nerveux central. Cette libération régulière semble

Recherche TPE bibliothèque le Mardi 22 OCTOBRE 2013 Triage du TPE précédent (à voir) 1. En jaune = essentiel 2. En vert= intéressant 3. Non surligné = inutile Soit : Les opiacés sont une famille composée de produits dérivée de l’opium et dont la substance provient de la culture du pavot. La morphine est le produit de référence dans cette famille. Aujourd’hui le terme d’opiacé désigne l’ensemble des substances ayant une action comparable à celle de la morphine. L’origine géographique

de morphine au fur et a mesure des injection pour un même effet thérapeutique. D'autre part, la consomation de morphine entraine un phénomène de dépendance que l'on retrouve avec la drogue. De plus elle est souvent comparée à l'héroine car c'est un opiacé trés puissant obtenu par synthèse à partir de la morphine qui peut être détournée avec les mêmes dangers que l'héroïne toutes deux ont une action sur le cerveau. La morphin provoque aussi de grave effet secondaires: la dépression respiratoir, la constipation

soit uniquement le produit qui soit en cause en raison de l’effet « mécanique » de la dépendance physique qu’il induit Cela peut arriver avec le crack avant tout (deux ou trois prises suffisent pour être accroché), mais aussi avec l’héroïne, les opiacés naturels ou synthétiques, l’alcool, les médicaments, et, à un moindre degré, la cocaïne. Le poids de l’environnement culturel et de certains métiers peut alors être décisif. Par exemple, en France, les patrons de bistrots et les 12 voyageurs de commerce

free base La consommation de cocaïne provoque la perforation de la cloison nasale et des troubles cardiaques. Associée à l’atropine sous le nom de Cristalline, elle devient extrêmement toxique, voire mortelle. Héroïne, morphine codéine Tous les opiacés peuvent induire une dépression respiratoire majeure, parfois mortelle, ainsi que des convulsions. Amphétamines, speed Les amphétamines accélèrent les rythmes cardiaque et respiratoire et provoquent la dilatation des bronches. Ils peuvent provoquer