Opposition Belle Et Bête

PRÉPOSITION ADVERBES : PRÉPOSITION : 3 CRITÈRES : • Invariabilité (SAUF TOUT) Les adverbes ne changent pas de forme. • Dépendance (SAUF OUI/NON) o Verbe : Il court vite o Adverbe : Il rit très sottement o Adjectif qualificatif : Elle est fort belle o Préposition : Il est appuyé tout contre la porte o Conjonction : Il leva les yeux juste comme elle arrivait o Groupe de mots ou proposition : Maintenant, il tient assis • Intransivité Pas de liaison entre les différents éléments de la phrase

primitive la notion de syllabe, c'est-à-dire les 'morceaux' de mots que découpe un locuteur naïf, un jeune enfant non encore lecteur par exemple, quand on lui demande de ralentir son débit à l'excès. Contrairement à l'usage scolaire, un mot comme belle n'a qu'une syllabe, comme bel: le 'e muet' final ne forme jamais syllabe. Par définition, chaque syllabe comprend une et une seule voyelle. Réciproquement, à chaque voyelle correspond une et une seule syllabe. La voyelle brève de timbre 'eu' que l'on

de l’église ? I- La lâcheté des moines ( l. 1 à 4)Le pacifisme serait une qualité mais ici elle est proche de la couardise, de la veulerie, de la lâcheté. Enumération : « Psaume […] litanies […] répons »Ironie : « Belle procession »Jeu de mots polysémique : « capitulants » → religieux qui capitulent II- Des raisons de lutter : le vin et sa polysémie (l. 5 à 17)Les moines prient pour sauver leur vin avant de se sauver eux-mêmes. Frère Jean

ceux-cipreferent au des la la m61odie l'harmonieet la melodieitaliennek la frank recitatif, de de caise, c'est parcequ'ils s'inspirent la theorie l'«imitation,»k la Artsriduitsa un memeprinsuitede l'abb£BatteuxdontLes BeauxRousseau la la d'imiter «belle nature»; cettethtorie, cipe proposent dans 1'ArticleMusique de son Dictionnairede musique: reprend alors que la musique«harmoniqueou naturelle»se « [borne]au seul des physique sons et [n'agit]que surle sens,» la musiquemelodique imitations

de parler, aux éclaboussures distribuées par le ruisseau et aux déluges qui tombaient des gouttières.6" Dans cet extrait, on parle d'un Paris peu ragoûtant, sale qui contraste fortement avec le Paris imaginaire : "Chaque coin de rue m'offrait une belle fontaine qui faisait couler une eau pure et transparente : elle retombait d'une coquille en nappe d'argent, et son cristal donnait envie d'y boire. Cette coquille présentait à chaque passant une tasse salutaire. Cette eau coulait dans le ruisseau toujours

les mobiles des personnages. Anouilh a procédé à une désacralisation. Alors qu'Antigone, chez Sophocle, obéit à deux impératifs d'ailleurs associés, le devoir fraternel et la piété à l'égard des dieux (son geste n'étant donc pas un crime, mais une belle action : elle est «saintement criminelle»), chez lui, toute référence aux dieux est absente ; Tirésias a disparu ; la grande tirade d'Antigone où elle opposait aux lois humaines écrites les lois divines non écrites est supprimée. Si elle est rebelle

”). Ù “ Madame ” “ Monsieur ” = qui est ici cité ? A qui renvoient les guillemets de citation, marques du discours direct ? » III -LE FÉLICITÉ PERSONNAGE DE Qu’apprend-on d’elle dans ce premier chapitre ? • Un prénom Sans nom (par opposition à sa patronne dont on donne le nom de famille, précédé de Madame ; elle, est réduite à sa fonction de servante). La connotation de son prénom - le bonheur - semble une ironie. • Une attitude morale dominante : “ elle resta fidèle ” (Flaubert avait

souvenirs... ”). Ù “ Madame ” “ Monsieur ” = qui est ici cité ? A qui renvoient les guillemets de citation, marques du discours direct ? III -LE FÉLICITÉ PERSONNAGE DE Qu’apprend-on d’elle dans ce premier chapitre ? • Un prénom Sans nom (par opposition à sa patronne dont on donne le nom de famille, précédé de Madame ; elle, est réduite à sa fonction de servante). La connotation de son prénom - le bonheur - semble une ironie. • Une attitude morale dominante : “ elle resta fidèle ” (Flaubert avait

l’époque. - L’Iliade et L’Odyssée servent de base à la culture des enfants grecs (par cœur !).  Représentat° : descript° orale de la statuette + compléter :  cheveux = symbole de beauté chez les Grecs.  barbe = symbole de l’homme mûr, par opposition à l’adolescent = sagesse.  yeux = selon les Grecs, ê aveugle permettait au poète de voir ce que les autres hommes ne voient pas (inspiré des dieux).  la « phorminx » (cf. lyre) = carapace de tortue, cordes en noyaux de mouton. Lire pages 9

j’ai bâillé......................... ( Brrr! Ce froid! Il gèle........................... ( - Tu vas faire ta malle et tu vas filer immédiatement! - T’es fou, toi? - Ta grossiéreté, je l’ai tolérée, mais ta bêtise, je ne l’encaisserai pas! T’es bête ...............- Et toi, t’es fou.................... 4. Je vous donne les renseignements nécessaires en deux phrases. A votre tour, vous construisez une seule phrase qui doit contenir les mêmes renseignements traduits à l’aide du matériel qui vous