Opposition Nature Culture

Théme : L'inégalité humaine. Voltaire se pose la question : Que serait l'homme sans la culture et la société ? These : L'homme se dégrade lorsque il est éloigné de la société. Voltaire fait une éloge de la culture. C'est une thèse implicite ( L.18 : c'est l'éloignement de la société qui le dégrade ) Arguments : 1) CAR tous le monde vit en société, se sociabilisent, utilisent un language commun, une culture : -Ligne 1 à 3 = comparaison avec des animaux (rabaissement de l'homme au simple niveau

consacrée à la réflexion philosophique et le récit qui n’est qu’un exemple développé. C’est également la dernière fable du Livre XII, il est donc important de noter que La Fontaine choisit de terminer ce livre par un appel à l’épanouissement de la culture, des sciences et des arts ainsi que par l’éloge d’un roi utile à son peule : Charles d’Angleterre.   Plan I/ L’exposé philosophique : un discours sur le rôle des sens dans la connaissance (l.1-41)             1) Présentation des thèses opposées

et donc va trouver un autre moyen d’expression. Le symptôme découle d’un conflit intra psychique. • La règle fondamentale : - Parler sans souci de critique - souvenirs oubliés, source de symptôme - fonctionnement psychique occultés • Opposition a la règle : - hontes et inhibition - pensées agressives visant le thérapeute -évitement -Abstinence de l’analyste : jugement et décision - psychanalyse X suggestion hypnotique • La symbolisation : - La conversion hystérique : douleurs

Thisbé : LE CLASSICISME(17°) MOLIERE : Jean baptiste Poquelin. 15 janvier 1622-17 février 1673. Entre Baroque et classique. Il est contre l’exagération et le mensonge et utilise le théâtre pour se moquer de ceux qui ne respectent pas la nature. Il veut enseigner la sagesse par le théâtre et démontre les inégalités sociales. Ex : le bourgeois gentilhomme, les précieuses ridicules, le malade imaginaire… CORNEILLE : dit le « grand Corneille » ou « Corneille l’aîné » 6 juin 1606-1°

dénature-elle l'hyLa culture dénature-t-elle l’homme ? La culture et la nature apparaissent à première vue comme étant antagonistes, mais tout de même capables de s’additionner en l’homme pour lui permettre de développer toutes ses capacités. L’opinion spontanée est tout de même que la culture dénature l’homme puisqu’elle le fait évoluer et lui diminue sa part d’animalité. La nature désigne ce qui est inné, ce que chacun possède dès sa naissance, qu’il le veuille ou non. Le mot « nature » vient d’ailleurs

son exécution devant le regard complice de la jeune femme, à un ensemble de considérations générales énoncé par le bourreau. Ce dernier s’improvise botaniste et encourage dans une glorification de la reproduction des fleurs à suivre l’exemple de la nature. Nous verrons en quoi ce texte procède d’une double invitation au plaisir et dénonce la société occidentale. Pour cela nous nous intéresserons au discours du bourreau qui, par l’adoption d’une posture scientifique et professoral incite les personnages

-Grâce à l’innocence et au regard de l’étranger, les failles de la société sont plus faciles à dénoncer. .Le fait qu’un enfant soit roi de France  ce roi n’a pas la maturité ni la connaissance pour gouverner un pays. .Antithèse (opposition) Roi/Enfant : effet de surprise  contraste  le lecteur ne s’y attend pas. .Enfant (faible, seul)-Grande armée (forts, nombreux)  monde à l’envers  le faible commande le fort  pouvoir donner à une personne incapable d’assumer  roi par le biais

honneurs et distinctions officielles. Celui-ci fini par s’éteindre le 23 septembre 1939 toujours à Londres à l’âge de 83 ans. Présentation de l’œuvre : L’avenir d’une illusion publié en 1927 est un jalon essentiel de la réflexion de Freud sur la culture et la religion. Définition du titre : 1- Définition de l’avenir dans le dictionnaire : L’avenir d’une illusion, commençant par décomposer le titre afin de découvrir ensemble le sens caché derrière ce très beau titre. Commençant par

l’expression : « la nature de l’homme est de ne pas avoir de nature ? » Introduction : « c’est dans la nature de l’homme », « c’est dans ma nature », « les hommes sont méchants par nature » : ces expressions témoignent qu’on a souvent tendance à enfermer l’homme dans une « nature » toute faite ; or ne peut-on pas paradoxalement définir la nature humaine par l’absence de nature ? La nature de l’homme (c'est-à-dire son essence, sa définition, son concept) serait de ne pas avoir de nature ; comment faut-il

chez les sioux, il écrit un texte dans lequel il dit « pensez-vous qu’il est temps de réveiller l’indien qui sommeille en vous ? » Cette population soit, incarne la sauvagerie contre laquelle il faut se battre, soit incarne l’idéal de nature défendu par les philosophes des Lumières. Il y a une sorte de syndrome de Peter Pan, les choses n’ont pas besoin d’exister forcément pour avoir une place dans notre imaginaire. La place de l’indien dans l’imaginaire occidental