Opposition économie Normative Et économie Positive

peut donner une base micro a l’analyse macro.  Opposition entre Macro/micro : MACRO – Keynésien : macroéconomie (holisme) : On part des équilibre globaux et on applique aux individus. On ne peut pas aller des comportements individuels aux comportements globaux. MICRO – Libéralisme : microéconomie (individualisme méthodologique) : les comportements globaux sont le résultat de l’agrégation des comportements individuels. Raisonnement sur une économie globale Raisonnement sur les comportements des

COURS ECONOMIE ET POLITIQUES PUBLIQUES 2010-2011 DOCUMENTS DE TRAVAIL LES THEORIES ECONOMIQUES DE L’ETAT ET DE LA RELATION ETAT-ECONOMIE IUP INGENIERIE ECONOMIQUE - UFR ESE UNIVERSITE PIERRE MENDES France BP 47 - 38040 - Grenoble CEDEX 9 Tél. : 33 (0)4 76 82 54 87 - Fax : 33 (0)4 76 82 54 44 - E-mail : iupie@upmf-grenoble.fr PLAN . Des institutions à l'Etat : une question de champ d'analyse doublée d'une question de méthode . Trois grilles de lecture

maîtres souverains, la peine et le plaisir, c'est seulement en fonction d'eux que l'on agit et qu'est déterminé ce que l'on doit faire. » Cette proposition (loi de Bentham) a un double caractère, elle a une portée positive (elle décrit ce qui est) et également une dimension normative (elle décrit ce qui doit être). Cette proposition montre ainsi la forte dépendance existant entre la nature humaine et le principe d'utilité. En ce qui concerne le côté positif, on remarque immédiatement que Bentham

l’Aufklärung qui, au nom de la « religion naturelle » purement rationnelle et intérieure, excluent de celle-ci tout élément historique et révélé, la vérité pleinement démontrée de cette religion naturelle rejette comme fictive et inutile toute religion positive. Et même si un rationalisme plus large et plus ouvert comme celui de Lessing n’oppose plus élément révélé et élément rationnel au point que le premier peut précéder le second dans le temps et par sa pureté, Kant par contre, comme le souligne Delbos

les variables endogènes sont les facteurs économiques à la base des modèles. Pourtant, il semble impossible de dissocier “le fait social” (dont fait partie l’économie) en variables endogènes et exogènes. - Difficile liaison entre macro et micro-économie - L’observation des faits oblige à théoriser et à donc s’éloigner de la réalité afin d’agréger les phénomènes. - La modélisation prend soit la forme de l’économétrie (modélisation d’un fait ponctuel sans chercher à l’expliquer) soit celle de la

d’autres, comme l’inertie, s’expriment davantage dans le registre du contournement ou de l’esquive. Son apparition dépend aussi de facteurs situationnels spécifiques, susceptibles de la déclencher ou de la modérer, comme par exemple l’anticipation positive des bénéfices attendus de cette réaction. Hirschman (1970) a bien démontré sur ce point que l’intérêt des comportements d’expression ou de sortie du marché dépendait beaucoup de l’existence de solutions alternatives aux situations existantes, même

courage to offer for criticism, andthus improve, a work whose shortcomings will bring out the problems that need to be solved. Forecasting, as usedby Gaston Berger, was originally focussed onphilosophical questions; the French Plan then gave it an économie twist, while Bertrand de Jouvenel approached it from a political and social angle. In view of Society's accelerated technological progress however, it is normal that the work carried out in this field, particularly in the United States, should develop

résistances, quelle que soit la base sur laquelle repose cette chance » (1971, t. 1, p. 56). Ce qui signifie, d’une manière proche, qu’un des traits typiques du pouvoir consiste à surmonter une opposition déclarée. Cette vision doit être relativisée. F. Chazel insiste sur le fait que « l’existence d’une opposition de ce type n’est pas une propriété commune à toutes les relations de pouvoir : elle ne constitue pas leur signe incontestable d’identification» (1992, p. 202). Le pouvoir ne présuppose pas inévitablement

la décision constitutionnelle, fondés respectivement sur les formes, les intérêts ou les valeurs du droit. Dans un second temps (II), la légitimité normative ainsi construite se verra oppo1. Sur le concept de légitimité, voir Max WEBER, Wirtschaft und Gesellschaft, Tübingen, J.C.B. Mohr, 5e éd., 1972, p. 17 et suiv. (trad. française partielle : Économie et société, Paris, Plon, 1971, p. 30 et suiv.). Sur le rôle de la construction dans les sciences sociales, voir Heinrich RICKERT, Science de la nature

Rhétorique et mythe de la Performance Globale L’analyse des discours de la Global Reporting Initiative Jean-Noël CHAUVEY1, Gérald NARO1, Amélie SEIGNOUR2. « En passant de l’histoire à la nature le mythe fait une économie : (...) il organise le monde sans contradictions parce que sans profondeur, un monde étalé dans l’évidence, il fonde une clarté heureuse : les choses ont l’air de signifier toutes seules » (Roland Barthes, 1957, p. 230-231). Résumé : La Global Reporting Initiative