Oppression

Hitchcock), menace, affamés, déplumés, paraissent gros (gros plans), agités, surgit hors d’une voiture (réalisateur joue avec les nerfs du spectateur) = mort Poussière : l paysage recouvre tout, hostile, fait penser à la mort aussi c- Vide / oppression / claustrophobie. Même le côté rassurant du désert qui permet d’avoir un champ de vision immense est réduit à néant par la découverte de la mine (lieu secret, invisible, menaçant). Mine = sous terre, sorte de descente aux enfers

courant intellectuel, philosophique ou littéraire du XVIIIe siècle qui prône l'usage de la "raison éclairée", fondée sur la connaissance rationnelle et l'idée de liberté. Il rejette l’autorité arbitraire, l’absolutisme monarchique ainsi que les oppressions religieuses ou morales. Il met en avant le progrès des arts et des sciences ainsi que la recherche. Relayé par les élites aristocratiques et bourgeoises, le mouvement des Lumières a produit un véritable bouleversement de la pensée et a ébranlé les

de mise à mort, etc. L comme LUMIERES ou M comme MOUVEMENT DES LUMIERES : le mouvement des Lumières est un mouvement culturel, philosophique, littéraire et intellectuel qui émerge dans la seconde moitié du XVIIe siècle qui s’engagent contre les oppressions religieuses et politiques pour un progrès du monde. N comme NAIF : Dans le conte la naïveté touche à son comble avec Candide qui naïf suit différentes personnes sans demander d’explication. O comme OPTIMISME : Tout au long du conte on observe l’optimisme

l’entoure : « …débordement des océans et des peuples en colère. » (p.26). C’est un environnement très oppressant qui est décrit. C’est d’ailleurs ce qui pousse le narrateur à vouloir voir les choses autrement. Il ne veut plus être entouré de toute cette oppression et négativité qui briment ses belles journées. Dans Frères , c’est semblable. Une description du monde démontre que rien n’est parfait : « …le sentiment de la brutalité du monde. » (p.101). Cette expression rejoint le contexte

d´autodéfense : on doit protéger les ressortissants français contre les attaques des autochtones (caractérisés de criminels) 3. Tous ceux qui protestent contre la politique coloniale sont des traîtres Contre 1. La politique coloniale repose sur l´oppression des peuples, donc elle n´est pas compatible avec les valeurs de la République 2. Les indigènes ne sont pas de criminels. Ils se soulèvent motivés par le sentiment patriotique et le désir pour la liberté 3. Colonisation = crime («civilisation

préjugé et divulguer la vérité. But : faire évoluer la société Les valeurs des lumières : La raison, l 18-19-37 La vérité, l10-14 La tolérance, l 37 L humanités l 37 Le respect l 35 La nature l 34 Les combats des lumières : _ l 3 l oppression, la dureté, la barbarie _la violence _ l indifférence, l inhumanité l 36 _ la tirani l 20-31, le despotisme _l Abu de pouvoir _l absurdité religieuse, la superstition, le culte _les préjugé l 16-4 Les armes que les lumières utilise pour

official ceremonies. In the first, the Prince of Orange said his unwavering loyalty to his country, and in the sixth, he prays to God to give him the strength to hunt tyranny. These two verses have always particularly moved the Dutch people in times of oppression.

Uni consent à accorder son indépendance à l'Inde en 1947. À l'échelle nationale Gandhi est considéré comme le père de la nation indienne. À l'échelle internationale : Gandhi est considéré comme le précurseur des luttes pacifiques contres les oppressions. Mais le 30 janvier 1948, il est assassiné par un extrémiste hindouiste qui lui reproche sa modération à l’égard des musulmans. En définitive, c'est grâce à sa politique basée sur la non-violence que Gandhi a pu atteindre son but.

de la violence. On note un champs lexical de la violence avec des termes comme « violence », « force », « joug », « obéissent », « soumis », « imposé », « tyran »... La mise en relation du « joug » avec la « justice » laisse planer l’idée d’une oppression. Nous pouvons aussi noter la présence d’une antithèse entre « celui qui commande » et « ceux qui obéissent » (l.10). Selon l’auteur, cette puissance est illégitime comme laisse le supposer la transition « ...celui qui se l’était arrogée devenant

démocratie, « basé sur la volonté de la majorité », sur des « institutions libres », des « gouvernements représentatifs » et des « élections libres ». Mais aussi basé sur « la liberté individuelle », de « parole », de « culte » et « l’absence de toute oppression politique ». Soit le totalitarisme, « basé sur la volonté d’une minorité imposé à la majorité » qui amène à des élections truquées et à « une radio et une presse contrôlées ». Il n’y aurait, par conséquent, pas de liberté individuelle. En revanche