Optimates

1) Jules César est né le 12 ou 13 juillet en l'an 100 av J-C et est mort le 15 mars en l'an 44 av J-C . 2) Jules César durant sa jeunesse a été témoin de très grave troubles politiques entre les optimates et les populares. 3) En latin le parcours politique que doit suivre César est le «cursus honorum». 4) Jules César forme son premier Triumvirat avec Pompée et Crassus. 5) César est élu consul en 59 av J-C. 6) Le chef de la révolte en Gaulle est Vercingétorix (chef des Arvernes). 7) Il est

civilisation : Jules César 1) Jules César est né le 12 ou le 13 juillet 100 av. J.-C. Il est mort le 15 mars 44 av. J.-C. 2) Pendant sa jeunesse jc est témoin à Rome de violentes luttes politiques qui opposent les optimates aux populares. Les premiers sont des conservateurs et des aristocrates, les seconds veulent satisfaire leurs revendications sociales. 3) Le parcours politique que doit suivre César pour parvenir au sommet du pouvoir s’appelle en latin : cursus honorum

Punique (218 - 202) Chapitre V : L’impérialisme romain au IIeme siècle (200 - 129) Chapitre VI : Une conquête aux répercussions profondes Chapitre VII : Les Gracques (133 - 121) Des Gracques à la bataille d’Actium par J.-M. Roddaz Chapitre VIII : Optimates et Populares Chapitre IX : Guerre sociale et guerre civile Chapitre X : Pompée et César Chapitre XI Le second triumvirat La République romaine Introduction La République romaine s’étend de 509 à 27. 509, date à laquelle les romains chassent

Civile déclenché par Jules César opposant le clan César à celui de Pompé. Cette guerre civile fut déclenché par l'affrontement des alliés politiques et des légions de César contre le parti traditionaliste et conservateur du Sénat Romain, appelé Optimates, aidé par les légions de Pompée. Cette même guerre civile fut la dernière avant que la République soit renversée et que l’Empire soit instauré. Déroulement En rouge, le camp de Pompée, et en bleu, celui de César. César campa sur le fleuve

erat, nepos, eius, qui censor porticus in Capitolio fecerat, is privatusque et togatus patriam cognationi praeferens, ex superiore parte Capitolii, summis gradibus insistens, hortatus est, qui salvam vellent rem publicam, se sequerentur. Tum optimates, senatus, atque equestris ordinis pars melior et maior, et intacta perniciosis consiliis plebs, irruere in Gracchum, tribunum plebis stantem in area cum catervis suis. VOCABULAIRE tŭm, adv. : alors Scīpĭō̆, onis, m. : Scipion Nāsīca, ae

contribué. En - 70, le voici donc sur la voie triomphale qui mène au Capitole et revêtu de la dignité consulaire, sans mêmesuivre le cursus honorum. Pourtant, il trouve en face de lui le riche et ambitieux Crassus. Il rompt alors avec le parti optimates et devient un héros populaire que ses victoires ont rendu presquelégendaire. Menant une habile politique de bascule, il rend aux tribuns tous les pouvoirs que Sylla leur avait enlevés et confie aux chevaliers, représentants de la bourgeoisie d'affaires

Cicéron songe à incarner une troisième voie en politique, celle des «hommes de bien» (uiri boni), entre le conservatisme des optimates et le «réformisme» de plus en plus radical des populares ; pourtant, de -66 à -63, l’émergence de personnalités comme César ou Catilina, dans le camp des populares, qui prônent des réformes radicales, conduit Cicéron à se rapprocher des optimates. Désormais proche du parti conservateur, Cicéron est élu consul contre Catilina pour l'année -63 mais se heurte au projet

Les inégalités sociales que les victoires engendrent entretiennent un climat lourd de tensions. Les plus démunis, les exclus de la prospérité économique attendent de l’aristocratie enrichie des réformes. D’un côté, ceux que l’on appelle les « Optimates » (En latin, "les plus grands") rassemblent dans leurs rangs les grandes familles sénatoriales traditionnelles, soucieuses de protéger leurs intérêts et peu disposées à accepter les revendications des plus modestes. De l’autre, les « Populares »

évidemment, ses enseignements sont le sôcle sur lequel il assoit son ascension politique et militaire. En 84, César épouse Cornélie, fille d’un des dirigeants du parti populaire. A l’époque, deux principaux mouvements s’opposent, les populaires et les optimates. Ces derniers défendent le pouvoir en place et veulent même le renforcer ; les populaires au contraire soutiennent les citoyens romains pauvres (les plébéiens), par le biais des tribuns de la plèbe. César donc, en épousant Cornélie, affirme la

pauvreté de la plèbe, ils proposent des lois agraires pour redistribuer les richesses plus égalitairement. Rome se scinde alors en deux parties, les populares partisans de la redistribution du bien et les optimates qui représentent les conservateurs. Les deux Gracques finiront assassiné et les optimates en sortiront grand vainqueur accentuant le fossé social. En -107, un général démagogue Caïus Marus gagne les élections, fort de ces victoires contre les révoltes barbares, il se maintient au pouvoir pendant