Orbite géostationnaire

Dassault Aviation, leader mondial de l’aviation d’affaire haut de gamme avec le programme Falcon et acteur majeur de l’aéronautique militaire avec le Rafale ; • Arianespace, au 1er rang mondial sur le marché du lancement des satellites en orbite géostationnaire ; • Thalès groupe, leader mondial des systèmes d'information critiques sur les marchés de l'aéronautique et de l'espace, de la défense et de la sécurité ; • Thales Alenia Space, n°1 européen des solutions par satellites et acteur

récepteurs sensibles sont particulièrement vulnérables aux brouillages causés par les émetteurs de Terre et spatiaux. Des systèmes tels que Cospas-Sarsat utilisent des satellites en orbite terrestre basse altitude disposant d'un champ de vision de plusieurs millions de kilomètres carrés et des satellites en orbite géostationnaire observant à peu près 1/3 de la surface de la Terre. Ces satellites reçoivent des signaux de détresse de radiobalises de localisation des sinistres (RLS) par satellite à faible

possibilité de réaliser des acquisitions en tout temps, par ciel clair ou nuageux, et de jour comme de nuit. Un capteur Passif Un capteur actif Les satellites d’observation en orbite autour de la terre sont essentiellement de trois types (Bonn & Rochon, 1992) : 1. L’orbite géostationnaire est une orbite équatoriale et circulaire à une altitude d’environ 36000 km. Le satellite se déplace à la même vitesse angulaire et dans le même sens que la terre assurant ainsi une observation permanente

d'informations. Des centaines de kilomètres de câble ou de fibre optique sont mis en place chaque jour dans le monde, le long voies ferrées, des autoroutes, à côté des conduites d'eau et d'électricité. Des projets de communication par satellites en orbite basse sont en cours de réalisation malgré les déboires connus du projet "Iridium" et les canaux hertziens ne sont pas délaissés non plus. Tout cela pour faire de la téléphonie bien sûr, mais également pour offrir des "tuyaux" pour les réseaux informatiques

parcourue en une période T. La vitesse v est le quotient de la circonférence et de la période. v = 2 R/T = (2 /T)R => v = R et = v/R . Exemple : La Terre met 365,25 jours pour faire un tour autour du Soleil et nous admettrons que son orbite est circulaire. Le rayon Terre - Soleil et de R = 150 millions de km. R = 150 * 1'000'000 * 1000 m = 150 * 109 = 1,5 * 1011 m T = 1 [an] * 365,25 [jours/an] * 24 [heures/jour] * 3600 [secondes/heure] = 3,155 * 107 s Vitesse angulaire = = 2 / T

avaient mis au point durant la guerre froide a des fins militaire et stratégiques . Le rôle de l’Etat fédéral dans la diffusion civile de développement initialement militaires apparait dans le déploiement de satellites de communication en orbite géostationnaire . Les Etats-Unis ont développé une florissante industrie de l’image . Le cinéma et la télévision sont des produits marchands . La globalisation de la culture américaine se manifeste par la présence a l’échelle mondiale d’images issues de

des orbites, liberté d'accès et de stationnement sur la lune et les autre corps célestes. Tout Etat à le droit de procéder au lancement d'objet dans l'espace. De même que tout organisation internationale a condition que cette compétence soit reconnue par leur charte. Liberté d'utilisation des orbites, aucun état ne peut prétendre s'approprier l'exclusivité d'une orbite ou d'un type d'orbite déterminé. Affaire de l'orbite dite géostationnaire dans les années 80, l'orbite géostationnaire est

caractéristiques du vecteur accélération. Ce mouvement a lieu sous l’effet d’une force radiale, c’est-à-dire dirigée selon le rayon de la trajectoire circulaire, et la vitesse initiale est non nulle. Lois de Képler 1. Les planètes ou satellites décrivent des orbites elliptiques, l’astre attracteur étant l’un des foyers de l’ellipse ; 2. Les aires balayées par le segment reliant le satellite à l’astre attracteur pendant des durées égales sont égales ; 3. Le rapport entre le carré de la période de révolution T

Prés de 300 satellites de télécommunications sont actuellement en service, ils sont presque tous géostationnaires et positionnés à 36 000 km. L'avantage de cette orbite est que le satellite reste fixe par rapport à la Terre et qu'il n'est pas nécessaire de le poursuivre avec des antennes mobiles au sol. Dans cinq ans, il y en aura prés de 1000. La plupart de ces commutateurs célestes seront sur des orbites basses, à quelques centaines de kilomètres au-dessus de nos têtes, permettant des échanges en

Landsat Thematic Mapper Figure 6.2 Image Radar ERS-1 (Source: National Research Concil of Thailand) (Source: National Research Concil of Thailand) Les satellites d’observation en orbite autour de la terre sont essentiellement de trois types (Bonn & Rochon, 1992) : 1. L’orbite géostationnaire est une orbite équatoriale et circulaire à une altitude d’environ 36000 km. Le satellite se déplace à la même vitesse angulaire et dans le même sens que la terre assurant ainsi une observation permanente