Orbite géostationnaire

, par conséquent, facilement  accessibles. Le processus d’évaluation environnementale serait minimal. De plus, cette option permet de  réutiliser certaines infrastructures existantes.  i. Les satellites sont habituellement situés en orbite géostationnaire, à environ 36 000 km de la  Terre.  Cela  impose  des  temps  de  latence  et  de  propagation  considérables  pour  certaines  applications.  Dans  la  présente  étude,  une  combinaison  de  réseau  maillé  (technologie  en  bande C)

d’ouvrir cette technologie aux usages civils, à la suite de la destruction par les Soviétiques d’un avion de ligne de la Korean Airlines qui s’était égaré audessus de la Sibérie. En 1995, le système devint pleinement opérationnel grâce à la mise en orbite complète de la constellation de 24 satellites GPS. En 1996, le président américain Bill Clinton autorisa l’élimination progressive d’un dispositif de brouillage, mis en place par les militaires, qui CHAPITRE 9 • L’INNOVATION ET L’ENTREPRENEURIAT

000 kilomètres du niveau moyen de la mer. Les raisons pour lesquelles cet espace intéresse tant les militaires sont multiples : Les «grandes oreilles» du monde sont gérées par des satellites des télécommunications qui sont sur une orbite géostationnaire (36.000 kilomètres), la navigation, la météorologie, la géophysique, la géodésie, les alertes etc. sont tributaires des services de l’espace et compliquent de plus en plus l’art traditionnel de la guerre. Ceux qui maîtrisent ces technologies

fibre optique. Le premier satellite expérimental  Spoutnik, 1957. Les premières applications satellitaires datent des années 1960 : télétransmission, civiles & militaires. Les satellites d’observation de la Terre sont des satellites géostationnaires avec une orbite polaire & perpendiculaire à l’orientation de la Terre. Numérisation : Les années 70 & 80 reposent sur la numérisation des données (voix, sons, images de toutes sortes). Il y a également la révolution de la fibre optique, on découvre

fibre optique. Le premier satellite expérimental  Spoutnik, 1957. Les premières applications satellitaires datent des années 1960 : télétransmission, civiles & militaires. Les satellites d’observation de la Terre sont des satellites géostationnaires avec une orbite polaire & perpendiculaire à l’orientation de la Terre. Numérisation : Les années 70 & 80 reposent sur la numérisation des données (voix, sons, images de toutes sortes). Il y a également la révolution de la fibre optique, on découvre

c'est-à-dire une forme collective d’action dans un sens – déclaration de Bogota adoptée le 8 décembre 1976 par 8 Etats équatoriaux. Il se trouve que les satellites de télécommunications étaient mis en orbite géostationnaire autour de la Terre. Ces huit Etats ont alors déclaré que la portion d’orbite géostationnaire qui se trouve au dessus de leur territoire était du fait de ses caractéristiques physiques étaient placés sous leur souveraineté. Mais ceci n’a eu aucune conséquence juridique. Aussi, les effets

balançoires, laser Terre-Lune, augmentation de la vitesse des moyens de transport (Train à grande vitesse), augmentation de la fréquence de l’horloge des ordinateurs, échelle de temps de la tectonique des plaques, décollage d’une fusée et mise en orbite de satellites, chute de la station MIR, saut en parachute et saut à l’élastique, amélioration des performances sportives, etc. Un questionnement adapté aux exemples choisis doit faire comprendre progressivement comment se développe l’approche du (de

société globale de l'infor mation et du savoir " 5 ISITT 2008 Mémoire de fin d’études Il y a cinquante ans, le 4 octobre 1957, l’humanité tournait une page importante de son histoire. Ce jour-là en effet, l’Union soviétique mettait sur orbite Spoutnik 1, le premier satellite de la Terre. Elle ouvrait par la même occasion une nouvelle ère, celle de l’exploration de l’espace. Les différentes technologies de la communication connaissent actuellement un formidable essor. Réseaux, téléphones

maritime de l’Etat. Projection à la verticale des frontières terrestres et maritimes. La question de la frontière en altitude du territoire aérien n’est pas réglée, faute d’accord sur un critère de déf (limite supérieure des vols aéronautiques ? orbite géostationnaire des satellites ?). Le prolongement de l’espace aérien national est l’EEA qui est soumis à un statut juridique ad hoc d’internationalisation, différent du statut juridique applicable à l’espace aérien propre à chaque (traité sur la lune et

ellipsoïde de révolution aplati aux pôles. L’aplatissement est défini par : f = (a − c)/a où a et c sont les longueurs des demi-axes de l’ellipsoïde. La Terre n’est pas complètement en équilibre hydrostatique mais en est très proche. Les études des orbites des satellites artificiels ont permis de déterminer, pour la Terre, f = 1/298,25 au lieu de 1/299,8 pour l’équilibre hydrostatique, soit : 171_Maroc_LIV.indb Sec1:23 23 a moyen = 6 378,160 km, c = 6 356,775 km. Pesanteur et géoïde