Orchestre symphonique

monde de toutes pièces, a orchestré les formes de l'art pour glorifier la "pureté" au détriment des arts qualifiés de "dégénérés" lorsqu'ils ne correspondaient pas aux critères officiels raciaux, moraux ou esthétiques. Dès 1933 d'ailleurs, le trio qu'Hindemith formait avec les musiciens juifs Szymon Goldberg (violoniste) et Emmanuel Feuermann avait été interdit de concert. Mais dès avant d'avoir terminé son opéra, Hindemith en avait choisi plusieurs épisodes symphoniques, dont il fit une suite,

« boîte à chaussure », figures 3b et 4b). La distance entre auditeurs et musiciens est a priori moins critique que pour un opéra. Néanmoins, il existe des limites aux dimensions des grandes salles de concert du fait de la puissance d’un orchestre symphonique non expansive et de l’écho désagréable généré par une salle trop vaste. De plus, lorsque la capacité d’une salle est augmentée, les murs sont écartés et les réflexions sonores diminuent ; le son manque alors de réflexions donc de présence

pianiste, organiste et enseignant du 19/20 e siècle). Ravel est aussi fasciné par la musique noire américaine comme le jazz et le blues, que lui fit mieux découvrir Gershwin (compositeur américain du début du 20 e siècle, créateur du jazz symphonique), au cours de la tournée américaine de 1928. Il en introduisit de nombreuses « touches » dans les chefs d’œuvre de sa dernière période créatrice (ragtime dans « l’enfant et les sortilèges », blues dans la « sonate pour violon », jazz dans le « concerto

3e7 L'oeuvre « Phaeton » de J.B LULLY • En 1683, Jean-Baptiste Lully compose une tragédie musicale appelée « Phaeton », suite à la demande du roi Louis XIV. La pièce est constitué d'un prologue et de cinq actes. Elle est composée d'un orchestre symphonique, d'un chœur et de voix principales. Inspiré des « Métamorphoses d'Ovide », et plus précisément du mythe de Phaeton, Phillipe Quinault écrit le livret de cet opéra. Cette tragédie a été présentée pour la première fois le 6 janvier 1683 à Versailles

piloté par Enola Gay lâche la bombe atomique « little boy » à 8h15 heure locale (9000m). Après une chutte libre de 45s, elle explose à 600m du sol faisant 75.000 morts sur le coup. Le nombre total de victimes est environ de 250.000. C'est un orchestre à corde frottées de 52 instruments : 24 violons, 10 altos, 10 violoncelles et 8 contrebasses. Il y a plusieurs modes de jeux utilisés : -Le Tremolo (répétition très rapide d'une ou deux notes) -Le Vibrato (faire varier faiblement la hauteur

(Stravinski (L’oiseau de feu), Moussorgski (Boris)/chants traditionnels russes.) - Musiques électroniques (Variations pour une porte et un soupir Henri/Béjart/Balanchine) Des notions spécifiques : vocabulaire musical correspondant (timbre, orchestre symphonique, dissonances, musique, bruit, accents rythmiques, ballet, effets sonores, musiques électroacoustique) Produire : Activités vocales et instrumentales : o Chanter un chant russe (Berceuse cosaque) avec arrangement polyphonique simple

Elle est répétée ostinato par une puis deux caisses claires de la première à l’antépénultième mesure, et suit le grand crescendo pour être finalement jouée par l’ensemble de l’orchestre dans la coda. Instruments : Le Boléro est écrit pour orchestre symphonique. Parmi les bois, certains musiciens utilisent deux instruments de la même famille : le Boléro requiert deux piccolos, un hautbois d’amour, un saxophone sopranino et une petite trompette en ré. Certains instruments ne sont utilisés que le temps

œuvre musicale composée d'un texte et d'une mélodie. Elle peut être interprétée sans accompagnement instrumental, c'est-à-dire a capella, ou au contraire d'un ou plusieurs instruments (guitare, piano, groupe, voire un big band ou un grand orchestre symphonique). Elle peut être à une voix (monodie) ou à plusieurs (polyphonie) comme dans un choral. Simple comptine enfantine de quelques mots ou longue chanson de geste (voir les 4 002 vers de La Chanson de Roland du XIIe siècle), cette expression littéraire

1893 et exécutée le 15 décembre de la même année au Carnegie Hall par l'Orchestre philharmonique de New York sous la direction d'Anton Seidl. Elle est la plus connue des symphonies de Dvořák et l'une des œuvres les plus populaires du répertoire symphonique moderne. Antonin Dvorak a commencé à écrire "From the New World" à son arrivée aux États-Unis, où il se sentait très aliéné et solitaire, incapable de s'adapter à ce nouveau pays. Par conséquent, la symphonie a imprégné une ambiance nostalgique

blues-gospel (Mass), en passant par certaines pointes de dodécaphonisme (dans ses premières œuvres, cependant reniées par la suite). Par ailleurs, ses œuvres symphoniques sont formées à partir de réflexions spirituelles, sur la religion entre autres ( cf la 3è symphonie : Kaddish) MUSICALEMENT… Partition écrite pour un grand orchestre : Piccolo, flûtes, saxophones, clarinettes, clarinette basse, bassons Cors, trompettes, trombones Timbales, de nombreuses percussions (notamment latines