Origine Surendettement Actif

parce  que  ce  n est  pas  resté  l obligation  à  une  autre  personne  que  l Etat  sanctionne.   Dans  son  ensemble,  le  terme  obligation  désigne  le  rapport  entre  le  créancier  et  le  débiteur,  c est  à   dire  à  la  fois  l aspect  actif  de  ce  rapport  et  l aspect  passif  de  ce  rapport,  la  dette.     C est  dans  ce  sens  précis  que  le  mot  obligation  doit  être  compris  lorsqu on  dit  que  le  contrat  est  un   mode  de  formation  d un  rapport  d obligation.  

La Crise de la Dette en Europe Elian Chouaib Alexandre Jeanneret⇤ July 22, 2014 RESUMÉ Cet article offre une analyse de la crise de la dette en Europe. Nous relevons d’abord les origines de la crise en présentant les problèmes structurels de la zone euro et, plus particulièrement, des pays ayant sollicité l’aide de l’Europe. Nous étudions ensuite les différentes réformes qui ont été entreprises par l’Union européenne et les gouvernements avant d’exposer les risques de contagion auxquels font face

par l'industrie ou l'utilisation excessive de produits chimiques dans l'agriculture. b. La population et les dynamiques du territoire La population américaine n'est pas toujours solvable (ralentissement de la croissance depuis 1 an car surendettement des américains). La pauvreté et les inégalités sociales (44mo d’américains n’ont pas de sécu) créent parfois des tensions (émeutes de Los Angeles en 1992) 2. Les limites extérieures à la puissance américaine a. La concurrence internationale

1 Rendement moyen des emplois 5,18% 5,18% 5,22% Coût moyen des ressources 2,05% 1,93% 1,93% Coefficient moyen d’exploitation 47,5% 46,4% 47,9% 1,2% 1,2% 1,1% 15,2% 14,2% 13,4% Rentabilité des actifs (ROA) Rentabilité des fonds propres (ROE) Taux des créances en souffrance 5,5% Taux de couverture des créances en souffrance par les provisions 7­ 4,8% 4,8% 74,1% 70,1% 69,0% BANK AL-MAGHRIB - RAPPORT DE LA SUPERVISION

le Dr ENNAJAR à crée une caisse d’épargne dans l’environnement rural, dont la majorité était très méfiante vis-à-vis des banques qui fonctionnent selon le modèle occidental. La mission principale des caisses est la collecte de l’épargne en actifs réels, la transformer en épargne financière et l’utiliser selon un programme économique et social afin de répondre aux besoins des habitants. Bien que cette expérience ait pris fin pour des raisons politiques, elle a ouvert la voie à des entreprises

la Banque du Japon a décidé d’étendre les mesures d’assouplissement quantitatif. Lors de la réunion qui s’est tenue le 14 mars, le Conseil de politique monétaire de la Banque du Japon a doublé le montant du programme d’achat d’actifs, y compris les actifs relativement risqués, le portant à 10 000 milliards de yens (cf. tableau 2). La Banque du Japon a indiqué que son action constituait une démarche préventive pour contrer la détérioration du climat des affaires et l’accroissement de l’aversion au risque

crises, une prise de risque procyclique ............................................................. 53 3. Troisième proposition : les crises financières sont d’autant plus graves que la procyclicité du crédit entre en résonance avec celle des autres actifs................................................................... 69 4. Quatrième proposition : le système bancaire joue un rôle déterminant dans l’issue des crises financières ..................................... 83 5. Cinquième proposition : une

bulle Internet, les autorités reprochant aux agences de ne pas avoir dénoncé le surendettement de certaines sociétés, ou suite aux scandales financiers des faillites d'Enron et de Parmalat, alors que leurs dettes sont restées bien notées jusqu'à la fin. Les agences de notation contestent les accusations actuelles et proclament leur indépendance. Elles reconnaissent fournir des indications sur la manière dont les actifs peuvent être combinés pour obtenir de bonnes notations, mais réfutent s'être impliquées

SUR LES ÉTATS FINANCIERS 8 UNE NOUVELLE LECTURE DES ÉTATS FINANCIERS 1. 2. 3. 4. Primauté du bilan sur le compte de résultat Introduction de la juste valeur La dépréciation des actifs De nouvelles zones de risque dans l’information financière 99 99 100 102 102 104 105 108 114 119 9 L’ÉVALUATION DES ACTIFS (HORS INSTRUMENTS FINANCIERS) 1. 2. 3. 4. Les immobilisations incorporelles Les immobilisations corporelles Dépréciation d’actifs (ou pertes de valeur) Dépréciation des écarts d’acquisition

L’INCIDENCE DES NORMES IFRS SUR LES ÉTATS FINANCIERS 8 UNE NOUVELLE LECTURE DES ÉTATS FINANCIERS 1. 2. 3. 4. 99 10 99 100 102 102 L’ÉVALUATION DES ACTIFS (HORS INSTRUMENTS FINANCIERS) 104 1. 2. 3. 4. 9 Primauté du bilan sur le compte de résultat Introduction de la juste valeur La dépréciation des actifs De nouvelles zones de risque dans l’information financière 105 108 114 119 Les immobilisations incorporelles Les immobilisations corporelles Dépréciation