Origines Régimes Totalitaires

tyrannie. Le terme fasciste signifie: techniquement, le régime mis en place par Mussolini (le premier a véritablement l’assumer), une organisation bien précise, renvoie à la mythologie latine. Il y’a bien conscience d’un régime nouveau, on parle de régime TOTAL, il le revendique même (non-libéral, non-démocratique). Au départ, Mussolini est socialiste. Par extension, on étend le terme à tous les régimes de même nature, tous les régimes de type autoritaire ont été qualifiés de fasciste. Aujourd’hui

Les régimes totalitaires Utilisé dans les années 1920 par Mussolini pour désigner le régime qu’il voulait mettre en place en Italie, le mot totalitarisme a fini par englober les régimes de type nouveau qui, au lendemain de la Première Guerre mondiale, voient le jour en URSS, en Italie et en Allemagne. Condamnant les principes de la démocratie libérale, ils prétendent contrôler totalement la société pour forger un « homme nouveau ». Culte du chef, parti unique, embrigadement de la jeunesse, terreur

années 1920 pour désigner le régime qu’il voulait mettre en place en Italie, le mot « totalitarisme » a fini par englober les régimes de type nouveau qui, au lendemain de la 1ère Guerre mondiale, voient le jour en URSS, Allemagne et Italie. • La notion de totalitarisme pose problème. Elle a été un instrument de guerre froide qui impliquait une identité entre les régimes fascistes et le communisme stalinien, affirmation qui ne résiste pas à l’analyse historique : ces régimes sont différents voire opposés

Un ou des totalitarismes ? Le mot apparaît dans les discours de Mussolini au début des années 20 pour désigner le régime qu'il souhaite mettre en place. Dès 1923, G Amendola , un opposant du groupe libéral démocratique utilise cette expression pour dénoncer la mainmise du pouvoir fasciste sur l'Italie.Mais attention à cette époque, aucun véritable régime totalitaire tel qu’il sera défini plus tard, n’est établi. Mussolini qui s’est emparé du pouvoir à l’occasion de la marche sur Rome en 1922,

LA TRANSFORMATION DES RÉGIMES POLITIQUES : LES BASCULEMENTS AUTORITAIRES ET TOTALITAIRES ​ : l’effondrement de la démocratie en Allemagne (1933) I. les signes avant coureurs Dans les années 30, l’Allemagne est une nation fragilisée par la défaite de la 1ere GM et les traités de paix signés. Cette nation est également une des plus touchés par la crise de 1929. Ainsi, les crises économiques et sociales affaiblissent le pays, et

1. La naissance des régimes La conquête du pouvoir par le fascisme en Italie • Entre 1918 et 1920, une importante crise morale, politique et sociale secoue l'Italie. Des usines sont occupées par les ouvriers à Milan et à Turin. La multiplication des mouvements sociaux oblige des patrons à fermer leurs entreprises. Mais dans certains cas les ouvriers décident de poursuivre la production en prenant les postes d'employés. On retrouve ce même mouvement dans les campagnes où des paysans sans terre

deux dictateurs à installer ces autocraties. Au cours du XXème siècle, deux Etats se distinguent donc des autres pays par leurs régimes totalitaires. Ce sont des régimes dans lesquels l’Etat cherche à tout contrôler : la population, l’économie, la presse… Il s’agit de l’Allemagne nazie et de l’Urss. Tout d’abord l’Allemagne. Celle-ci tombe sous la coupe d’un régime nazi en 1934. Hitler, qui appartient au Parti National des Socialistes Travailleurs Allemands (NSPAD) fondé en 1920, est élu au rang

Les totalitarismes de l’entre deux guerres Les critères communs, tentative de définition Texte 4 page 289 les 6 critères pour une définition selon R. Aron La première des propriétés caractérisant ce régime politique est celui du parti unique. Les autres demeuraient annulés, et interdits. En Italie, le PNF, Parti National Fasciste, s’instaure en 1925 au pouvoir et proclame les lois fascistisimes. Cependant, le groupe politique s’est crée en 1919. Celui-ci comme en Allemagne, arrive après une

plus un modèle pour les autres pays. Le dernier moment de ce passage peut s’interpréter comme un certaine mise en garde de la part de l’auteure, celle-ci mettant en évidence les conséquences amenées par la guerre, les contradictions et limites d’un régime oppressif, ainsi que le caractère imprévisible d’un futur dans des conditions aussi chaotiques. I/ LE PROBLEME DE LA CENTRALISATION Aux yeux de Simone Weil, la civilisation moderne représente l’opposé de l’idéal au sein duquel le travail

philosophique classique ou Théorie politique. La philosophie classique : La démarche de la philosophie classique consiste en la recherche du meilleur régime politique. PLATON dit : « Que le meilleur régime est la république ». On appelle cela « l’utopie politique ». On s’intéresse à ce qui devrait être. Cette recherche du meilleur régime n’a pas disparue. T. MORE qui a écrit «Utopia ». On emploi cela pour faire réfléchir sur sa société, se demander si elle est bonne. Il se peut que l’utopie