Orthodoxes vieux-croyants

engager des politiques de lutte contre l’inflation, et à s’attaquer au problème du chômage par des mesures structurelles, et non plus par des politiques conjoncturelles de soutien macroéconomique à la demande : l’enjeu devenait la baisse du NAIRU. Ce vieux débat entre monétaristes de l’école de Chicago et keynésiens a rebondit récemment dans un article publié par trois économistes américains, William Dickens, George Perry et George Akerlof. En se fondant sur l’expérience américaine de la décennie 90

le fini. C'est une idée claire et positive mais pourtant pas distincte car elle est au dessus de notre capacité de comprendre. De là il faut s'abstenir de tomber dans des débats sur l'infini, ce qui serait présumer des forces de notre esprit en le croyant à son tour infini. Il faut se borner à affirmer que dans l'étendue physique comme dans la série des nombres nous pouvons toujours aller au delà sans rencontrer aucune limite. Cette distinction infini/indéfini semble correspondre à celle entre infini

Choix de textes 14 Charles-Louis de Secondat, baron de la Brède et de MONTESQUIEU (1689-1755) Lettres persanes (1721) Lettre XXXVII [Commentaire de ce texte dans la partie suivante du cours] Usbek à Ibben À Smyrne. Le roi de France est vieux. Nous n’avons point d’exemple dans nos histoires d’un monarque qui ait si longtemps régné. On dit qu’il possède à un très haut degré le talent de se faire obéir : il gouverne avec le même génie sa famille, sa cour, son état. On lui a souvent entendu

tous les pays d’Europe de nombreuses forces politiques font fonder toutes leurs stratégies sur la remise en cause de ces frontières. Toutefois, l’essentiel est que la guerre a provoqué une redistribution des cartes au niveau interne à savoir que de vieux débats politiques vont disparaître, de vieilles forces politiques vont disparaître ou perdre de leur influence et de nouveaux débats vont surgir sur le devant de la scène, de nouvelles forces politiques vont apparaître et jouer les premiers rôles.

prenne de s’instruire, nous défendons aux pères et aux mères d’enseigner à lire à leurs enfants. Et, pour prévenir toute contravention à notre ordonnance, nous leur défendons expressément de penser, sous les mêmes peines; enjoignons à tous les vrais croyants de dénoncer à notre officialité quiconque aurait prononcé quatre phrases liées ensemble, desquelles on pourrait inférer un sens clair et net. Ordonnons que dans toutes les conversations on ait à se servir de termes qui ne signifient rien, selon l’ancien

jugement que nous sommes enclins à porter sur la pratique de cette vertu évangélique chez les orthodoxes russes. Je dis « orthodoxes russes », car je n’aperçois rien de semblable chez les autres membres de la famille pravoslave. Force nous est de croire que nous sommes ici en présence d’un trait de psychologie russe et non d’une manifestation particulière du sentiment religieux. Certes, Dostoïevski est croyant et même un peu fanatique : il y a en lui moins d’évangile que chez Tolstoï, mais plus de foi

religieuse L’Eglise catholique est probablement celle qui a le plus à faire face à ces phénomènes, car la Vierge Marie constitue un des thèmes les 19 Comprendre le paranormal plus fréquents (cf. Bouflet, Boutry, 1997). Voici un cas émanant d’un croyant, que j’ai personnellement rencontré : Mr. S. me dit avoir vu la Vierge Marie de manière distincte (en plein jour, alors qu’il était dans un état de conscience normale). Elle lui a apporté un message qui, ditil, avait une portée personnelle, puis elle

toutes les épreuves que j'ai endurées. Malheureusement, les gens n'ont vu en moi qu'une curiosité exotique, un spécimen zoolo­ gique bon à être exhibé dans une cage comme un monstre venu de l'Inconnu. Qu'adviendrait-il donc, je me le demande, de mes vieux amis, les Yélis ( 1 ), si les Occidentaux réussis­ saient à les capturer, comme ils s'efforcent de le faire. A coup sûr, ils seraient abattus, empaillés et relégués dans un musée! Ce qui n'empêcherait pas les gens de discuter de leur existence et.

Prisonnière. L'analyse s'exerce, se prolonge, tournoie, jouit d'elle-même avec une virtuosité, un élan, qui nous font songer moins à l'analyse pure, technique et froide, qu'à la poésie de l'analyse. Et je ne vois pas d'autre comparaison à reprendre que le vieux rapprochement de Proust avec Montaigne. On songe à ce lyrisme intellectuel du troisième livre des Essais, le plus personnel, le plus indépendant, celui qui est capté le plus directement sur le griffon. C'est de la vie directe, fraîche, qui jaillit

lui succéder sous le nom de Sylvestre II. Entre l’empereur et le pape, « ces deux moitiés de Dieu », comme dira Victor Hugo dans La Légende des siècles, l’amitié ne se démentira pas. Mais l’empereur n’a pas l’intention d’abandonner son pouvoir au vieux maître : il dénonce La Fausse donation de Constantin (selon ce texte apocryphe, Constantin, avant de quitter Rome, aurait donné au pape Sylvestre Ier l’autorité sur la Ville et l’Occident) ; Otton III estime que c’est l’empereur qui règne. Aidé du