Oscar

Recovery3,4 en 2010, dont 40 millions aux États-Unis5. Il est le premier artiste à avoir deux fois l'album le plus vendu de l'année6 depuis l'apparition de l'organisme SoundScan en 1991. Il est le premier rappeur de l'histoire à avoir remporté un Oscar de la meilleure chanson originale (voir ci-après) et deux disques de diamant. Il est élu « artiste de la décennie » par le Billboard7 et est classé 83e plus grand artiste de tous les temps par le magazine Rolling Stone8. Durant sa carrière, il a aussi

le premier artiste à avoir deux fois l'album le plus vendu de l'année[4] (avec The Eminem Show en 2002 et Recovery en 2010) depuis l'apparition de l'organisme SoundScan en 1991. Il est également le premier rappeur de l'histoire à avoir remporté un Oscar de la meilleure chanson originale (2003), pour le titre Lose Yourself extrait de la bande originale du film 8 Mile (voir ci-après). Durant sa carrière, il a été autant couvert d'éloges que controversé. Eminem est considéré, tant par la critique

ont étés mises en place : un appareil permettant de bouger les oreilles ou les sourcils à l’aide d’un télécommande tandis que Doug Jones faisait jouer la partie basse du visage du personnage. Grâce à ces techniques de maquillages, le film a reçu un oscar du meilleur maquillage en 2007. LE CORPS DE L’ŒUVRE Les valeurs et les couleurs : Les couleurs rappellent toujours un thème dans le film : Quand Ofelia va dans l’antre de l’homme pâle, les couleurs sont rouges sans agresser ou comme des couleurs

Le Déclin du mensonge d’Oscar Wilde s’ouvre sur un constat : la Nature n’est pas l’environnement propice au développement humain. Elle ne présente pas d’ordre logique et se révèle être d’un inconfort notoire. En fait, « elle n’a pas de plan, manque étonnamment de fini, présente une extraordinaire monotonie et un complet inachèvement. Dans cet essai, Vivian et Cyril sont assis dans une bibliothèque, symbole de l’érudition et de la civilisation. La situation des personnages permet ainsi d’installer

Fiche de lecture : Titre : Oscar et la dame rose. Auteur : Eric-Emmanuel Schmitt. Lieu d’édition : France, Paris. Date d’édition : 2002. Maison d’édition : Albin Michel. Collection : / Renseignements biographiques sur l’auteur : Éric-Emmanuel Schmitt est né le 28 Mars 1960

LE CHARME DISCRET DE LA BOURGEOISIE (1972) Oscar du meilleur film étranger en 1973, ce film du réalisateur espagnol Luis Buñuel est parti d’une histoire véridique vécue par le producteur de Luis Buñuel. Il s’était en effet absenté un soir, oubliant avoir invité des amis à dîner chez lui, et contraignant son épouse à improviser un repas, en robe de chambre et l’estomac déjà plein... Cette anecdote inspira au cinéaste un scénario simple : un groupe de bourgeois passe de réception en réception

grandement ce film, accessible à – presque – tous ! Fiche technique : "Le Charme discret de la Bourgeoisie", réalisé par Luis Bunuel (1972). France/Italie. Avec Fernando Rey, Paul Frankeur, Delphine Seyrig, Stéphane Audran, Jean-Pierre Cassel. 105 min. Oscar du meilleur film étranger.

JE me nomme Victor et veux ne pas payer a+ :) mince je dois écrire plus donc quldhlqjkydzhgdxnduyazfiydzaudguyzarauyzaoeypaznhepiuydopazy- diupyzaduipanzdupouazdîouzaopidyazioudôaudazîud^zaudoîudiujohduh,iucguizdoiahzdipuzydaz,ud^zaudiuza iduzaoiud^zaoudiuz$dazopdi$aiozdopi,$ sdfsf4sdf4z4fr4gzefzegezlllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllll- lllllllllllllllltttttttttttttttttttttoooooodnlkjsqhldqhiudhq- zoiuh dzgdoihqloiudhz uhzouiqdh quhphzdpoiuqiudqoiuzdupqud pqoiusoiud ojxpoisuoi

[pic] [pic] [pic] ← Visit these sites: http://fr.wikipedia.org/wiki/Michael_Moore http://en.wikipedia.org/wiki/Second_Amendment_to_the_United_States_Constitution http://fr.wikipedia.org/wiki/National_Rifle_Association http://en.wikipedia.org/wiki/Bowling_for_columbine ← And answer the following questions: I) Michael Moore : 1) Who is Michael Moore? Michael Moore is a writter and a american’s director 2) When was he born? He was born 23 april 1954

Trente ans après la sortie d’une première mouture d’Arthur en 1981, écrite et réalisée par Steve Gordon et mettant en vedette Dudley Moore, Liza Minnelli et Sir John Gielgud, sur une trame sonore de Burt Bacharach, je dois avouer qu’avec le nombre de remakes, reboots ou réemballages tout azimuts que l’on nous sert par les temps qui courent, je me pointais en salle avec une certaine méfiance. La méfiance est vite tombée, pour une foule de raisons: le scénario de Peter Baynham, toujours selon l’histoire