Ossip Zadkine La Ville Détruite

aOssip Zadkine naît le 14 juillet 1890 à Vitebsk en Biélorussie. En 1905, ses parents l’envoient dans le Nord de l’Angleterre, le pays natal de sa mère. Il se nomme Joe Zadkine jusqu’en 1914. Après avoir achevé ses études au Regent Street Polytechnicum et à l’école centrale d’artisanat de Londres, le jeune artiste se rend à Paris en 1909. Là, Ossip Zadkine s’inscrit à l’Ecole des Beaux-Arts qu’il quitte cependant peu de temps après pour travailler désormais en tant qu’artiste indépendant. Zadkine

Ossip Zadkine: La ville détruite Biographie Né en Biélorussie, en Juillet 1890, Zadkine étudie l'art à Londres avant de s'installer à Paris, en 1909. A Londres, il était apprenti ébéniste. Il fréquantait aussi le British Museum entre 1905 et 1908. Arrivé à Paris, Zadkine découvre cette grande ville et ces artistes du Montparnasse, et devient un étudiand aux Beaux Arts. Ensuite , il travaillera à « La Ruche ». Puis il est immortalisé dans un nouvel atelier par son voisin, le photographe

Sommaire : Première partie: Présentation et comparaison des différentes œuvres avec mon travail. Gloria Friedmann : La vanité des bâtisseurs. (Page 2 à 3) Jochen Gerz : Place du mémorial invisible. (Page 4 à 5) Ossip Zadkine : Ville détruite. (Page 6 à 7) Deuxième partie : Présentation des travaux préparatoires. Croquis préparatoires de mon travail. (Page 8) Brouillon et notes de mes recherches concernant les 3 œuvres demandées et le texte argumentatif. ( Page

comme la sculpture de Ossip Zadkine. Revenons à la ville détruite Le mouvement du corps est accompagné d'une expression marquée du visage la bouche grande ouverte peut évoquer un cri poussé. L'espace L'échelle : la dimension de la sculpture lui donne un caractère monumental. La taille amplifie sa verticalité et son mouvement tendu vers le ciel. La sculpture est présentée sur yn socle. Celui-ci argumente son caractère imposant. Elle est située dans l'espace public, dans la ville de Rotterdam. Conaissances

feux, comme si la terreur et le chaos ambiant l'en empêchaient. À l'arrière plan, on semble reconnaître des immeubles ainsi que des maisons effondrés ils seraient représentés par les formes géométriques troubles. v suite au bombardement de la ville de Guernica du 26 avril 1937 effectué pendant la guerre d'Espagne et démontre l'horreur et la violence de celui-ci. Le tableau comme souvent dans les œuvres dénonçant des scènes dramatiques est basé sur une forme triangulaire. La base y est occupée

méridien de Paris" afin de rendre hommage à Arago. Le projet se présente sous la forme d'un parcours à travers la ville, matérialisé par 135 médaillons en bronze de 12 cm de diamètre, fixés au sol le Iong du méridien de Paris, entre le nord et le sud de Paris. En effet, Jan Dibbets a choisi de ne pas concentrer son intervention sur le seul socle mais d'intervenir à l'échelle de la ville tout entière. Volontairement les médaillons se lient complètement aux endroits où ils sont posés: jardins, passages

autoportrait connu d’Elisabeth Vigée-Lebrun ; l’Abondance d’Henri Le Fauconnier (1910-1911) s’inspire de Puvis de Chavannes, etc. Le Salon des Indépendants de 1912, est l’exposition la plus importante car il y apparaît l’œuvre manifeste de Delaunay La Ville de Paris (b). Cette œuvre offre une vue de Paris cubifiée et démultipliée en de multiples facettes, avec à droite de la composition la Tour Eiffel, au centre ses Trois Grâces (imitées de Pompéi) étirées sur toute la hauteur du tableau (inspirée des

est cité comme exemple dans la liste de référence pour l’habitat collectif (Cité radieuse) et pour les bâtiments religieux (Chapelle de Ronchamp) L’architecte : Le Corbusier (1887-1965), de son vrai nom Charles-Edouard Jeanneret, quitte sa ville natale de La Chaux-de-Fonds (Suisse) en 1917, pour s’installer définitivement à Paris. Charles L’Eplattenier, dont il a été l’élève a joué un rôle essentiel dans sa formation : « L’un de mes maîtres, (un maître remarquable) m’arracha doucement

Constantin Brancusi. « S’il y avait qu’une seule vérité, on ne pourrait pas faire cent sculptures sur le même thème ». Pablo Picasso. « Le langage de la sculpture est un néant prétentieux s’il n’est pas composé de mots d’amour et de poésie ». Ossip Zadkine, « Paroles de sculpteurs ». « Modigliani soutenait que la sculpture était devenue très malade avec Rodin et son influence. Il y avait trop de modelage en glaise, trop de ‘gadoue’. Le seul moyen de sauver la sculpture était de recommencer à tailler