Ossuaire

d’un drapeau allemand. Grace à la mémoire de cette bataille, cette dernière est devenue une prise de conscience européenne grâce aux nombreux événements qui ont montré les horreurs qu’a connu Verdun, ce qui a ouvert les yeux de ces européens.  Ossuaire de Douaumont (Verdun) Conclusion : La bataille de Verdun a été dévastatrice et marquante. De nombreux événements ont entretenu la mémoire de ce combat, tel que les commémorations, les musés, les hommages, qui ont entrainé une prise de conscience

l’on place au bout d’un fusil. Que se passa-t-il à cet endroit ? Il y a eu un bombardement, et des hommes ont été enterré vivants dans les tranchées. Quel fut le régiment concerné ? Le régiment concerné fut le 137 eme régiment d’infanterie. OSSUAIRE DE DOUAUMONT – CIMETIERE NATIONAL : Qui l’a fait construire ? Pourquoi ? L’Abbé Noël et Monseigneur Ginistry l’ont fait construire car ils voulaient que les familles des disparus aient un endroit pour se recueillir. A quoi correspondent les

1) L'ossuaire de Douaumont se se situe en Lorraine près de la ville de Verdun. 2) Le personnage qui as décidé de construire ce monument est monseigneur Ginisty , évêque de Verdun, accompagné du général Valantin, gouverneur de Verdun pour qui sera un cimetière géant rassemblant tous les soldats mort à la guerre ou les familles viendrait se recueillir et prier, pour montrer ces soldats qui sont mort pour la france 3) La date de construction demarra a la fin de la guerre a la fin de l'année 1918

au sein de l'enclos paroissial dans lequel il a une place importante. Ce dernier témoigne de la foi bretonne en ces temps de prospérité qui courent jusqu'au XVIIe siècle. Il s'agit d'un ensemble architectural regroupant une église, un calvaire, un ossuaire, un cimetière, un mur d'enceinte et une porte triomphale. C'est un espace clos et sacré, qui remplit un rôle symbolique de rencontre entre le monde des vivants et celui des morts. Si l'enclos paroissial a perdu son cimetière, il reste encore une

préparation du tombeau. Pour l’occasion, le tombeau familial a été reconstruit et repeint. Ces travaux d’entretien ont commencé trois mois plutôt. Durant ces travaux, les ossuaires de nos proches défunts n’ont pas été déplacés mais restaient dans le tombeau. Les ouvriers ont ainsi travaillé avec la présence de ces ossuaires à leur côté. Les corps ont été simplement enveloppé de nattes pour ne pas gêné les ouvriers dans leurs travaux. Sur l’image du haut à droite, nous voyons en arrière plan des

tranches bien saignantes V33 souvenir= métaphore= Sorte de pâté chaud composé d'andouillettes, de hachis de veau. viandes associées à la mort (morts nés, ossuaires, danse macabre mortes) V34pensées mortes depuis des millénaires=hyperbole V35 ont le goût fade des mammouths gelés V36 les os viennent du cimetière Assonance en O «os» «songe» «ossuaire» V37 Il voit le festin comme une danse macabre dans sa tête V38 personnification des mets= ils crient V39 Sacre à Dieu = Évocation de la vie personnelle

aient eu leurs danses macabres. Pendant la 2eme moitié du 15eme siècle, les danses macabres jouirent d’une popularité sans cesse grandissante. Elles sont peintes (ou plus rarement sculptées) sur les murs extérieurs des cloîtres, des charniers, des ossuaires ou à l’intérieur de certaines églises. Sur ces fresques, un cadavre décharné ou un squelette est couplé avec un représentant d’une certaine classe sociale. Le nombre de personnages et la composition de la danse dépendent du lieu de création. Elle

l'angle Nord Ouest du cimetière se trouve le mur des Fédérés. Il correspond aux communards fusillés. Les catacombes sont des cavités souterraines ayant été utilisées comme sépultures ou ossuaire. L'appellation de catacombes, dans le cas de la ville de Paris, est abusive. Il s'agit en réalité d'un ossuaire, les os ayant été déplacés depuis des cimetières. A l'origine ce lieu était des carrières souterraines. Il a été transformé en catacombes en 1786 ( fin du XIII eme siècle ). Le transfert

lexical du recueillement, femmes pieuses, « les femmes se signaient » (v. 36) + « Il est mort écoutez » (v. 34) ➢ Mort jusque chez les animaux : « chasser les lapins » (v. 6) ➢ Champ lexical de la désolation (complémentaire de la mort) : « ossuaire » (v. 29), « tordus » (v. 28) + allitérations en « r » qui annoncent la rudesse, la mort + adjectifs tristes ➢ Gradation vers la mort : à la fin, la cloche sonne le glas et détermine la « mort du sacristain » + le poème se termine sur la mort

croisade religieuse, marque un retour aux valeurs sacrées, favorisées par les horreurs des combats et la séparation des familles. C'est alors que, dès 1919, les monuments aux morts fleurissent en hommage aux « morts pour la patrie ». De plus, cinq ossuaires sont érigés sur les lieux des grandes batailles comme à Verdun. Par la suite, l'Arc de Triomphe est choisi comme lieu du souvenir avec la tombe du soldat inconnu qui symbolise les hommes morts aux combats. Enfin, la 11 Novembre devient un jour de