Othon

  LE HAUT-EMPIRE  27-14 ap. J.-C.  |  Règne d'Auguste |  14-37 |  Règne de Tibère |  37-41 |  Règne de Caligula |  41-54 |  Règne de Claude |  54-68  |  Règne de Néron |  69-69  |  Galba, Othon, Vitellius, Vespasien |  69-79  |  Règne de Vespasien |  79-81 |  Règne de Titus  |  81-96 |  Règne de Domitien   |  96-98 |  Règne de Nerva   |  98-117 |  Règne de Trajan  |  117-138 |  Règne

Bastille. « Au milieu de ces meurtres », la victoire donne ensuite aux Parisiens l’occasion d’une fête macabre, orgiaque d’une libération à laquelle il dénie. L'auteur compare Paris à la Rome de l’année des quatre empereurs, dont deux sont ici nommés « Othon » et « Vitellius ». Chateaubriand décrit beaucoup plus la manière dont ont été traités violemment les anciens aristocrates comme De Launay et Flesselles qui ont « subi mille outrages », « la tête cassée d'un coup de pistolet » alors qu'il reste bref

adverbes « déjà » et « beaucoup » révèlent que son implication est véritable. Il croit aux effets positifs de sa démarche et accepte d’être un maillon de la chaîne, sans compter son temps ni ses efforts. Plus tard, devant l’agonie du fils Othon, le narrateur dit de lui : « et la fatigue de tous ces jours où il avait payé de sa personne avait tracé des rides sur son front congestionné. » (p.246) La périphrase met en évidence les effets négatifs ressentis par Paneloux à la suite de son engagement

théâtre et se consacre à la traduction en vers de L'Imitation de Jésus-Christ. Il renoue avec la tragédie en 1659 avec Œdipe, puis La Conquête de la Toison d'Or (1660), tragédie à grand spectacle, et donne ensuite Sertorius (1662), Sophonisbe (1663), Othon (1664) et Agésilas (1666). Avec Attila (1667), puis Tite et Bérénice (1670), Corneille quitte l'Hôtel de Bourgogne et s'adresse à la troupe de Molière, qui a déjà interprété plusieurs de ses pièces. Pulchérie, jouée au Théâtre du Marais en 1672, puis

bataille, mais ils ne savent pas lequel la gagnera. Charles dort tant qu’il ne se réveille pas. [...] 64 Le comte Roland est monté sur son destrier. Vers lui s’avance son compagnon Olivier ; Gérin y vient, et le vaillant comte Gérier, et aussi Othon et Bérenger, et aussi Astor et le vieil Anséis, et le farouche Gérard de Roussillon ; y est venu le puissant duc Gaifier. L’archevêque dit : « J’irai, par ma tête ! – Et moi avec vous, dit le comte Gautier ; je suis l’homme de Roland, je ne

24 juillet 1802 à Villers-Cotterêts et mort le 5 décembre 1870 à Puys près de Dieppe. - Ses principales œuvres : 1) Henri III et sa cour (1829) 2) La tour de Nesle (1832) 3) Pauline (1838) 4) Othon, l’archer 5) Grand dictionnaire de cuisine (1873) III) Réflexion sur l’œuvre : Le point de départ du livre est un fait réel : il vient des mémoires tirées des archives de la police de Paris. Dumas découvre l’histoire de Picaud,

Dieu. Même Rambert décide finalement de rester pour tenter de sauver la ville, tout le monde met du sien pour faire face à l’épidémie que ce soit les médecin comme le Dr Rieux ou Richard, même Joseph Grand qui est un employé de mairie, ou le juge Othon propose leur aide. Tous souhaite mettre fin a l’épidémie part tout les moyens possible. Le père Paneloux finit lui aussi par les rejoindre. De cette union naitra le vaccin, trouver par Castel et la peste régresse peu à

travers la chronique d’un médecin l’évolution de la vie à Oran sujette à une épidémie : La peste. A la fin du mois d’octobre, la peste poursuit inlassablement ses ravages. Le docteur Castel a mis au point un sérum qui va être essayé sur le fils du juge Othon dont le cas est jugé désespéré par Rieux. Entouré de tous les personnages importants – Castel, Tarrou, Paneloux, Grand, Rambert et Rieux – l’enfant se livre à une lutte pathétique contre le mal qui l’assaille. Cette scène poignante est l’occasion d’une

d'illusion et se contentent d'attendre. La peste fait des ravages. L’on creuse des fosses communes pour enterrer les cadavres. De plus en plus de violences dans les rues apparaissent. L’épidémie régresse. Il fait pourtant de dernières victimes : Othon, puis Tarrou qui meurt, serein au domicile de Rieux. La femme de Rieux est morte dans la ville voisine ou elle se faisait soigner. On apprend l'identité du narrateur : C'est Rieux qui a voulu relater ces événements avec la plus grande objectivité possible

L.A. 4 : L’agonie de l’enfant (p. 217-218) Situation du passage A la fin du mois d’octobre, la peste poursuit inlassablement ses ravages. Le docteur Castel a mis au point un sérum qui va être essayé sur le fils du juge Othon dont le cas est jugé désespéré par Rieux. Entouré de tous les personnages importants – Castel, Tarrou, Paneloux, Grand, Rambert et Rieux – l’enfant se livre à une lutte pathétique contre le mal qui l’assaille. Cette scène poignante est l’occasion d’une réflexion morale sur