Ottoniens

également en Espagne pour sa reconquête chrétienne. Du type orientalisant de Oviedo (Asturies) on est passé à des formes importées par la collaboration des ordres monastiques français qui y ont envoyé des moines bâtisseurs. Par contre, la Germanie Ottonienne reprend les thèmes de la grandeur carolingienne avec plus de puissance et de richesses sévères. Au XIIème s., on voit grandir 2 systèmes : – au Nord de la Loire: l’art roman (XIème et XIIème) – au Sud de la Loire : l’art gothique (XIIème

Barcelone choisit les Omeyyades pour gagner un peu d'indépendance, protége les petites villes arabes aux alentours et petit à petit : reconstruction ( bibliothèque, remparts & acceuille de ceux qui fuit le grand calif : mixe des populations ) → Ottoniens : Otton Ier de Germanie ( après séparation de l'Empire de Charlemagnes ), descend jusqu'en Italie et accès à la Méditerranée où il trouve les Vikings, Venise & les Maures. Arrete les hongrois en 955 et est bien vu de Rome ↔ Empereur en 962. →

restauration d’un Empire devait faire revivre l’héritage romain : Dans la réalité, le Saint Empire sera marqué par un effacement de l’autorité centrale des rois allemands, et par une emprise de la féodalité. 1°) L’avènement des Ottoniens au Xème siècle : Les carolingiens avaient disparus de Germanie en 911 avec l’élection du duc de Franconie, Conrad, dont le règne fut bref (911 à 919). Durant son règne, son pouvoir resta fragile, à la fois face à la puissance des princes qui l’avaient

progressivement Saint Empire Romain Germanique, et cette entité va durer presque mille ans, avant d’être supprimé par Napoléon. C’est la deuxième renaissance de l’Empire Romain. Après la renaissance carolingienne, c’est la renaissance ottonienne. Cet empire ottonien deviendra le saint empire romain-germanique qui va du Pays-Bas jusqu'à Rome. 2. L'agonie de la dynastie carolingienne A) La montée en puissance des princes territoriaux Dans la société franque et dans ses institutions, il y a incontestablement

romain d'Occident, ainsi que dans la partie danubienne de celui d'orient. Mais le souvenir impérial subsiste et s'affirme comme un modèle de gouvernement aux souverains du Moyen Âge. Ainsi, Charlemagne ressuscite le titre impérial en 800 ; les Ottoniens s'en emparent par la suite. Les slaves, eux, créent le titre de Tzar (César). • Naissance des royaumes Au VIe siècle, les Bulgares créent dans le bassin du bas-Danube un État qui intègre les latins d'orient ainsi que les slavons dont la langue

haut Moyen Âge, mais c'est en vérité un faux problème, car, à ce moment, les esprits les plus ouverts, les plus inventifs appartenaient presque exclusivement au clergé. Nous n'en voulons pour exemple que les deux architectes de la célèbre abbatiale ottonienne de Saint-Michel de Hildesheim. Les historiens, en général, attribuent le mérite de cette construction à l'abbé Bernward, grand artiste, surtout sculpteur magistral. Bernward a probablement conçu l'ensemble et assumé ainsi le rôle de l'architectus

cherche à dominer le pouvoir temporel. Il perd le contrôle des clergés locaux avec la dissolution de l’empire carolingien. La querelle du XIème siècle entre le pape Grégoire VII et l’empereur Henri IV du Saint Empire Germanique (formation d’un modèle Ottonien (empereur Otto 1er) affirmant la suprématie de l’empereur chrétien et romain à la fois prêtre (instrument de Dieu sur terre) et descendant des imperatores) qui entend régir l’Eglise et nommer les évêques. Théorie des deux glaives de Clairvaux, un

plus fort que celui du roi : pouvoir de « tutelle ». Meurt en 956, alors que son fils Hughes Capet, est encore mineur. Pas bon. Affaiblissement pour les Robertiens. H. Capet reprend les rênes, et affirme son pouvoir, et recueil une alliance des ottoniens, empereurs germaniques, très important, famille puissante. Il a un lien de parenté avec eux. Ils vont s’allier avec H.C et renforce son pouvoir. 987, le roi Carolingien Louis V meurt prématurément et sans héritiers direct. H.C profite de cette brèche

donc capturé par les Normands et livré à Hugues. Libéré un an plus tard, après avoir cédé la place forte de Laon, Louis IV fait alliance à son beau-frère Otton Ier (empereur de Germanie) qui n'accepte pas l'abaissement du pouvoir royal. L'armée ottonienne pénètre en France mais est incapable de prendre une place forte telle que Laon ou Paris. Hugues contrôle en effet la majeure partie du territoire du royaume. Mais le souverain parvient à le soumettre, qui est bientôt contraint de s'incliner sous

ceux qu’ils élisent eux-mêmes comme le roi des romains qui a vocation à devenir empereur. Le titre de roi des romains est celui qui est élu par les princes électeurs d’empire, c’est-à-dire depuis que l’empire a été reconstitué par la dynastie des ottoniens un certain nombre d’archevêque de Germanie, et de ducs qui sont des grands féodaux. Parmi ces princes électeurs, il y a des ecclésiastiques qui sont des princes tout court, ils sont à la tête de véritables Etats ; les archevêques sont des chefs spirituels