Ouléma

multiplicité justifie l’existence d’une pluralité de démocratie où chacune correspond aux caractères du peuple et aux lois promulguées par les gouvernements. Il a indiqué que le principe de la consultation est cité par le Coran. De même, les discours des Oulémas musulmans (Spécialistes musulmans) sur la politique contenaient ce que l’on entend de nos jours par démocratie. Quand Abdel Rahman Ben Aljawzi disait que la politique est « la réalisation de la justice par le moyen de la consultation », il a caractérisé

 Larbi Tébessi, Ferhat Abbas, Omar Ouzeggane, etc., tous vont diverger entre eux sur la question algérienne, cela provoquera l'émergence de plusieurs associations et partis algériens: Parti de la réforme ou mouvement pour l'égalité, Association des oulémas musulmans algériens, association de l'Étoile nord-africaine, le parti Parti du peuple algérien, Amis du Manifeste des Libertés, Parti communiste algérien, etc. Après la fin de la Seconde Guerre mondiale, le plan Marshall prévoit une aide économique

l'État. Les écoles françaises réservées aux élèves marocains obligeaient les enfants à faire la prière ensemble dans les cours d'école. En 1914, un décret légalise « les coutumes » dans les territoires dits « berbères » sans aucune réaction des oulémas ou des salafistes, dont le leader à l'époque était vizir de la justice « Ya hsra ». Ce n'est qu'en 1930, suite à la promulgation du Dahir organisant les tribunaux dans les territoires dits « berbères », que la machine arabo-islamiste a commencé son

indépendance renforcée. Elle en acquit plus de souffle et plus d'audience. Par ailleurs, dans le cadre de la confiance Royale en cette institution, où s'expriment les différentes sensibilités nationales (Partis, syndicats, Marocains de confession juive, Ouléma, ONG ...), Sa Majesté le Roi Mohammed VI l'a chargée d'élaborer une Charte nationale des droits et obligations du citoyen et de présenter les propositions adéquates pour combler les lacunes législatives dans le domaine de la lutte contre tous genres

du comité de Bâle. Basé en Malaisie, l’IFSB est chargé d’édicter les règles prudentielles et les bonnes pratiques ainsi que la gestion du risque dans la finance islamique. Pour la première fois, le workshop a connu la participation du Conseil des oulémas. Plusieurs scénarios envisagés Aujourd’hui, BAM serait quasiment prête. Reste à se prononcer sur le système réglementaire qui servira de soubassement à la finance islamique. La Banque centrale étudierait actuellement les différents scénarios, avec

des nomenclatures apparues aux premiers siècles de l’Islam, voici ce qu’en dit Tariq Ramadan : « Les oulémas s’efforcèrent de déduire certains principes ainsi que de distinguer et de catégoriser les caractéristiques de l’espace ou du pays dit islamique et celles du territoire non islamique. Aux premiers siècles de l’islam, et en considérant la réalité à laquelle ils étaient confrontés, les oulémas ne pouvaient qu’élaborer une vision bipolaire : les deux entités de dar al-islam et dar al-harb exprimaient

communément connu comme cas de conscience dont lequel l’individu sera amené à se lamenter, mais plutôt de prise de conscience de la contradiction opérée chez lui entre les cognitions et les comportements. De leur côtés, les prêcheurs et prédicateur (Ouléma, Fouqaha…) de tout bord, plus que les défenseurs d’un  civisme rationnel, et dans tous les lieux permettant d’interpeller ces cognitions et ces comportements (mosquées, Tv, Radio, presse..), s’emploient au rappel et à la Persuasion pour réagir contre

moyen de mettre cela en son avantage. Ils préparèrent un projet de réformes qu’ils ont présenté au Maroc et l’ont annoncé en 1905 à Fès. Le ministre des affaires étrangères de la France est venu avec des réformes administratives et militaires. Les oulémas et le conseil marocain voyaient d’ores et déjà en ces réformes un grand problème et une potentielle menace pour le royaume. Ils ont donc demandé au Sultan Moulay Abdelaziz d’anticiper cela et de prendre une décision sous un conseil de notable et cela

progrès… ». Ce fut alors un tournant décisif dans l’histoire du Maroc. 20 août 1953 : exil du sultan Mohammed Ben Youssef et de la famille royale en Corse puis à Madagascar (Antsirabé). Un nouveau sultan âgé de 70 ans, Mohammed ben Arafa est élu par les Oulémas avec l'appui du pacha de Marrakech, Thami El Glaoui. Cette décision a engendré des émeutes populaires à Casablanca durement réprimées. L'Espagne de Franco, non prévenue de cette manœuvre, refuse de reconnaître sa légitimité. Cette événement a était

compensations pour blessures et meurtres, ainsi que des règles régissant les fêtes, la charité et la prière. Cependant, ces prescriptions et ces prohibitions peuvent être très larges, donc leur application en pratique peut varier. Les penseurs musulmans (oulémas), ont élaboré des systèmes de loi basés sur ces règles larges, s'appuyant aussi pour cela sur les hadiths et leurs interprétations. Quand des musulmans sont divisés sur un sujet particulier, ils peuvent demander assistance à un mufti (juge islamique)