Ouverture Pour Les Fleurs Du Mal

PROUST : A l’ombre des jeunes filles en fleurs, Deuxième partie. * Fausse innocence : regard critique du narrateur. Mais avec recul ou déjà à l’époque. * Portrait de la princesse * Peinture société, les différences de rang. Image de la « digue » ? * Humiliation ? vécue comme telle ou pas ? * De l’interprétation des signaux, mimiques corporelles * Vide et plein : combler un vide. * Tentative maternelle/ ~maternante~. Lecture Marcel Proust par lui-même, seuil 1961 :

brouillés Pour mon esprit ont les charmes Si mystérieux De tes traîtres yeux, Brillant à travers leurs larmes. Là, tout n'est qu'ordre et beauté, Luxe, calme et volupté. Des meubles luisants, Polis par les ans, Décoreraient notre chambre ; Les plus rares fleurs Mêlant leurs odeurs Aux vagues senteurs de l'ambre, Les riches plafonds, Les miroirs profonds, La splendeur orientale, Tout y parlerait À l'âme en secret Sa douce langue natale. Là, tout n'est qu'ordre et beauté, Luxe, calme et volupté. Vois sur ces

1) L'établissement du texte 2) L'arrivée de l''"uvre en France 3) Les traductions Documents : corpus de 3 traductions du prologue (Hugo, Pitoeff/Jouve, Bonnefoy) En Anglais : réinvestissement du document Conclusion et ouverture : Extrait étudié : le prologue B- L'''UVRE DANS UN GENRE : UNE TRAGEDIE SHAKESPEARIENNE S.2 Structure et mécanique tragique Questionnaire : I,1 '" structure '" conflits I,1 III,1 V,3 '" espace et temps: analyse I- Structure

L’animal : métaphore du poète Corpus : Document 1 : Musset, La Nuit de Mai, « Le Pélican », 1835 Document 2 : Baudelaire (1821-1867), Les fleurs du mal, « L’albatros », 1857. Document 3 : Tristan Corbière, Les Amours jaunes, « Le crapaud », 1873 Document 4 : Roubaud (né en 1932), Les Animaux de tout Le monde, « Le Lombric », 1990. * Musset, La Nuit de Mai, « Le Pélican », (extrait) Les plus désespérés sont les chants les plus beaux, Et j'en sais d'immortels qui sont de purs sanglots

L’animal : métaphore du poète CORPUS : Document 1 : Musset, La Nuit de Mai, « Le Pélican », 1835 Document 2 : Baudelaire (1821-1867), Les fleurs du mal, « L’albatros », 1857. Document 3 : Tristan Corbière, Les Amours jaunes, « Le crapaud », 1873 Document 4 : Roubaud (né en 1932), Les Animaux de tout Le monde, « Le Lombric », 1990.  Musset, La Nuit de Mai, « Le Pélican », (extrait) Les plus désespérés sont les chants les plus beaux, Et j'en sais d'immortels qui sont de purs sanglots. Lorsque le

au pays natal, écrit : « Ma bouche sera la bouche des malheurs qui n'ont point de bouche… ». Porteuse de la souffrance des autres, parole d'espoir, invitation au réveil et à la révolte, la poésie ne peut-elle pas mêler sensibilité personnelle et ouverture sur l'universel ? III) la poésie ne traduit-elle pas toujours des sentiments sans forcément le vouloir ? La poésie recherche avant tout à tendre vers l'universalité. A) L'expression sublimée de l'expérience personnelle B) le lyrisme

(opposition de 2 idées), oxymore (rapprochement de 2 termes opposés : morts-vivants) - chiasmes - antiphrase (ironie par son contraire) - parallélismes - anaphores - accumulation - hyperbole (exagération) - euphémisme (atténuation) - litote (elle n’est pas mal = elle est superbe) - périphrase (expression plus longue que le mot d’origine). Registres : courant – familier – soutenu   Etude grammaticale : Marqueur d’énonciation : pronoms personnels sujets – adjectifs possessifs (mon) - pronoms possessifs

 Introduction Si la post�rit� a donn� � Charles Baudelaire une place primordiale au panth�on des po�tes, c�est en grande partie parce qu�on associe � son �uvre l�invention de la po�sie moderne. Apr�s la publication des Fleurs du mal en 1857, Baudelaire explore une nouvelle forme po�tique : le po�me en prose. Le Port est l�un de ces po�mes publi�s en 1869 ; cette pi�ce se pr�sente comme un texte court d�finissant un port maritime. � la lecture de cette �uvre, on peut se demander en quoi la description

principale de première phrase, rejetée au début du premier tercet), qui se reflète ou se répercute dans la syntaxe allégée et bousculée des deux tercets (ellipse de « sentirai » et vers 13). Conclusion : reformulation des titres des trois parties et ouverture sur un autre sonnet de Louise Labé qui comporte le vers célèbre « Ainsi Amour inconstamment me mène ». Explication du sonnet de Pierre de Ronsard (1524-1585) « J’aime la fleur de mars, j’aime la belle rose » Cette explication est conçue

et horrifié par la vision de la tête en suspension. Il se dégage du tableau de la volupté et de la cruauté, du sublime et de l’horreur. On perçoit un combat entre la femme et l’homme, entre le trivial et le sacré, entre la chair et l’esprit. On a du mal à décider qui est vainqueur. Moreau reprendra de manière quasi obsessionnelle ce thème comme si, lui aussi, ne parvenait pas à expliquer sa fascination. Page 10 Odilon Redon : Biographie: Odilon