Ouvrage d'art

juillet 1894 à Voisins. Il est connu sous son seul nom de famille Leconte de Lisle, sans mentionner de prénom, qu’il adopta comme nom de plume, et qui est repris dans les éditions de ses œuvres, dans sa correspondance, ainsi que dans la plupart des ouvrages qui lui sont consacrés et dans les anthologies. C’est ce nom qui est utilisé dans la suite de l’article. Son prénom usuel, utilisé par ses proches, était « Charles ». Leconte de Lisle passa son enfance à l’île Bourbon et en Bretagne. En 1845, il

artistes dans plusieurs de ses ouvrages. Il côtoie Borel, Nerval, Nanteuil, Renduel (éditeur romantique), puis Baudelaire, Dumas fils, Flaubert, Feydeau, Doré, Manet… Il passe aisément de la poésie au théâtre et compose même des ballets. Ses œuvres appartiennent au Romantisme et sa poésie est parnassienne avec même de l’humour noir. En 1836, recommandé par Honoré de Balzac, Gautier commence une carrière de journaliste où il se charge de la critique littéraire et d’art avec parodie. De1836 à 1869

Peut-on reprocher à une œuvre d’art de ne rien vouloir dire ? Analyse du sujet : Est-il possible, légitime d’accuser, blâmer une œuvre d’art de n’avoir aucun sens ? -avoir un sens= communiquer quelque chose Transmettre un message. Or le but d’une œuvre d’art est-ce de communiquer quelque chose ? Avoir un sens c’est faire signe vers quelque chose mais vers quoi l’œuvre d’art peut-elle faire signe? Problème : une œuvre ne peut être considérée comme une œuvre d’art que si elle suscite l’admiration

DENIS DIDEROT Denis Diderot[->0] fait ses études[->1] chez les jésuites. En 1732, diplômé maître ès arts, il mène une vie bohème et littéraire faite de petits métiers. Il traduit des ouvrages anglais de médecine[->2] et de philosophie[->3], qui le poussent à rédiger ses 'Pensées philosophiques[->4]' en 1746, où il démontre déjà son caractère athée[->5]. Ami de Rousseau et d'Alembert[->6], il accepte de se charger avec ce dernier de l'élaboration de 'L' Encyclopédie[->7]' en 1747. Ce travail occupera

temps, il est tantôt critiqué tantôt aimé, c'est grâce à lui que l'on peut vivre mais c'est aussi à cause de lui que l'on meurt. Cependant les poètes, en grande majorité, évoquent ses aspects sombres, ses crimes, et le haïssent, il en font dans leurs ouvrages, un monstres, un meurtrier, un ennemi, car il est la cause de leurs chagrins, il met un terme à leurs amours, à leurs jeunesse, à leur beauté, à leur plaisir puis enfin à leur vie. Tant de gens souhaiteraient le fuir, ne jamais être attraper par

Etymologiquement la notion d’art se confond avec celle de la technique. Aussi bien dans la technique que dans l’art, il s’agit d’agir et de transformer la matière. L’artificielle (qui est le créer/ fabriquer) s’oppose au naturel (le donnée). Avec le démiurge qui est le dieu créateur mais cette dimension divine qui à l’origine est réservé au démiurge trouve un prolongement dans les productions de l’Homme. Ex : Les armes atomiques qui peuvent faire exploser la terre. L’Homme dans ses ouvrages techniques est

universelle de1889, en est un bon exemple. Sous quel angle l’envisager ? S’agit-il d’un ouvrage architectural sans autre fonction que celle du tourisme ou d’une immense sculpture visitable ? Les avant-gardes russes et allemandesAu cours des années 1920, plusieurs avant-gardes artistiques internationales ont souhaité instaurer un nouveau dialogue entre les arts et ont réfléchi aux modalités de réalisation d’une « œuvre d’art totale ». Dans la revue néerlandaise De Stijl, Theo van Doesburg (1883-1931) appelle

STENDHAL Écrivain et critique d'art français • Né en 1783 à Grenoble • Décédé en 1842 à Paris • Quelques-unes de ses œuvres : Vanina Vanini (1829), nouvelle Le Rouge et le Noir (1830), roman La Chartreuse de Parme (1839), roman Stendhal, de son vrai nom Henri Beyle, nait à Grenoble en 1783 dans une famille bourgeoise. À Paris, sous le Directoire, les débats d’idées le passionnent et aiguisent son esprit critique. Rejoignant l’armée de Bonaparte, il découvre l’Italie et l’Allemagne grâce

mère INTRODUCTION La question de l’utilisation de la technologie dans l’art a commencé à être présente au début du XX siècle. La création artistique adopte un nouvel outil, un espace plus large, et des matériaux plus techniques. Les œuvres d’art ne parlent plus du monde antique, de nu, des fleurs, des états d’âmes, mais plutôt du monde contemporain, et de la vie artificielle, qui libère l’imagination du spectateur. La technologie a donné naissances à plusieurs formes artistiques, et notamment

Introduction A l’encontre de la beauté, la laideur dans l’art n’a que rarement été traitée par les sociologues, les philosophes et les critiques d’art. La laideur n’a pas fait problème[2]. On l’a bien souvent réduite à être « manque de », « privation de », « simple trace marquée par la déception ou le regret »[3] , comme s’il suffisait d’énumérer les critères du laid pour le renvoyer au non-être ou au domaine négatif du beau[4]. Pourtant, si pour Passeron « il n’est pas sûr, que la chose laide