Ouvriers Et Bourgeois

en ce qui me concerne, ce n'est pas à moi que revient le mérite d'avoir découvert l'existence des classes dans la société moderne, pas plus que la lutte qu'elles s'y livrent. Des historiens bourgeois avaient exposé bien avant moi l'évolution historique de cette lutte des classes et des économistes bourgeois en avaient décrit l'anatomie économique. Ce que j'ai apporté de nouveau, c'est : de démontrer que l'existence des classes n'est liée qu'à des phases historiques déterminées du développement de

le patronat. Le libéralisme de l’époque laisse désormais face à face salariés et employeurs ce qui génère des conditions de travail effroyable et des conflits violents. La première tâche de l’entrepreneur capitaliste est de former ou dresser les ouvriers afin de leur imposer des conditions de travail liées à la production industrielle moderne : assiduité, régularité, obéissance aux ordres et au rythme de travail… II) Classes sociales Dans l’analyse marxiste, les classes sociales sont définies

Maheu et tombe amoureux de la jeune Catherine. Celle-ci est la maîtresse d'un ouvrier, Chaval. Lorsque la Compagnie des Mines, décrète une baisse de salaire, il pousse les mineurs à la grève et la Compagnie des Mines adopte une position très dure et refuse toute négociation. Affamés par des semaines de lutte, le mouvement se durcit. Les grévistes cassent les machines et les installations minières et agressent les bourgeois. Les soldats viennent rétablir l'ordre mais la grève continue. De nombreux mineurs

prolétariat, secret du XIXème siècle et de sa révolution. Cette révolution, il est vrai, ne fut pas une trouvaille de l’année 1848. La vapeur, l’électricité et les inventions diverses avaient un caractère révolutionnaire autrement dangereux que les bourgeois Barbès, Raspail et Blanqui. Mais sentons-nous l’atmosphère que nous respirons et qui pourtant pèse sur nous d’un poids de 10’000 kilos ? La société européenne de 1848 ne sentait pas davantage l’atmosphère révolutionnaire qui la baignait et pesait

routes ou aux carrefours d’une route et d’un cours d’eau navigable. Des commerçants se sont alors installés dans les villes en ouvrant leurs commerces. Quelques industries (céramique, armurerie) firent augmenter la population des villes car des ouvriers venaient s’installer dans les villes pour travailler dans ces industries. 2. Après les romains, bien des villes meurent. Les villes ne pouvaient subsister que s’il y avait la paix. Quand des barbares, les Germains, commencent à se faire

radicaux rejoignent la droite. Oral DNB blancEn 4, je vais vous présenter la description de l’œuvre. C’est un dessin simple en noir et blanc. Au 1er plan on peut voir 2 bourgeois, dont une femme et un homme, cette femme est allongée dans sa baignoire et tient dans ses mains ses binocle, elle fait sa mise en plis, elle a un nez aquilin et elle toute ridée et moche et dit : “ VOUS NE PENSIEZ PAS QUE J’ALLAIS ME TRAMPER DANS

1850 a)Techniques ou découvertes b) L’urbanisation c)Les Crises économiques qui ont secouée l’Europe II- Création des groupes sociaux : contestataires ou approuvant le système industriel III- Les transformations sociales. a) Le mouvement Ouvrier b) Les difficultés du prolétariat c) La bourgeoisie et classes moyennes. I- L’expansion de l’industrialisation, des 1850 : La deuxième Révolution Industrielle La moitié du 19eme siècle est le commencement d’une nouvelle ère, les Industriels

élargissement des rues, percées de boulevards pour l’hygiène et la sécurité, destruction des quartiers insalubres, construction d’un réseau d’égouts et ramassage des ordures (préfet Poubelle). Cette organisation entraîne la reconstruction d’immeubles bourgeois dans le centre et donc accélère le ségrégation et l’apparition de quartiers riches. Paris est suivi par Londres, Vienne et Berlin : la conception de la ville européenne est socialement bouleversée. Les transports urbains : métros, tramways se développent

divise en deux grandes classes : la bourgeoisie et le prolétariat qui s’affrontent directement. C’est la lutte des classes qui oppose « oppresseurs et opprimés ». Pour Marx et Engels, la bourgeoisie ne fait que empirer cette lutte qui se résume par : bourgeois contre prolétaires. II) Tout d’abord, le texte commence par la présentation de la lutte des classes qui oppose la bourgeoisie modernes et le prolétariat. Ces deux grandes classes de la société s’affrontent directement. Pour les auteurs, les

I- Une poésie sociale et satirique De nombreux poètes ont chanté la souffrance des peuples, des pauvres, des ouvriers. Après Hugo dans "Le mendiant" défendant les pauvres, Verlaine par la caricature avec "Monsieur Prudhomme" s'attaque aux bourgeois du second Empire. Caricatural, tel est bien le portrait qu'en dresse Verlaine. Monsieur Prudhomme est le Maire de Paris et l'employeur de notre poète qui occupe en 1864, après avoir réussi le baccalauréat littéraire, de modestes fonctions d'expéditionnaire