Oxygène 18

constituée d’atomes. Les atomes sont le plus souvent associés pour former des assemblages plus ou moins complexes. Ils peuvent former des réseaux cristallins (comme le sucre). C = Carbone / H = Hydrogène / O = Oxygène / N = Azote Ex : Eau : H2O ; oxygène : O2  ; sucre : C12O11H22 ; fructose : C6H12O6. Nombre de nucléons (protons + neutrons) = Z Nombre de protons = A Nombre de neutrons = Z – A Un atome est toujours neutre : même nombre d’électrons et de protons

de Lavoisier le conduisent à obtenir de l'eau pure en brûlant un volume d'hydrogène avec deux volumes d'air pur. Lavoisier en déduit que l'eau n'est pas un élément simple mais une combinaison de l'hydrogène avec l'air pur, qu'il baptisera bientôt "oxygène". Lavoisier met au point une nouvelle nomenclature chimique avec pour principe général de constituer le nom d'un composé avec ceux de ses composants. Cela permit de ne plus utiliser des noms "exotiques" pour désigner les produits chimiques. Il a

proportion de 70à 90%. Demande biochimique en oxygène: La DBO (demande biochimique en oxygène) exprime la quantité d'oxygène nécessaire à la dégradation de la matière organique biodégradable d'une eau par le développement de micro-organismes, dans des conditions données. Les conditions communément utilisées sont 5 j à 20°C, à l'abri de la lumière et de l'air. Analyses physico-chimiques: Demande chimique en oxygène: La DCO (demande chimique en oxygène) exprime la quantité d'oxygène nécessaire pour

constante entre le début et la fin de chaque réaction. Ces expérimentations ont fourni des preuves en faveur de la loi de la conservation de la matière. Lavoisier fit également des recherches sur la composition de l'eau, dont il appela les composants oxygène et hydrogène. L'une des plus importantes expériences de Lavoisier concerna la nature de la combustion. Il démontra ainsi que le processus de combustion implique la présence d'oxygène. Il démontra également le rôle de l'oxygène dans la respiration

des sols acides, donc il se pourrait que le sol est un pH eau très oxygénée O.D. = 9,6 mg/L pH = 7,3 → ALC doit être importante conductivité = 249 mS/cm → Donc on a une eau à pH basique, très oxydante (saturée en oxygène) et peu chargée en ions. Analyse Tarière : Oh bien humifié (10cm) A1 (30cm) A2 S1 sableux-limoneux (30cm) S2 limoneux-argileux → apports de colluvions BTg traces d'hydromorphie → passage d'eau → on

très réactionnel 9,0 Béryllium Be métal réactionnel 10,8 Bore B semi-métal 12 Carbone C Solide non métal 14 Azote N gaz diatomique 16 Oxygène O gaz diatomique réactif 19 Fluor F gaz diatomique très réactif 20,2 Néon Ne gaz monoatomique Très peu réactif 23 Sodium Na

(C6H12O6) (C3H3O3) Rendement energétique net = 2ATP + 2NADH Une gde partie (env 80%) de l’nrj emmagasinée dans la ₥ originelle de glucose reste dans 2 ₥ de pyruvate obtenues La dégradation du pyruvate suit ≠ voies selon la disponibilité en oxygène Schéma 2 La respiration Respiration oxydative : voies cata la + courante et la + efficace Dégradation du pyruvate formé lors de la glycolyse : dans mitochondrie Schéma 3 I. Cycle de l’acide citrique Cycle de Krebs Poly figure

Coûts limités comparés au gougeage au gaz ou au meulage ; • Polyvalence – Avec un équipement MIG muni de la fonction gougeage, il suffit de rajouter une torche de gougeage ; • Pas dangereux avec de bons EPI car gaz ininflammable (acétylène et oxygène pour l’oxycoupage). Inconvénients : • Bruyant ; • Particules dans l’air (fumées et projections) ; • Coût des opérations supérieur au gougeage Plasma (Durée de vie du consommable) ; • Etat de surface moyen, nécessite un meulage de finition.

réaction de combustion). 2. Introduction & principes théorique : Pour obtenir une flamme nous avons besoin de trois éléments principaux : ∆ Le carburant ou combustible : bois, essence, gaz, etc. L’activation : l’étincelle. Le comburant : oxygène  aire 20%. La combustion : est une réaction chimique exothermique d’oxydoréduction. C’est-à-dire qui produit de la chaleur… Lorsque la combustion est vive, elle se traduit par une flamme ou par une explosion, si le front de la flamme dépasse la

de calcaire près de la surface de la terre.  A un moment, un coup de pioche le détache et le voila en route vers le four à chaux, le plongeant ainsi dans le monde des choses qui changent. Il est rôti, et s'accrochant toujours à ses  compagnons oxygène, s'échappe par la cheminée et prend le chemin de l'air. Son histoire qui  était longtemps immobile, va maintenant devenir tumultueuse.  Il est emporté par le vent, et soulevé dix kilomètres dans les airs. Il a été respiré par un faucon,  est descendu