Oxymore Maupassant

indice de la 1e pers., vocabulaire très péjoratif, 2e pers. Pour la partie violente ; Ton général violent, insultes arguments hominem, Figure de style d’atténuation ou d’insistance : Anaphore ; Figure de style de opposition : antithèse, anti phrase, oxymore » Argument ad hominem, par lequel on attaque l'adversaire directement dans sa personne en lui opposant ses propres paroles ou ses propres actes. Ironique Les Sonnets son des poèmes à forme fixe comme la balade, le rondeau. Ils se composent

sont personnifiés de deux manières : 1. Par l'expression de leur volonté (ils freinent) 2. Par le fait qu'ils hurlent. Seuls les humains ou les animaux sont capables de hurler Association côte à côte de deux termes radicalement opposés. Exemple : Oxymore : Paradoxe : Exposition d'une idée qui apparaît d'abord contraire au sens commun Exemple : Personnification : Attribution à une chose abstraite les propriétés d’un être animé. Exemple : Pléonasme : Redondance, addition d'un terme dont

mots opposés pour mieux faire ressortir le contraste. Exemple dans Ruy Blas de Victor Hugo (acte II, scène 2) : […] un homme est là / qui vous aime, perdu dans la nuit qui le voile ; / qui souffre ver de terre amoureux d'une étoile […]. » Oxymore (masculin) : L'oxymore est une alliance de mots dont le rapprochement est inattendu. L'oxymore fait coexister deux termes de sens contraire à l'intérieur d'un même syntagme ( = groupe de mots formant une unité par son sens et pas sa fonction, à l'intérieur

Exemple: lorsque quelqu’un meurt, on dira « il nous a quitté », « il a disparu », « il s’est éteint »,« il est dans un monde meilleur ». On ne dit plus « aveugles » mais « mal-voyant », on ne dit plus « sourds » mais « mal-entendants ». 6- L’ oxymore Variété d’antithèse à l’intérieur d’un groupe nominal, d’une expression. L’oxymore rapproche deux termes au sens opposé ou antagonistes.Exemple: « Un silence éloquent », « La clarté sombre des réverbères », « La folie douce ». 7- Hyperbole Amplification

(Twix) - "Arpège parfum de lumière" (Lanvin) 8. Paronomase -"Ils vont changer la soif du monde" (Ricard) 9. Métonymie -"les jambes ont la parole" (collant Well) -"Pour acheter un toit sans intermédiaire" (De particulier à particulier) 10. Oxymore -"La douce violence d’un parfum d’homme" (Drakkar Noir) -"La petite géante" (Volkswagen) 11. Hyperbole -"Get 27, c’est l’enfer. "

par des sentiment ( douleur, misère) comme le marbre se dégrade a la long avec l'eau. Cette figure de style mais en avant la douleur et la misère de cet homme en passent par les trait et la dégradation de son visage. La figue de style est une oxymore, dans le texte elle est justifié par la fantaisie que les peintres s'amusent à dessiner. Elle fait coexister deux terme « sublime » et « horreur » qui sont de sens contraire afin d'insister sur l'effet produit. Balzac utilise la technique du clair-obscur

candide qui voit le canon comme un instrument C est émerveillé / en admiration et le fait tu terme «Si» accentue sa naifté oxymore entre enfer/harmonie forment antithèse champs lexical des armes euphémisme montre encore naifté il donne chiffre approximatif des mort est donc enlevé effet tragique ...terrible de la guerre l'auteur se moque du pers et fini par une oxymore «boucherie héroïque» qui annonce le 2 para° montre guerre véritable boucherie lexique de l'horreur hitipose fait un tableau

Les Fleurs du mal est un recueil de poèmes qui révèle les projets poétiques de Baudelaire : le titre fondé sur un oxymore associe les Fleurs, métaphore de la beauté, au mal, autrement dit Baudelaire associe l’idéal poétique au mal. La préposition « du » révèle l’origine des fleurs c’est-à-dire le mal. Baudelaire pense ainsi qu’il existe une beauté propre au mal et que la poésie permet de transformer le mal en œuvre d’art. Cela explique pourquoi Baudelaire s’intéresse à des thèmes provocateurs, encore

développée, on l’appelle filée) Métonymie (féminin) : remplacer un mot par un autre qui entretient un rapport logique avec le premier. Ex : boire un verre Oxymore (masculin) : alliance de mots qui ne vont pas ensemble. Exemple : « le soleil noir » , « la nacre opaline de la nuit » ( Mais « noir » et « blanc » ne forment pas un oxymore) Parallélisme : composition d’un énoncé en deux parties symétriques. Exemple : La Bruyère « Racine peint les hommes comme ils sont et Corneille, tels qu’ils

dans son sang qui se fige » Puissance suggestive de l’image. B fais un pacte avc le lecteur «  Au lecteur » Métaphore ou « je » s’identifie aux choses pr évoquer 1 métamorphose. Spleen : «  Je suis un vieux boudoir (…) je suis un cimetière ». Oxymore : - « Ô Beauté ! Monstre énorme, effrayant, ingénu » dans « Hymne à la Beauté » * « Assoupi dans le fond d’un Sahara Brumeux » Introduction de termes insolites et nouveaux : charogne, catin, fœtus, brûle-gueule, bric-à-brac, baraques. III/