Oxymore Maupassant

Boileau s'adresse directement aux écrivains : "en vos écrits" V155, "travaillez" V163 • Poème qui montre le point de vue de Boileau : marques du "je" avec "mon esprit n'admet point" V159, "J'aime mieux" V167 • Maxime "Hâtez-vous lentement" - oxymore que l'on peut retenir comme une leçon • Antithèse entre le beau et le laid, l'obscurité et la clarté, le rapide et le lent, le trouble et le pur • Utilisation de métaphores de la nature (à partir du V167) qui permettent une visualisation de

5 sens Contrastes et jeux d'oppositions : 2 Mondes diff. Monde int. : riche, abondant « à boire et à manger » => p. capable de nourrir intellectuellement celui qui la comprend. Monde ext. : saleté/souillure => voc péjoratif, + oxymore «dentelle noirâtre ». sentiments mêlés : Fascination => M. intérieur Répulsion => M. extérieur III – L'huître : microcosme et symbole + met du travail poétique cosmique : voc du cosmos (« halos » ; « firmament »

mot en utilisant un mot contraire. Sorte d’ironie. (Quel courage !). Paradoxe : Enonciation d’une idée contraire à l’opinion commune afin de surprendre, de choquer ou d’inviter à la réflexion. (Le pénible fardeau de n’avoir rien à faire). Oxymore : Assemblage dans une phrase de deux termes contradictoires. (Cette obscure clarté …). 4. Amplification/Atténuation pour mettre en relief. Hyperbole : Exagération pour mettre une idée en relief . (Dans des ruisseaux de sang Troie ardente plongée)

sensations d'étouffement et d'oppression: vl « ciel bas et lourd », « couvercle », verbe « peser », v 8 « plafond pourri » ... - Atmosphère sombre au vers 4 : antithèse « jour »/ « nuit» avec l'idée que les jours sont plus sombres que les nuits dans l' oxymore « j our noir». L'adj ectif « triste» vient confirmer cette impression. - Dernier quatrain donne des images de mort: « corbillards », « drapeau noir» ... - Un univers marqué par l'ennui: V 2 : « en proie aux longs ennuis », l'esprit est victime

Le désir de peindre, Charles BAUDELAIRE Introduction - poème en prose : expression oxymore car au départ la poésie est en vers classiques codées - Baudelaire fait preuve d’originalité et lance réellement les poèmes en prose, accompagné pas Aloysius Bertrand qui y a aussi contribué - qui parle ? le locuteur poète  A qui ? destinataire externe : le lecteur -  pour Baudelaire, « la modernité, c’est le transitoire, le fugitif, le contingent, la moitié de l’art, dont l’autre moitié est l’éternel et l’immuable

cités ci-dessus donne au cadavre une image sensuelle et permet un rapprochement entre le cadavre et la compagne de l'énonciateur. Dans la quatrième strophe, l'énonciateur dit : « Et le ciel regardait la carcasse superbe », « carcasse superbe » est un oxymore qui semble être porteur d'un caractère ironique. Cependant, dans le poème on remarque que la charogne est soit décrite avec des termes érotiques (comme expliqué dans le paragraphe ci-dessus), soit elle devient objet de création, que l'artiste peint

moins heureuse. Pour construire cette image le poète va jouer sur les mots et leur sens (signification) à cet effet il dispose de différents outils d’écriture, comme : - la métaphore - la comparaison - anaphore (répétition) - oxymore Le fait poétique ne se rencontre pas seulement dans les mots des poètes, on le retrouve aussi dans d’autre formes artistique (chanson, sculpture, peinture, photographie, dance) et dans d’autres genres littéraire ex : scène de dénouement dans

« glacée » par ce qu’elle voit et en colère car on lui a gâché sa fête. - Maigrel est épouvanté car il ne reconnaît pas les mineurs avec qui il a l’habitude de travailler. - Jeanne et Lucie sont impressionnées : « Oh, superbes ! », « Belle horreur » (= oxymore), elles sont artistes donc fascinées par se qu’elles voient, les expressions de colères, de violences et de brutalités, mais en même temps elles ont peur. - Cécile n’ose même pas regarder. 3° C’est une scène très désordonnée, les gens (à peu près

antithèse entre les canons et une harmonie pour critiquer la guerre. Voltaire emploie de l’autodérision en critiquant la réaction de Candide qui représente les philosophes optimistes, « qui tremblait comme un philosophe ». Enfin, il utilise une oxymore « cette boucherie héroïque » pour montrer la barbarie des héros bulgares et arabes dans cette tuerie. Par ces différentes tournures et procédés de style, Voltaire parodie la guerre et le registre épique a travers le regard de Candide, mais tout

Différences · le 1er plan - personnages - couleurs : noir, gris - pavés mouillés - couleurs plus clairs pour les pavés · le 2nd plan - antithèse entre les deux espaces du 1er plan (=opposition entre deux termes ou deux motifs contraires) - oxymore= associations d’une même de deux termes opposés · l’arrière plan - présence d’un véhicule - bâtiments plus modernes, plus précis (détails peu important : fenêtre, portes) - ciel gris Le tableau présente un reflet de la réalité qui n’apparaissait