Oxymore

18 ‘’ qui semblait être sorti d’un sarcophage voisin’’ ensuite il vient à le comparer à un fantôme ‘’ de cette espèce de fantôme » ligne 19 cela permet de mettre en valeur la laideur et la monstruosité du vielle homme. Ensuite Balzac utilise une oxymore » animait les yeux immobiles » ligne 19 en faisant ainsi il accentue sa monstruosité. Ensuite afin d’attirer l’attention du lecteur sur cette apparition Balzac utilise le champ lexical de la lumière composé des mots ‘’ lumière » ligne 13 ‘’ l’éblouissaient

Le poème Notre vie , extrait de son recueil : Le temps déborde, publié en 1947 soit quelques mois après le décès brutal de Nusch, sa compagne depuis 17 ans. Contrairement à ce que l’on pourrait croire par le titre, ce poème, accorde une place prépondérante au thème de la mort et la fuite du temps. Ce drame personnel, a l'origine de l'inspiration d'Eluard, les poèmes qui suivent expriment alors sa douleur et son désespoir. C’est le cas de cet émouvant poème.Je vais

L’amour propre : « amor sui », Saint Augustin L’amour propre est assimilé à une « puissance trompeuse » puisque Pascal considère une antiphrase ironique que c’est un « merveilleux instrument » pour nous « crever les yeux agréablement » oxymore qui signifie qu’on se voile la face dans notre propre intérêt. On n’est pas en mesure de voir le vrai et le bien. Cela fausse notre perception de choses telles que la justice et la vérité. Conclusion : La plus importante « puissance trompeuse

: • Certes c'est le coassement du crapaud donc il ne suscite aucun charme, attraction mais il y a un champ lexical du chant (écho, vif, rossignol, chante) et des anaphores : donc registre lyrique : c'est la simple et pure expression du poète • Oxymore "Rossignol boue" pathétique : au chant mélodieux, amoureux, romantique, à élévation rossignol, correspond la boue, le sol, la lourdeur collante, symbole de défauts physiques et moraux. ==> Chant du crapaud évoque dans un lyrisme voilé, l'état intérieur

: familiarité, jargon, Les oppositions entre ombre et lumière, civilisation et barbarie, raison et folie… La présence de figures d’insistance (répétition, anaphore, gradation, pléonasme), de figures d’opposition (antithèse, oxymore), les alliances (oxymore, hypallage). Le recours aux exclamations et interrogations qui trahissent l’affectivité débordante ou la volonté d’animer le propos. Des rythmes souvent binaires (affectifs) ou cumulatifs (extériorisation d’un trop-plein intérieur)

assez comique des balourds et des trognes qui permettent au roi d'asseoir son autorité (critique de la monarchie des Jansénites, ≠ Bossuet) ; comique avec ironie avec hyperboles suivies d'une chute (l.5-10,19-23), antiphrases (l.28,33), antithèses, oxymores (l.42, 66-67,71) ; mots familiers, peu nobles, contraste avec le reste du texte (l.50,17,35) I) Une argumentation marquée par l'humour et la simplicité 1) les images, les exemples et les prises à parti ►Pascal multiplie les portraits pr rendre

vices, le spleen, « vermine », « vers qui rongent », « helminthes ». Il y a un mélange de plusieurs genres de langues, grandiose et idéal et spleen. On relève aussi des oxymores (violence antithétique et figures d'opposition).  La poésie est donc une déchirure entre le spleen et l’idéal mais aussi une réconciliation par les oxymores.  Annonce d'une modernité par l'usage d'un vocabulaire courant (« vieille orange") qui choque avec un vocabulaire ancien (« catin » = mot antique, « helminthe », « trismégiste »)

déchainés et armés » hyperbole et insistance conj-coor « la sale ame héroique et faineante des hommes » oxymore La valeur de l'héroisme par C L,8-15 Comparaison de la premiere fois amoureuse/à la première fois de la guerre. « j'étais dépucelé » Evenement dans la vie d'un homme. La guerre change un homme L7 Une croisade apocalyptique → g,sainte néant oxymore Les paradoxes de la guerre L6 « Nous étions jolis » une antiphrase (dire le contraire de ce que l'on

atelier » = le possessif fait écho au début du texte, on est chez le narrateur, là où l’enfant s’est donné la mortLa négation « je ne pouvais pas l’empêcher » : il se résigne, est passif « s’enivrer de son malheur », « « suprême et sombre consolation » = oxymore, visée cathartique pour le poète / d’habitude on s’enivre d’alcool ou de bonheur ; ici c’est comme si elle appréciait son malheur, qu’elle trouvait une forme de consolation dans le fait de voir le cadavre de son fils. L’adjectif « suprême » fait écho

de style, on peut remarquer une hyperbole* et une oxymore*, l’une à la ligne 28 et l’autre à la ligne 48. L’hyperbole nous dit que Mériem a vielli de plusieurs siècles en quelques secondes, ce qui n’est pas possible premièrement car un humain ne vit généralement pas plusieurs siècle et encore moins en une poignée de secondes. L’oxymore* nous dit que Omar subi une « violence presque insensible » alors qu’une violence est censé faire mal. Cette oxymore nous montre le flou dans son état d’esprit. Commentaires(Ludo+Julia) :