Pacte de stabilité et de croissance

Sujet : La politique monétaire de la BCE nuit elle à la croissance de la zone euro ? Introduction : Etape primordiale de l’unification de l’Union Economique et Monétaire selon les cinq étapes de Bela Balassa, la création d’une instance monétaire au niveau supranational est indispensable. Représentative de l’ensemble des décisions et des actions mises en œuvre par les autorités monétaires dans le but d’atteindre des objectifs tel que la stabilité des prix et de l’inflation, la baisse du chômage ,la

pour l’adhésion à la zone EURO : la stabilité des prix, c’est-à-dire que le taux d’inflation ne peut pas dépasser de plus de 1,5 % la moyenne des trois États ayant la plus faible inflation. Les taux d’intérêt à long terme ne peuvent varier de plus de 2 % par rapport à la moyenne des taux des trois États ayant l’inflation la plus basse. Le déficit public national doit être inférieur à 3 % du PIB. La dette publique ne peut excéder 60 % du PIB. Puis la stabilité des cours: les taux de change devront

relance de l’économie et le sauvetage du secteur bancaire, les États ont dû faire office d’état-providence, ce qui les a empêchés de respecter le Pacte de stabilité et de croissance établi par l’Union Européenne. III) L’incomplétude de l’euro et les divergences des économies en Europe. Pendant près de 10 ans, l’euro a été un gage de stabilité économique et monétaire pour l’Union Européenne. Pourtant, depuis 2010, la monnaie unique a aussi montré son point faible. Un problème financier et/ou

; il appartiendra ensuite de souligner que l'adoption de cette monnaie unique présente des avantages mais aussi peut être source de limites. (2). (1A) La création de l'Euro a pu voir le jour car l'Union Européenne n'a cessé de croître. Cette croissance n'est pas seulement quantitative en termes de populations, d'étendues, ou de puissance économique, elle est aussi qualitative du fait de ses choix politiques. (1A1) Dès 1979, avec la création du Système monétaire européen, l'Europe s'est orientée

Département analyse et prévision de l’OFCE En 2005, la politique budgétaire n’apparaît plus comme l’élément dominant de la différence des performances de croissance entre les États-Unis et la zone euro. Après des impulsions budgétaires de 1,2 point de PIB en moyenne depuis 2001, la contribution de la politique budgétaire américaine à la croissance serait négative en 2005. En 2005, le déficit budgétaire de la zone euro se détériorerait légèrement, avec l’abandon d’une politique discrétionnaire restrictive

dépenses en augmentant les impôts mais cela a des conséquences. « Laffer » a démontré qu’au dessus d’un certain seuil d’imposition les individus sont incité à réduire leur activité économique ce qui va entrainer deux effets : une diminution de la croissance et une baisse des recettes de l’ETAT car « trop d’impôts tuent l’impôt ». B. Quelles contraintes pèsent sur la politique budgétaire ? La dette publique correspond à l’ensemble des emprunts publics contractés par toutes les administrations publiques

transactions augmentation des prix actifs. Ce processus s’arrête lorsque l’équilibre est restauré 5. Vitesse de circulation de la monnaie : instabilité et stabilité : * Instabilité a court terme : elle dépends de la demande de monnaie, celle c dépends de changements de comportements de consommation et de déplacement des individus * Stabilité a long terme : pour les monétaristes elle est stable les seuls modifications sont prévisibles. Les effets sur la monnaie des variations sur le marché

La récession économique de la zone euro 5 B. Ce qui se met peu à peu en place pour le fédéralisme budgétaire 6 2) Les avantages d’un fédéralisme budgétaire dans la zone euro 8 A. Il évite les divergences entre les régions et amène une stabilité au niveau budgétaire 8 B. Il permet la présence d’une zone monétaire optimale et l’exploitation des avantages comparatifs 9 II) Cette nouvelle institution devra éviter certains pièges du fédéralisme et modifier des anomalies de la zone afin

et la limite quantifiée des déficits = règle des 3%, les déficits ne doivent pas dépasser 3% du PIB.Ces critères de convergence ont été formalisés, réunis dans quelque chose qu'on a appelé le pacte de stabilité et de croissance, qui date de 1997. Depuis cette date on parle d'encadrement budgétaire. Ce pacte a connu bien des difficultés: son caractère obligatoire s'est avéré assez fluctuant. Il avait été prévu un volet régressif. Aucun État n'est allé jusqu'à l'étape définitive. Il apparaît un certain

s'interroger sur le développement incessant de l'économie allemande et d'en démontrer sa hégémonie sur l'économie française, et ceci depuis la fin de la seconde guerre mondiale. Il conviendra de mettre en avant les quatre agrégats économiques (taux de croissance, taux de chômage, déficit publique, dette publique) qui jugent les performances économique d'un pays. Il en résulte plusieurs question dont : comment ce pays au sortir de la guerre a t-il pu se redresser économiquement ?, en d'autres termes,