Pacte de stabilité et de croissance

dette que par l’inflation, si cette dette est économiquement inefficace) D Remarques sur la Dette Publique Tx intérêt = i Tx de croissance = g Déficit Budgétaire = B’ Solde primaire Budget = s Dette Publique = B Egalité Recettes/Dépenses T + B’ = G + iB Stabilité de la Dette si i – g = S/B C’est le fondement du Pacte de stabilité et de Croissance européen (PSC). Donc à l’équilibre (T=G), on a i = B’/B et B’ = iB (déficit = dépense d’intérêts) E Chômage conjoncturel, structurel

générerait une croissance économique bénéfique à la Turquie mais qui constituerait également une opportunité pour les autres États membres : une Turquie européenne, libérale et démocratique garantirait une confiance renforcée pour les marchés et les investisseurs [16]. L’étude d’impact de la Commission européenne : . Une accélération de la croissance économique en Turquie devrait donner une impulsion positive aux exportations des 25 membres. Il est attendu qu’il y ait une croissance des investissements

 ECONOMIE OBJET D’ÉTUDE N°1 SUJET DE L’ÉTUDE : Mon premier objet d’étude portera sur l’inflation et la politique de stabilité des prix. PROBLÉMATIQUE : Quelles sont les différents moyens de luttes contre l’inflation ? ANNONCE DU PLAN : Tout d’abord je donnerais la définition de l’inflation, ses causes, ses effets puis je terminerais en expliquant comment lutter contre l’inflation. 1. La notion d’inflation 1.1 Qu’est-ce que l’inflation ? Définition : C’est la hausse durable

profond de la construction européenne : le mécanisme de la monnaie unique. Les problèmes de liquidité des états comme la Grèce, l’Irlande, l’Espagne et l’Italie ont tiré une sonnette d’alarme sur un aspect que les dirigeants ont négligé en temps de croissance économique : les effets contraignants et discriminants du marché monétaire unique. Evidement, la crise financière n’a été que le facteur qui a mis sous les feux de la rampe l’endettement excessif des états européens, parce que leurs dettes publiques

vue monétaire mais restent largement nationales au niveau budgétaire et sont quasiment inexistantes du point de vue des politiques sociales.B ) Les effets attendus du marché unique sur la croissance :La principale justification de ce marché unique est le renforcement de l’efficacité économique et de la croissance, via trois canaux : - celui des gains à l’échange résultant d’une spécialisation internationale fondée sur les avantages comparatifs. C’est la thèse

par le Pacte de stabilité. Mais il exposera dans sa deuxième partie les avantages de la monnaie unique qui rendent cette politique de relance plus efficace à présent dans le cadre communautaire. CORRIGÉ Introduction Au cours des Trente Glorieuses et après les chocs pétroliers de 1974 et 1979,la France et d’autres pays européens ont eu recours conjoncturellement à une politique de relance par la demande. D’inspiration keynésienne, cette politique a pour objectif de redynamiser la croissance tout

nécessaire en période de ralentissement économique. Les entreprises anticipent une demande faible et n’investissent pas. C’est à l’État de relancer la croissance en faisant des investissements publics qui auront un effet multiplicateur sur les revenus et la consommation. Cette politique fut menée pendant les Trente Glorieuses, apportant une forte croissance mais aussi un endettement important de l’État. Pour les libéraux, cette politique est dangereuse car l’État, en s’endettant, draine une partie

européenne. Elle peut imposer des sanctions, par exemple des amendes. o La Banque centrale européenne (B.C.E.): elle a pour mission de gérer la monnaie unique, c'est-à-dire l'euro, par exemple en fixant les taux d'intérêt, dans un objectif de stabilité des prix. Elle conduit donc la politique monétaire commune désormais des 16 pays membres de la zone euro depuis le 1er janvier 2009. o La Cour des comptes vérifie les recettes et les dépenses du budget de l'UE gérée par la Commission et s'assure

permis la mise en place de l’euro en imposant progressivement un taux de change commun basé sur un panier de valeur. Afin de rentrer dans la zone euro, les pays doivent respecter des critères dits de convergences afin de maintenir le pacte de stabilité et de croissance. Ces critères sont entre autre une maitrise de l’inflation, de la dette (60 pour cent du PIB) et du déficit (3 pour cent du PIB). La politique monétaire commune est dictée par la banque centrale européenne qui fixe notamment les

France et en Europe ne sont pas celles qui nous étaient promises, il y a encore quelques mois. La croissance peine à se confirmer en Europe alors que la zone euro dans son ensemble, et donc de nombreux États, n’ont pas encore retrouvé les niveaux d’activité qu’ils connaissaient au démarrage de la crise. Ce n’est pas le cas de la France qui a globalement mieux résisté mais connaît une croissance très faible depuis maintenant 3 ans (+0,4 % attendu cette année) et qui n’accélérera que progressivement