Pacte de stabilité et de croissance

européenne (1947-1955) A. L'obsession sécuritaire 1. Construction européenne et idéologie euro-atlantique a) une initiative américaine directement sécuritaire : l'OTAN b) une initiative américaine indirectement sécuritaire : la recherche de la stabilité par le relèvement économique: l'OECE 2. Une réflexion propre aux européens sur leur sécurité: du traité de Dunkerque (1947), à la création de l'Union occidentale (UO) (1948) réformée en Union de l'Europe occidentale (UEO) (1954) B. La recherche

Plus l'économie va bien, plus l'Etat gagne et doit moins dépenser (si beaucoup de travails, pas beaucoup de chômage...), et plus il a des chances de diminuer son déficit. Maintenant cela va mal, l'économie va mal (on dit que la croissance est faible), le chômage augmente.... Pour relancer toute la machine, il n'y a qu'une seule solution, relancer l'économie, et donc la création et le développement des entreprises. Mais la Belgique à un problème, c'est une productivité trop

marchés restent sceptiques sur sa faisabilité. Tourner la page «le plus rapidement possible». Tel est le vœu le plus cher du premier ministre grec, Georges Papandréou, qui dépose aujourd'hui devant la Commission européenne son programme de stabilité et de croissance destiné à sortir le pays de la crise. C'est pour le gouvernement un véritable quitte ou double. Jeudi, le ministre des Finances, Georges Papaconstantinou, a consciencieusement aligné les chiffres sur grand écran devant les journalistes.

(critiques de la relation de Phillips en situation de stagflation). Cette première vague de co ntestation libérale sera suivie d'une deuxième vague liée au courant NEC. Aujourd'hui en France la politique budgétaire est contrainte par le pacte de stabilité de croissance adopté par l'union économique monétaire dans le cadre théorique et celui de la NEC. De plus l'état a créer des lois organiques sur les lois de finance pour réduire les dépenses de l'état dans son fonctionnement. I. Définition du

peuvent être menées pour soutenir l’activité, la croissance du PIB ou au contraire pour la freiner. Les politiques conjoncturelles comportent deux volets la politique budgétaire géré par les banques centrales et la politique monétaire mené par l’état. Aujourd’hui l’union Européen tente de concilier la réduction de la dette publique qui a augmenté considérablement sous l’effet de la crise avec le soutien de la demande global et de la croissance du PIB. Mais les contraintes institutionnelles de

miracle économique, dans lequel il décrit les 4 sommets du carré magiques des 20 années glorieuses : - un taux de croissance élevé - une croissance régulière (les cycles sont très atténués) - un quasi plein emploi - une hausse du pouvoir d’achat et du niveau de vie I les progrès de la production A évolutions générales de la croissance 1 taux de croissance (d’après les chiffres de Maddison) pour les pays européens en moyenne par an | |PIB

excessif qui en résulte peuvent être un obstacle à la croissance économique, cela ne signifie pas qu’il faille se priver du déficit public pour mener des politiques en faveur de la croissance. 1 – LA REDUCTION DU DEFICIT BUDGETAIRE EST UN IMPERATIF ECONOMIQUE _ Incapacité de l’Etat à respecter le « pacte de stabilité et de croissance » (interdiction d’un déficit budgétaire supérieur à 3% du PIB) .Déficit de 4,4% en 2015 _ Une baisse de la croissance entraine de moindres rentrées fiscales (TVA, impôts)

pays asiatiques ont bien résisté à la crise, l’Union Européenne est confronté à de nombreuses difficultés : • Elle contribue peu à la croissance du PIB mondial : son PIB à connu une évolution de 17% entre 2000 et 2010 contre 120 % pour l’Asie en développement. • Augmentation du chômage (sauf pour l’Allemagne) • Scénario d’une déflation : croissance des prix très faible ce qui incite les agents à retarder leurs achats, déprime la demande et augmente le poids des dettes contractées.

Pacte de stabilité, crédibilité du policy mix et coordination des politiques budgétaires en union monétaire Patrick VILLIEU LEO-UMR 6586 Université d’ORLEANS Faculté de Droit Economie Gestion, rue de BLOIS 45067 ORLEANS Cédex 2 E- mail : patrick.villieu@univ-orleans.fr mai 2002 Résumé : Cet article présente un modèle d’Union monétaire à deux pays pour étudier les problèmes de crédibilité et de coordination soulevés par la gestion du policy mix. On s’intéresse notamment au solutions contractuelles

Peut-on concilier austérité et croissance ? L’économiste Joseph Stiglitz écrit en avril 2013 à propos de la rigueur budgétaire : « Ce qui est stupéfiant, c’est qu’autant de dirigeants politiques continuent malgré tout d’appuyer ces politiques discréditées, même si des voix aussi conservatrices que le FMI leur disent aujourd’hui que leur austérité est dangereuse et qu’il faut s’occuper de toute urgence de stimuler l’économie ». Ainsi, l’austérité budgétaire, alors qu’elle marque les politiques économiques