Pacte de stabilité et de croissance

politique : • des institutions stables garantissant la démocratie, la primauté du droit, les droits de l'homme, le respect des minorités et leur protection Critère financier : • Pacte européen de stabilité de croissance (déficits public 3%) • Critères de finance publique du Pacte de stabilité et de croissance • Dette < 60% PIB et déficit < 3% PIB • L’inflation ne doit pas excéder de 2% de celle des trois pays où elle est la plus faible • Les taux d’intéret LT ne doivent pas

RESUME DE TOUS LES DOSSIERS DOSSIER 1 : La croissance économique ● Définition et mesure de la croissance  1) PIB/PNB, volume/réel/PPA 2) Limites du PIB comme indicateur de richesse ● Quels sont les déterminants, les facteurs à l’origine de la croissance du PIB ? 1) L’accroissement de la quantité des facteurs de production utilisés : Travail et Capital 2) L’accroissement de la Productivité (progrès techniques, innovations…) 3) Autres facteurs : économies d’échelles, valeurs

indirect: Création du pacte unique E en 1986 → harmonisation fiscale au niveau E; limitation des aides de l'Etat; conséquence sur le budget direct : depuis le traité de Maastricht 1992 et Amsterdam en 1997 qui crée l'union éco et monétaire qui oblige les Etats membres de la zone Euro à la discipline budgétaire : Pacte de stabilité et de Croissance (PSC) déficit public 3% dette 60% PIB Le F a mis en place une politique pluôt libérale en signant l'accord en 1997: PB en 2005: pacte assoupli demandé par

 Après 1945, la dette publique des pays européens a considérablement augmenté du fait de la reconstruction de l’économie et du fort besoin d’investissement.  1953-1973 : en revanche pendant la période des « Trente glorieuses » la croissance économique soutenue a permis de résorber la dette de façon importante (-20% de PIB en France)  1973-années 1990 : chocs pétroliers de 1973-1979  période de récession  maintien des dépenses publiques malgré une baisse importante des recettes

eu pour effet immédiat d'éliminer les frais de conversion et de couverture de change. L'euro permet également de mieux comparer les prix dans les pays de la zone euro, ce qui ne peut que stimuler les échanges. L'euro est aussi un facteur de stabilité monétaire car il supprime les crises de change en Europe, la spéculation ne pouvant plus faire jouer les monnaies nationales les unes contre les autres. Dans le même temps, la conduite de la politique monétaire et de change a été transférée

financement de l’économie Chapitre 1 : La monnaie : cadrage général Introduction : La monnaie c’est un moyen donné par la collectivité pour faciliter les échanges. Citation de Jacques Delorme : « l’identité culturelle constitue un baromètre de la stabilité politique ». La monnaie est un attribut de la souveraineté nationale. Un individu accepte un instrument de paiement s’il peut le faire accepter lui-même lorsqu’il aura à effectuer un règlement. L’acceptation suppose la confiance, et elle ne va jamais

consommation des ménages). L'activité économique est mesurée par PIB. On parle de récession quand la croissance du PIB est négative, ce qui est le cas en France en 1993 (- 0,8%), mais aussi de mi 2002 à mi 2003 (- 0,6%). Cette dernière récession n’est pas apparue dans les statistiques annuelles, le PIB français ayant augmenté de 0,9% en 2002 et 0,4% en 2003. La stagnation concerne une croissance proche de zéro. 1.1 L’investissement L’investissement ne concerne pas uniquement l’investissement

bancaires pour l'Espagne en raison de la guerre froide, mais ce n'était pas une aide gratuite. Les prix ont commencé à augmenter et réserves de change afin de réduire. 1959-1973 : L'expansion et la croissance En 1959, le gouvernement a développé de nouveaux plan de stabilisation, qui a fixé un objectif de stabilité économique, la balance des paiements et le renforcement de la monnaie, réduire les dépenses publiques, de réduire le degré d'intervention étatique dans l'économie et ouvrir l'économie aux entreprises

Thème : La stimulation de la croissance économique et l’inflation : cas du Cameroun INTRODUCTION Un nombre croissant d’études empiriques ont été consacrées, ces dernières années, au lien entre la croissance économique et l’inflation .Ces études ont deux objectifs .Le premier est d’établir un fait stylisé et répondre aux deux questions suivantes : quelle est la relation empirique entre la croissance et l’inflation ?cette relation est-elle statistiquement significative? Le second objectif

Peut-on concilier austérité et croissance ? L’économiste Joseph Stiglitz écrit en avril 2013 à propos de la rigueur budgétaire : « Ce qui est stupéfiant, c’est qu’autant de dirigeants politiques continuent malgré tout d’appuyer ces politiques discréditées, même si des voix aussi conservatrices que le FMI leur disent aujourd’hui que leur austérité est dangereuse et qu’il faut s’occuper de toute urgence de stimuler l’économie ». Ainsi, l’austérité budgétaire, alors qu’elle marque les politiques économiques