Pacte de stabilité et de croissance

Crise de la dette : Les causes Selon divers spécialistes les causes de cette crise sont multiples et variées d’une nation à l’autre : la non-maîtrise des dépenses publiques qui a fortement augmenté la dette publique, la faiblesse du taux de croissance qui touche l’ensemble des pays membre de l’union, les multiples délocalisations incontrôlées, une politique inadaptée pour réguler le système bancaire et financier. Mais contrairement aux idées véhiculées la crise de la dette dans la zone euro n’est

Les différentes stratégies au sein de la zone euro       - Les stratégies monétaires (BCE) , avec rappel des objectifs de la BCE, les outils à disposition, la mise en œuvre durant la crise       - Les stratégies budgétaires, avec Pacte de Stabilité et de Croissance   b. La zone Euro confrontée à plusieurs problèmes         - L'effet ambigu de l'Euro (avec hétérogénéité des situations entre les pays).         - Un budget de la zone euro (et plus globalement de l’UE) trop faible.         -

qu'elle partage avec ses États membres. Elle est reconnue comme étant une organisation internationale. L'Union européenne (UE) forme un partenariat politique et économique entre 27 pays européens sans équivalent dans le monde. Facteur de paix, de stabilité et de prospérité depuis plus d'un demi-siècle, l'UE a contribué à relever le niveau de vie, a introduit l'euro, la monnaie unique européenne, et met progressivement en place un marché unique au sein duquel les personnes, les biens, les services et

file de « l’école de l’offre », a montré, à travers sa fameuse « courbe en cloche », qu’au-delà d’un certain seuil d’imposition, les individus sont incités à réduire leur activité économique. Cela a deux effets majeurs : –       un frein pour la croissance économique, puisque l’activité se ralentit ; –       une baisse des recettes de l’État (d’où l’expression « Trop d’impôt tue l’impôt »). Certaines mesures fiscales récentes prises en France (loi TEPA du 21 août 2007 pour la défiscalisation des

entreprises et aux États de trouver/emprunter des capitaux plus facilement. Risque : plus de spéculation, plus d’instabilité (fuite des capitaux). Le marché unique a donc facilité les échanges commerciaux en Europe et a permis de soutenir la croissance économique. Il a pu avoir un effet positif sur la concurrence également (baisse des prix, plus de choix, etc.). Mais le marché unique pose aussi problème : manque d’harmonisation entre les pays sur certains plans (plan fiscal avec de grandes différences

keynésiennes dans des situations conjoncturelles exceptionnelles. Mais celle-ci augmente l’endettement de l’état. De plus, les situations exceptionnelles sont devenues des dépenses ordinaires. En France, la règle d’or correspond au pacte de stabilité de croissance. B- La politique de rigueur a) Les avantages Contrairement à la politique budgétaire de relance, la politique de rigueur elle vise à réduire l’endettement de l’état. Elle vise à ralentir l’inflation et assainir les finances

France: ◻ L’UE prône la rigueur, et des réformes structurelles pour coller au pacte de stabilité (Déficit public < 3% et dette < 60% PIB) ◻ La France présente un budget 2015 à 4,3%, et ne veut pas faire mieux ET LA FRANCE DANS TOUT CA ???? ■ ■ ■ Réduire le déficit trop vite présente un risque de déflation. Garder un niveau de dépense suffisamment élevé pour soutenir un minimum d’activité et de croissance. ➔ Economies OK, mais limitées à 21 Mds C’est l’enjeu des négociations en

peut être de type budgétaire et monétaire. La politique budgétaire est l’un des principaux leviers de la politique de l’Etat qui permet d’influer sur l’augmentation de l’activité économique et une réduction du chômage lors des périodes de faible croissance ou de récession. On verra en 1ere partie que la politique budgétaire de relance est un instrument de régulation privilégié pour les keynésiens et un déficit budgétaire n’est pas néfaste. Ce courant s’oppose à la théorie classique. En 2eme partie

a) Au niveau national : • Problème de financement : En raison de la récession et de l’augmentation du taux de chômage, l’assiette des revenus sur laquelle sont appliqués les taux de cotisation sociale, augmente plus faiblement ; cela ralentit la croissance des recettes sociales. En revanche, la crise engendre une augmentation importante des dépenses sociales. Cet effet de tenaille compromet l’équilibre financier des organismes sociaux dont la gestion est plus difficile. De plus, le vieillissement

des ressources financières à l’échelle de la planète, Libre circulation des capitaux ainsi que la meilleure transmission de l’information doivent permettre aux capitaux d’aller vers le lieu où ils sont les mieux employés, Une augmentation de la croissance mondiale. Les risques : Risques de solvabilité, de contrepartie ou de crédit. Risques de marché qui peuvent être importantes et erratiques. Peut engendrer des crises graves conduisant au ralentissement de l’activité économique mondiale : Risque