Pacte de stabilité et de croissance

internationaux de biens et de services. Thème n° 2 - La création de richesses et la croissance économique 6 Les finalités de la croissance L’amélioration du niveau de vie PIB, PIB marchand (et son calcul), PIB non marchand (et son calcul), PIB nominal, PIB réel, prix courants, prix constants, croissance, élasticité revenu, PIB / tête, revenu, besoins, niveau de vie, consommation, épargne Expliquer la contribution à la croissance du PIB des différents postes le composant 7 Le développement économique Bien

subsistent. Les conditions financières se sont améliorées. L’activité s’est accélérée, mais la reprise sera probablement faible. L’assainissement budgétaire est indispensable, mais il risque de peser sur la croissance dans le court terme. Dès qu’apparaîtront des risques à la hausse pour la stabilité des prix à moyen terme, il faudra mettre fin aux mesures de relance monétaire. Il convient de poursuivre le démantèlement des mesures non conventionnelles parallèlement aux améliorations du mécanisme de

peut dépasser 60% du PIB mais laisse une possibilité de dépassement aux Etats de manière provisoire sur une situation exceptionnelle (baisse du PIB de 2%). Par ailleurs, le Pacte de Stabilité et de Croissance prévoit que tous les membres de l’Union Européenne transmettent chaque année à Bruxelles un programme de stabilité (ou programme de convergence pour les États non membres de la zone Euro). Le PSC se décline en 2 volets : un volet préventif pour surveiller les budgets nationaux et un volet

se divisent en 3 groupes : politique budgétaire, politique monétaire et politique de l’emploi. L’efficacité de ces politiques économiques va être appréciée grâce à 4 variables regroupées dans un schéma, le carré magique de Kaldor : Croissance + PIB Chômage - + Balance commercial Inflation - Ces 4 objectifs sont pratiquement impossibles à réaliser en même temps, l’Etat doit donc

de l'exposition de la BCE... La chancelière allemande Angela Merkel serait la première concernée, son mandat arrivant à échéance en 2013. Quid des autres pays dits "périphériques" de la zone ? Le Portugal, l'Irlande - qui va soumettre le nouveau pacte budgétaire à référendum populaire dans quinze jours - ou encore l'Espagne seront-ils tentés de suivre l'exemple grec ? Probablement pas. D'abord parce que ces pays n'ont pas le même type de difficultés que la Grèce. Ils ont plutôt des problèmes de

des grandeurs économiques qui rassemblent et résument les résultats de l’activité économique nationale (PIB par exemple). La politique monétaire consiste à fournir les liquidités nécessaires au bon fonctionnement et à la croissance de l’économie tout en veillant à la stabilité de la monnaie. La quantité de monnaie en circulation dans une économie ne doit pas être en effet trop faible, car les agents économiques seront alors obligés de limiter leurs activités économiques (consommation, production

le contexte économique et financier de l’époque se détériore. Jusqu’à la seconde moitié des années 1 970, le taux de croissance élevé du PIB et le taux réel d’intérêt faible ([pic]) permettaient de maintenir les déficits sans alourdir le poids de la dette. Mais la situation s’est retournée dans les années 1 980 lorsque le taux d’intérêt réel a augmenté et que le taux de croissance s’est ralenti, accélérant alors l’accumulation de la dette publique. En effet, plus la dette publique augmente, plus

en mai 1968(le référendum), le nouveau président de la République, Georges Pompidou, fait passer au second plan la politique étrangère. En effet, il cherche à bâtir une « nouvelle société ». La croissance permet des avancées sociales à savoir création du SMIC, salaire minimum indexé sur la croissance ; développement de la formation permanente et création d'un nouveau régime de convention collective. • Valéry Giscard d'Estaing (élu en 1974) multiplie les réformes (majorité à 18 ans, loi Veil

auraient également de lourdes conséquences sur les finances du pays à terme. I: Une politique de relance efficace permet de sortir notre économie de la crise A) La politique de relance affecte l’économie dans son ensemble - elle permet une forte croissance du PIB - elle garantie un faible taux de chômage, et donc un pouvoir d’achat des ménages qui va augmenter la demande B) Mieux vaut une forte intervention publique pour sortir de la crise - seuls les pouvoirs publics ont les moyens d’éviter la récession

POLITIQUE BUDGETAIRE ET CHOC DE DEMANDE NEGATIF Comment stimuler la croissance économique face à un choc de demande négatif ? Face à ces chocs de demande négatifs qui sont des évènements affectant négativement la demande globale, les états mettent en place des politiques budgétaires afin de réguler et de relancer l’activité économique. Dans une première partie, je vais définir ce que sont les chocs de demande négatif ainsi que leurs origines, puis dans une deuxième, expliquer le fonctionnement